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Draryce Varchen

Draryce Varchen
Marchand

On m'appelle Draryce Varchen


Infos Personnage
RANG: /
VILLE & APPARTENANCE : Midel-Heim, Matroos
MON AGE : 19 ans
Féminin
MESSAGES : 7
AGE : 30
INSCRIT LE : 29/07/2015
PSEUDO HABITUEL : SkZoGrl
Joyaux : 14
Posté dans Draryce Varchen   - Jeu 30 Juil 2015 - 8:44



Je suis Draryce Varchen
  « Ne sacrifiez pas l'ambition d'une vie pour l'envie d'un instant. »



   
Prénoms : Draryce Aisling
   Nom d'usage : Varchen
   Nom de naissance : Marchebois
   Surnom: Ris'
   Age : 19 ans
   Langues parlées & écrites : Matroscien et Joyellien.

   


   Groupe : Marchand
   Métier : Artisan ébéniste du bois sorcier
   Origine : Midel-Heim
   Famille Proche : Pereens (50 ans) marié à Lesezia (48 ans) ont eu 9 enfants de leur union: Yaztone (33 ans), Baragh (31 ans), Ciryil (30 ans), leur triplés: Tebbryn, Tarlyn et Tsabrak (28 ans) et leurs filles cadettes: Draryce (19 ans), Lia (16 ans) et Dolica (11 ans).
   


   
Caractère : Draryce est quelqu'un d'un tempérament mièvre, elle est d'une grande immaturité et reste très superficielle dans ces gestes et propos. Elle est, pour ou malgré cela, quelqu'un d'une amusante compagnie si on cherche à passer un bon moment. Sa simplicité d'esprit qui oscille par moment entre la naïveté et la stupidité, rassure les esprits les plus aiguisés, anxieux et sur le qui-vive. Drôle d'anxiolitique, pourtant sa compagnie amuse et détend, même si ce n'est que le temps d'une soirée. Les plus perspicaces le savent tout de suite: elle est trop bête pour mettre en place des stratagèmes compliqués, son esprit en étant resté à la manipulation enfantine du chantage et de la bouderie. Elle est exaspérante, simpliciste et superficielle. D'un naturel emporté, relativement franc - pour ne pas avoir la capacité intellectuelle de prendre du recul sur la situation, elle en devient un personnage amusant, malgré elle.
Etant facilement influencée par ses émotions, et pas assez intelligente pour prendre du recul et réfléchir aux conséquences, elle brise facilement les règles morales ou éthiques qu'elle s'établit ou que les autres établissent. Elle n'est pas méchante, mais vit dans un monde qu'elle observe d'un oeil égocentrique et sans malveillance et qu'elle vit au présent avec le coeur d'une brebis égarée dans un champ d'orties.

Et si Draryce n'a pas un grand esprit, ne fais preuve d'aucune finesse et agit comme un mouton intellectuellement sous-développé mais très heureux de vivre, elle possède malgré tout de rares et grandes qualités: malgré son caractère emporté, mièvre, superficiel et influençable, elle reste envers et contre tout quelqu'un d'entier et de passionné, honnête et acharnée dans son travail. Elle a peu voire pas de talents, mais son acharnement relève pour certains d'un talent à lui seul et lui permet d'atteindre des résultats qui ne finissent jamais de surprendre son entourage.

   Préférence alimentaire : Le poisson et les céréales, mais mange généralement de tout.

   Loisirs : Tailler le bois, et dessiner des esquisses de motifs dans ses carnets de brouillons.

   Préférences relationnelles : Elle aime les gens francs, bon vivant et a horreur des jeux d'esprits, qu'elle comprend rarement. Souvent attirée par la beauté, elle a des relations superficielles avec la majorité de son entourage et la plupart de ses connaissances et amis finissent souvent aux oubliettes - jusqu'à la prochaine rencontre. Seuls les membres de sa famille survivent à ce tri radical.
   


