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L'Avare et le Sournois

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans L'Avare et le Sournois   - Mar 5 Aoû 2014 - 7:06

Cléomède se tournait et se retournait dans son lit. Décidément le sommeil ne lui venait pas. Cette soirée avait pourtant eu lieu trois jours avant et elle continuait a le hanter. Ce qui s'y était dit retournait en boucle dans son esprit.

C'était un de ces coktails mondains auxquels il était devenu familier, là ou toute la bonne société de Sant-Poséinos était réuni. Après un séjour en Gernie,  Il s'y était présenté car plusieurs de ses clients s'y trouvaient, et ce genre de cadre agréable faisait toujours progresser les affaires. Néanmoins il expedia assez rapidement ces questions et profitat du reste de la soirée pour s'amuser. Il aimait les fumoirs, leurs discutions détendues et raffinées. Ce lieu amenais les hommes a baisser leur garde et a parler plus familièrement qu'ils ne l'auraient fait autrement. C'était là l’essence du raffinement et de la culture, quand elle ne s’embarrassait pas de ces ambages superflus de l’étiquette et de l'image. C'est ainsi, simple anecdote, que la chose était apparu. A Vanylle serait réapparu un journal. Le journal de Gabarl ombre d'or, lui mème! Cléomède se rappelait comment,il y a une éternité de cela, sa vieille nourrice lui contant chaque soir des aventures de pirates, de trésor lui avait un jour parlé des jungles touffues de korrul. Korrul. cela rappelait combien de souvenirs d'enfance au vieil homme. Il se voyait cette année là, accompagnant son père sur les foires, lors de ces fêtes annuelles ou la frontière était ouverte. Oh, bien sur, a l'epoque ils embarquaient avec leur marchandises dans la vivenef d'un confrère, qui avait bien voulu leur accorder une place.  Depuis combien de temps ne naviguait il plus a fond de calle, songea le vieil homme avec un sourire. Et voila, cette soirée là, dans le fumoir de quelque hôtel particulier, que l'on evoquait a nouveau les héros  qui avaient bercés les légende de son enfance, que l'on parlait de trésors fabuleux, de pirates qui avaient trouvé un carnet. De copies qui avaient été faites, de copies qui avaient voyagées et dont certaines, disait on étaient arrivées a Sant Poséinos. Et ces idées lui tournaient en tète. Il imaginait les jungles de l'Oasis, ces jungles mystérieuses et lointaines. Et, pensa Cléomède dans un sourire. Pourquoi pas. Bientôt je serais gâteux, et je ne pourrais rien tenter. Je suis vieux et riche, je peux financer cette expédition. Et, Si cela me conduisait a la ruine? Si je ne trouvais pas ce trésor peut être mythique? bah! si il n'y a pas le trésor, il y a toujours ces temples cachés. Si ces prêtres de Rhyun gardaient les lieux, c'était bien qu'ils y avaient quelques reliques valeureuses cachées dans des temples ou sépultures perdues! Mais c'était bien sur la trace de l'Ecume volant qu'il se mettait. Il devais trouver une copie de ce carnet. Il devais former un equipage. Il trouvera ce trésor et reviendra riche, ou il mourra dans l'expedition! Son Frère était l'hérité de la société depuis que son fils avait rejoins la milice, abandonnant les obligations dues a son rang. La S.T.D.G et son héritage tourneraient bien sans lui! Cléomède était désormais convaincu, debout sur son lit, l'excitation de trouver ces pierres précieuses, ce butin!

Il se mit a sa table. Il ne pouvait pas y aller seul avec l’équipage de l'Ambroisie. Ils n'étaient pas des aventuriers. Il lui fallait des maraudeurs, a défauts de pirates (ces gens là le trahiraient au premier instant). Il ne connaissait personne dans les bas milieux de matroos. Cléomède était convaincu, il devait trouver des gens qui n'avaient rien a perdre...Soudain une idée lui vint. Il connaissait bien quelqu'un de sa famille qui correspondait au profile Type. Magouilleur, endetté, et qui était réputé pour ses combines
douteuses. Son arrière Petit-Cousin! Comment s'appelait il déjà celui-là? Helbert Sinnadure. Le jeune homme ne pourrais pas refuser...Cependant il devait l’appâter sans lui donner le moyen de le doubler...bah, ce n'est pas a un vieux singe qu'on apprend a faire la grimace!

Il prit du vélin, une plume, et écrivit, à la lueur vacillante de sa lampe a huile. La plume grattait le papier avec dexterité et rapidité.  

Missive a écrit:


Cher Helbert. J'ai appris récemment l’aggravation de tes dettes de jeu. Nous nous sommes certes peu vu ces derniers temps (tu devais être tout gamin la dernière fois que je t'ai vu avec ta mère!) Mais tu est pour moi de la famille et il me serait impensable de laisser un des nôtres dans le besoin.

Cléomède reposa la plume et relut son début, satisfait. Rien n'était vrai. La dernière fois qu'il avait vu la fille de son cousin, Helbert n'était pas encore conçu. Il ne s'était pas même rendu a l’enterrement de la jeune dame. Mais Cléomède restait informais pour tout ce qui touchait de près ou de loin les brabantios, même les affres d'un petit gars comme Helbert, qui n'était que très vaguement un Brabantio, par sa mère, de la branche ruinée de la famille. Une branche dont il n'avait jamais eu cure, mais ça ne coûtait rien d'invoquer l'esprit de famille. Quant a l’aggravation des dettes de Helbert, il les supposait: il savait que depuis plusieurs mois maintenant elles faisaient un yoyo incessant. Ce n'était pas une supposition risquée. Le vieux marchand reposa sa plume sur le papier.

Missive (suite) a écrit:

Cependant tu connais ma répugnance a donner simplement, tant cela coûte a la dignité du quémandeur. J'ai plutôt dans l'idée de te fournir un travail dont les bénéfices communs seraient, a coup sur, importants. Je ne te cache pas que l’opération est risquée,suffisamment pour qu'elle ne puisse être évoquée que de vive voix, là ou nul yeux ou oreille indiscrète puisse fouiner. mais je me suis laissé penser que tu t'y connaîtrait dans le domaine. Si tu est intéressé, je te laisse mon adresse.

Cléomède Brabantio.

glissant sa carte de visite avec la lettre dans une enveloppe, il referma le tout, par un cachet de cire,imprimant de sa chevalière un centaure, le symbole des Brabantio.

Un de ses domestique posta la missive chez Helbert dans la journée du lendemain
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