   
...FACE A UN DANGER : Ses réactions varient selon le type de danger. Face à des dangers mineures, tels que des insectes, injures ou chutes mineures, Elle court! Non, pardon: elle court en hurlant de son cri le plus perçant, les bras repliés sur sa poitrine et panique. Elle a une résistance très faible à la douleur et cède facilement à la panique. On ne pourra pas parler de nerfs d'acier chez Draryce. Dans le pire des cas, elle s'évanouit. En présence de public, sa conscience s'évanouit dans le néant et elle réagit par réflexe, dans limites de la bienséance.

   ..FACE A UNE NÉGOCIATION : Elle se laisse faire, elle est plutôt influençable et n'a pas assez d'esprit pour riposter ou assez de courage pour faire valoir ses droits. Elle préfère se rabattre et laisser la main à d'autres plus doués qu'elle. Sinon, elle se fait lamentablement avoir.

   ..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : Elle est enjouée, conviviale. Elle approche les nouvelles personnes sans à-priori et est très réceptive, bien qu'elle ne les écoute pas vraiment et fasse toute seule la conversation version monologue ou questions et réponses incluses! Reste quand même drôle et de bonne compagnie, peu d'esprit mais très cultivée, elle arrive à suivre toutes les conversations mais est perdue dès qu'il y a des jeux d'esprits ou des sens cachés.
Elle est aussi très invasive, particulièrement envers les gens qu'elle aime vraiment et y va au feeling en avisant sur le moment et en improvisant, selon ses humeurs, les conversations, attitudes et taquineries. Elle se comporte tout de suite de manière très proche avec de parfaits inconnus, ce qui peut être agaçant quand on ne la connaît pas.

   ..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : Elle les vit pleinement ou elle les refoule. Tout dépend du contexte. Elle n'est pas dans la réflexion ou l'intellectualisation, toutes ses réactions sont automatiques: soit elle se retrouve submergée et se fait emportée; soit elle refoule automatiquement la vague avant de la laisser monter. Le déni étant si puissant qu'elle est persuadée de ne rien ressentir. Ses réactions sont très malléables...

   ..FACE A UNE PERTE/LA TRISTESSE : Tout dépendra de la perte qu'elle subira ou de la tristesse qu'elle ressentira. Là encore, Draryce se laisse facilement aller à ses émotions. La perte la plus minime, pour quelqu'un d'aussi superficiel et matérialiste qu'elle, représentera beaucoup. Les pertes matérielles entraînent des réactions qui varient de la bouderie, à l'énervement voire aux larmes s'il s'agissait d'un objet qui lui tenait particulièrement à cœur. Sa réaction la plus excessive à ce jour, eut lieu  aux 10 ans de Ménia, alors que Draryce atteignait l'âge de 13 ans. Ce jour là, son courroux s'abattit sur un enfant marchand qui lui avait arraché le peigne à cheveux que ses frères lui avaient offert. Le jeune Hector de la famille Derhaim y avait perdu une dent, aujourd'hui encore manquante. L'incident avait provoqué une tension entre les deux familles marchandes et les Derhaim, jugeant qu'ils ne pouvaient marier leur fils à une famille d'éducation si pauvre, rompit les fiançailles entre Hector et la jeune Ménia, cousine de Draryce. Ménia pleura longtemps son premier amoureux, Draryce se prit la pire correction de l'histoire des Marchebois et regretta longtemps de ne pas avoir arraché plus de dents au fils Derhaim. C'est cet incident et son tempérament enfantin et immature qui fais redouter aux Marchebois une nouvelle crise diplomatique.
6 ans plus tard, elle connu la perte d'êtres chers: son cousin Haragorn et sa cousine Ménia Marchebois, morts assassinés aux côtés de leurs frère et parents. Elle était très proche d'Haragorn et Ménia. Elle a pleuré leur perte pendant des semaines, et a perdu l'appétit pendant plusieurs jours avant de pouvoir à nouveau ouvrir la bouche sans hoqueter et s'effondrer en larme.
   


   
TAILLE : 1m65
  POIDS : 65 kg
  COULEUR DES YEUX : Bleus
  COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Roux, Mi-longs
  PIGMENTATION DE LA PEAU : Blanche
  SIGNE PARTICULIER : Tâches de rousseurs, tatouage d'une flèche en forme de φ sur l'épaule gauche.
  PILOSITÉ : Rare, clairsemée.
  VESTIMENTAIRES : Draryce porte toujours des robes, pour les grandes occasions, dans la vie quotidienne. Quand elle travaille le bois, elle porte systématiquement un blouson en cuir sans manche par dessus sa robe du jour.
   


   

En l'an 1095 de l'ère matroscienne naquit à Midel-Heim, au sein d'une riche famille marchande, une petite fille du nom de Draryce. Elle était la première fille d'une longue lignée de garçons, 6 frères au total, âgés de 14 ans à 9 ans. Un différence d'âge qui expliqua peut être l'accueil bienveillant que lui firent ses frères, qui n'auraient pas pu rêver meilleur animal de compagnie qu'un petit bébé rose. A trois ans, une petite soeur vint partager la turbulente vie de Dracyce: Lia, et 5 ans plus tard Dolica, vinrent enrichir la rare présence féminine de la famille.

{ Son enfance

Draryce n'avait pas de mauvais souvenirs de son enfance: choyée, éduquée d'une main de fer par d'attentifs triplés et de vigilants précepteurs, elle grandit dans le confort d'un riche foyer.  A 5 ans, aux côtés de sa cousine Herina âgée de 4 ans, elle commença à suivre les premiers enseignements dispensés par son précepteur. Elle apprit à lire et rejoignit ses aînés. Son tutorat se fit plus tard aux côtés d'Ivannie et Miobë. Elle était indisciplinée, distraite et témoignait d'un profond desintérêt pour les études. Elle était le cauchemar des tuteurs, la mauvaise élève de la classe.

A 13 ans, alors qu'elle célébrait les 10 ans de sa cousine Ménia en présence d'invités marchands, elle s'emporta et envoya une droite bien placée à un enfant marchand de 10 ans qui y perdit une dent. Malheureusement, l'enfant était fiancé à sa cousine et son emportement créa un incident diplomatique qui mis fin aux fiançailles de sa cousine Ménia Marchebois et du fils de la famille Derhaim. On lui réserva la pire punition connue de l'histoire des Marchebois: la réclusion à sa chambre un mois durant, sans contact avec l'extérieur, dans le but de méditer sur sa conduite et sur les préjudices qu'elle avait fais subir à la famille. Elle ne tira pas beaucoup de leçons d'une si rude punition, si ce n'était que la solitude était ennuyeuse et qu'à ce prix là il valait mieux casser plus d'une dent.

Après sa sévère punition et la réclusion dans sa chambre un mois entier, sa cousine Miobë vint lui rendre visite. Attentive à ses proches, elle avait pensé à Draryce quand elle avait appris le départ prochain de la Vivenef au large. Elle proposa alors à Draryce de l'accompagner sur le vaisseau pour le voir avant son départ. Fatiguée et déprimée de ce long isolement, Draryce sauta de joie et accompagna sa cousine, son oncle et son cousin Nimaën pour l'inspection du vaisseau. Peut être était-ce dû à son long isolement, mais rien ne marqua autant Draryce que la découverte de la Vivenef. La souvenir de cette visite reste, aujourd'hui encore, très vif dans son esprit. Elle découvrit l'intérieur du bâteau, d'un bois sombre et massif, lisse au toucher, doux au contact de sa peau enfantine. Elle se souvenait du compartiment du capitaine, où l'odeur du bois se mêlait à celui du parfum de son oncle. Ses poils s'hérissaient au toucher du bois, un courant parcourait sa moelle épinière à chaque fois qu'elle rentrait dans une pièce. Elle quitta le navire avec un pincement au coeur, et les joins serrés. Elle porta plus que jamais sa cousine dans son coeur: elle éprouvait une profonde gratitude qu'elle ne parvint jamais à exprimer correctement.

C'est à partir de ce jour qu'elle s'aventurera dans les ateliers familiaux à la recherche de l'odeur et des sensations qu'elle avait découvert dans la Vivenef. Ulcérée par une attitude qu'elle considérait comme peu convenable pour une demoiselle, sa mère la réprimenda sans arrêt et lui ajouta des heures de tutorat pour l'empêcher d'errer à l'atelier et de gêner l'apprentissage de ses frères.

{ L'apprentissage de la charpenterie et de l'ébénisterie

Ses frères Tebbryn, Tarlyn et Tsabrak avaient cependant remarqué son nouvel intérêt. Comprenant que l'absence de Draryce à l'atelier n'était pas le fruit d'un désintérêt soudain mais le résultat de l'acharnement de sa mère à réussir l'éducation de la plus turbulente de ses filles, ils décidèrent de lui faire une surprise. Des restes d'un bois tendre, doux et blanc, Tebbryn réalisa une poupée. Tarlyn récupéra un beau morceau d'un bois sombre dont il fit un peigne, en souvenir de celui qu'ils lui avaient offerts et que leur mère avait confisqué après son célèbre incident. Enfin, d'un bois rouge aux lueurs dorées Tsabrak lui fit une grande boîte à bijoux, dans laquelle elle pourrait enfin ranger tous les bijoux qui ne trouvaient plus leur place dans sa chambre.

L'emploi du temps désormais chargé de l'enfant incluait un cours tardif qui s'achevait en fin de soirée. Ils attendirent patiemment 21h avant d'entrer dans la salle d'étude. Mais la salle était vide. Ils firent le tour de la demeure et découvrirent leur mère travailler le tissu épais du rideau en râlant. 'Draryce' s'exclama t-elle à leur regard interrogatif ' a la présomption de pouvoir se passer de ses enseignements d'histoire. Elle n'a même pas eu la présence d'esprit d'avertir son tuteur de son absence'. Elle tirait nerveusement sur les fils verts et dorés du tissu 'elle s'est juste éclipsée. Comme une sauvageonne!'.  Gênés, ils hochèrent la tête et s'éclipsèrent en se raclant la gorge. Tsabrak eut tout juste le temps d'atteindre la porte d'entrée qu'il explosa dans un rire gras, Tarlyn hoqueta doucement, amusé. Mais Tebbryn était inquiet. Tous trois prirent trois directions différentes à la recherche de la fugitive. La connaissant, elle devait être assise dans un coin à bouder. Draryce ne changeait jamais.

Tebbryn la trouva agenouillée sous une table de l'atelier. Armée d'un ciseau à bois, elle taillait un morceau de bois d'un vert anisé. Il s'agenouilla, son dos endolori craquant doucement alors qu'il se penchait en avant. Il était devenu trop vieux pour ce genre de jeux, songeait-il alors qu'il s'asseyait à ses côtés. Il se râcla la gorge, posa ses larges paumes sur les mains agitées de sa soeur, et  forca ses petites mains blanches à se relâcher, attrapant au passage le ciseau et le bois et les posant à ses côtés. 'Draryce' murmurait-il à l'enfant qui fixait le sol silencieusement, les genoux ramenés à la poitrine. 'Draryce' répétait-il encore doucement. Mais elle ne voulait pas relever la tête. Tout cela était très injuste, criait la silhouette repliée de sa soeur. Alors il parla, il parla longtemps et Draryce n'entendit que la chaleur de sa voix, sa profondeur. Apaisée, elle commença à se détendre et la fatigue s'abattit sur elle, la plongeant dans un lourd sommeil. Tebbryn recueillit sa tête doucement, et mit un bon quart d'heure à parvenir à se relever sans se cogner la tête tout en ramenant doucement sa soeur vers lui. Tsabrak et Tarlyn arrivèrent alors qu'il se tenait devant la porte de l'atelier, Tarlyn soupira de soulagement, et tous trois rirent doucement. Sans mot dire, Tebbryn fit demi-tour vers la demeure familiale, Tsabrak se recoiffa et Tarlyn se dirigea vers la porte ouverte de l'atelier. Il s'apprêtait à fermer la porte de l'atelier quand il vit une sculpture en bois traîner sous la table. Il l'attrapa et passa ses doigts sur le visage vert anisé de la poupée. Le bois était d'une excellente qualité, et une ressource peu commune. Il était assez difficile à travailler, de par sa nature résineuse et dense, et il était surtout très demandé sur le marché. Il était absorbé par la profondeur et la précision de ses yeux, la douceur de ses joues et le relief de ses cheveux. Plus il la fixait, plus elle semblait bouger. Elle était d'excellente facture, mais tout de même: on ne pouvait pas utiliser un bois pareil pour une poupée! Il fixa une dernière fois les plis de la robe : ils semblaient virevolter au vent ! Il était très difficile de donner cette impression de légèreté à du bois. Décidément, songeait-il, il ne pourrait jamais égaler le talent de Tebbryn en ébénisterie. Il rangea la poupée dans une poche de son veston et se détourna, éreinté. Tebbryn était déjà retourné déposer Draryce dans sa chambre, mais Tsabrak l'attendait encore dehors, décrotant ses chaussures. ' Sacrée gamine' s'exclama t-il à l'adresse de son frère alors que ce dernier fermait la porte. Tarlyn soupira.

Quand ils retournèrent dans le salon, Tebbryn se servait quelque chose à boire. Tarlyn jetta la poupée sur le canapé tout en déblatérant:
' Tu sais, je comprends que tu veuilles faire plaisir à Draryce. Vraiment. Mais il y a des limites Teby, utiliser un bois pareil pour ça c'est inimaginable. Tu devrais le savoir' Tarlyn s'était effondré sur un fauteuil, et défaisait ses chaussures. Tebbryn se tint silencieux et Tarlyn finit par relever la tête vers son triplé, les sourcils froncés. Il croisa le regard de Tebbryn, légèrement mal à l'aise ' Quoi? Ne me regarde pas comme ça, je l'ai retrouvé à l'atelier.'.
Tebbryn tenait sa poupée dans la main et son visage vira vers une teinte si pâle que cela inquiéta Tarlyn. ' '... t'en fais pas, elle est très bien ta poupée.' Tarlyn se remua dans son fauteuil, visiblement mal à l'aise, et fixa le deuxième triplé. Tsabrak était penché par-dessus le canapé et regardait par-dessus l'épaule de Tebbryn. Les sourcils froncés, ils fixaient tous deux la poupée. Sans un mot, Tebbryn sortit de la poche de son veston la poupée de bois blanc et tendre qu'il avait réalisé. Les sourcils relevés, Tsabrack s'exclama :
' Eh ben, Teby. Tu t'améliores vite.'
La voix de Tebbryn retentit alors, sévère: ' Mais non idiot! C'est pas moi qui irait faire ça!' Ils se turent tous deux, mal à l'aise. ' C'est Draryce.'.
Il y eut un long silence, et le rire gras de Tsabrak s'éleva de nouveau. 'Sacré gamine' soupira Tarlyn en souriant.

Le lendemain, les triplés firent une halte par le bureau de leur père avant de se rendre à l'atelier.  Sahjak, leur oncle, étant en pleine discussion avec Pereens, leur père. Sahjak avait de la présence et un charisme qui les mettaient mal-à-l'aise. Leur père et leur oncle interrompirent leur conversation alors que les triplés rentraient. Raide comme un piquet, Sahjak se tenait près de la fenêtre. Mais c'est à Pereens qu'ils s'adressèrent d'abord. Ils venaient au nom de leur sœur, bien qu'elle l'ignorait elle même, demander à ce qu'elle rejoigne l'atelier et commencer l'apprentissage de l'art de l'ébénisterie et de la charpenterie. Le visage de Pereens se tendit et son regard s'assombrit. Ce fut Sahjak qui leur adressa une réponse. Sans surprise, il refusa d'emblée. Depuis le récent incident qu'avait provoqué Draryce, il ne la portait pas dans son cœur. La petite commençait à se forger une mauvaise réputation, d'insolente et d'esprit pauvre, au sein des familles marchandes. Le mot courrait qu'elle était immariable. En plus d'entacher la réputation durement bâtie des Marchebois, elle ne s'avérait d'aucune utilité avec la réputation qu'elle commençait à se bâtir. Aussi, ne fut-il pas surprenant que le chef de la famille éprouve un profond mépris pour la petite effrontée et refuse d'accorder une demande qui la rendrait plus excentrique qu'elle ne l'était déjà. Mais les triplés ne lâchèrent pas l'affaire : ils avaient conscience que leur avis ne pesait rien aux yeux de leur oncle et étaient pleinement conscient de la situation de leur sœur. Aussi insistèrent-ils.

Le premier vanta l'acharnement de sa sœur à venir à l'atelier, et sa dévotion quand il s'agissait de transporter les outils et d'assister ses frères, même en leur ramenant à manger et à boire ! Il expliqua qu'une telle dévotion, inhabituelle au vu du tempérament de sa sœur, devait être encouragé et ne pouvait mené qu'à de meilleurs résultats, dans ses tutorats et son attitude ! Mais Sahjak rétorqua que la dévotion était certes une qualité utile mais que sans talent, cet apprentissage était une perte de temps. Et qu'une fille ne pouvait avoir la force et le talent requis pour un tel art. Le second déposa alors les cadeaux que les triplés avaient conçus pour leur sœur et déposa dans le lot la poupée qu'elle avait créé. Il leur demanda de les observer longuement et de désigner la meilleur œuvre parmi les quatre. Tous deux tombèrent d'accord sur la poupée au visage anisée, bien que les proportions furent maladroites, ils soulignèrent la qualité du travail du bois et l'extrême précision de sa découpe. Le visage de Pereens s'illumina notablement mais Sahjak resta méfiant et ne s'extasia pas ouvertement. Il admit simplement que le travail était bon. Une lueur dans ces yeux leur indiqua cependant qu'ils étaient sur la bonne voie. Le second annonça qu'il s'agissait là du travail de sa sœur. Pereens ne parvint pas à cacher sa surprise mais Sahjak restait méfiant. Il demandait la preuve que leur sœur était bien à l'origine de ce travail, qu'il refusait d'appeler œuvre. Il réfléchit un instant avant d'ajouter que cela n'avait pas d'importance, et que si une gamine de 13 ans était capable d'un travail pareil, ses frères y arriverait mieux et plus rapidement. Son profond déni d'un quelconque talent chez l'enfant blessa les frères et le dernier triplé s'acharna à son tour: Il tint un discours des plus sensés et changea complètement d'optique. Il présenta longuement sa sœur ruinée, destinée à finir vieille fille ou milicienne si sa réputation ne s'améliorait pas ou que des marchands bénévoles ou désespérés ne proposaient pas leur fils en marriage dans l'année. Il dépeignit la triste scène d'une solitude sans fin, d'une bouche à nourrir qui n'apporterait rien sinon le déshonneur de la famille et prit le temps de décrire les nombreux déshonneurs à venir que la famille subirait par sa faute. Alors que Sahjak se pinçait les lèvres, outré et concentré, le troisième triplé changea le ton de son récit. Il montra le personnage de sa sœur sous une autre lumière, plus clémente. Il montra un don modeste, utile, qui lui permettait de se concentrer. Il montra comment ce don pouvait se révéler précieux aux autres familles marchandes qui, contrairement à eux, n'avaient que des artisans des basse catégorie incapables de la moindre prouesse technique sur le bois. Et que, pour de sombre idiots comme eux, la capacité d'une fille, aussi turbulente soit-elle, à manier le bois avec dextérité serait un don qu'il ne refuseraient pas. Bien au contraire, ils seraient pas à supplier leur illustre oncle pour pouvoir marier leurs fils à quelqu'un qui créérait, dans l'ombre, la gloire future de leur famille. Sahjak riposta aussitôt que cette effrontée ne pourrait jamais créer la gloire d'aucune famille. Mais le triplé s'obstina :dans le seul but de plaire à son oncle, il ajouta à contre-coeur : 'bien qu'elle ne sera jamais à l'origine de leur gloire. Il leur suffira d'y croire pour que ça marche.'.
Pereens était nerveux. Sahjak était dubitatif mais finit par approuver l'apprentissage de l'enfant à la condition qu'elle réussisse le test qu'il lui donnerait à faire. Le test fut prévu le soir-même, leur mère fut prévenue et n'eut d'autre choix que de se plier à la décision du chef de famille. Les cours du soir furent annulés et on appela, sans autre notice, Draryce à venir à l'atelier à l'heure de la fermeture.

Draryce s'y rendit, boudeuse, s'attendant à un nouveau discours moralisateur. Tous les apprentis et les maîtres ébénistes et charpentiers avaient quittés l'atelier. Ne restait que son père et son oncle Sahjak.  Elle se figea à leur vue, oscillant sur le pas de la porte. Pour que son oncle, le chef de famille soit là, il fallait que cela soit sérieux. Elle parcourut mentalement toutes les bêtises qu'elle avait faites depuis l'incident de l'anniversaire. Elle était pâle et tremblait comme une feuille, rien de ce qu'elle avait pu faire n'était assez grave pour justifier sa présence, si ?
Ils l'invitèrent à rentrer et la firent asseoir sur une chaise de l'atelier. Ils avaient étalés divers échantillons de bois devant elle et lui demandaient de désigner un morceau à chaque question. Il fallait qu'elle associe les outils avec les bois correspondant, qu'elle range les échantillons selon le plus simple à couper au plus délicat. Du plus commun au plus rare. D'énumérer le nom des bois qu'elle voyait. D'indiquer à quoi servait les différents ciseaux de découpe du bois. Au grand mécontentement de Sahjak, elle s'en sortit relativement bien. Elle fit de nombreuses erreurs, mais l'ensemble de ses réponses était plus que correctes.

Il lui demanda alors de choisir un morceau de bois et un outil parmi ceux de la réserve de l'atelier. Il lui donna deux heures pour réaliser la décoration d'une poutre avec des illustrations d'animaux et s'esquiva. Toujours tremblante, à la fois de peur et d'excitation cette fois-ci, elle se rendit au fond de l'atelier. D'énormes poutres étaient posées contre les murs de la réserve. Elle repéra tout de suite la poutre qu'elle désirait travailler. Elle passa ses mains autour de la poutre et tira. Mais le tout était trop lourd pour une enfant de son âge et vacilla à peine. Heureusement pour elle, la poutre se trouvait dans un angle de la réserve. Elle se glissa donc dans l'interstice entre la poutre et le mur adjacent, appuya son dos contre la poutre et, les paumes posées contre le mur, elle appuya de toutes ses forces. La poutre vacilla doucement et s'effondra dans un bruit sourd par terre. Fendue en son milieu, elle avait renversé sur son passage deux autres poutres, dont l'une bloquait désormais l'entrée de la réserve. Mais Draryce s'en fichait, elle avait tout ce qu'il fallait. Et elle adorait les animaux. Elle ramassa un tas de ciseaux à bois. Elle n'était pas parvenue à reconnaître la moitié d'entre eux au test précédent mais peu importait, elle savait comment elle allait les utiliser et c'est tout ce qui comptait . Ce n'était pas conventionnel de les utiliser ainsi mais elle l'ignorait et s'en fichait en partie. Elle se saisit un lourd ciseau à bois effilé et fin et, les deux mains sur la poignée, le corps tendu sur la poutre, se projeta et l'enfonça profondément dans le bois.

Le bois qu'elle avait choisi était plus difficile à travailler que celui de sa poupée. Elle eut une période de découragement avant de se ressaisir et de changer de tactique. Elle regrettait d'avoir choisi ce bois mais ne se voyait plus travailler quoi que ce soit d'autre. Aussi décida t-elle de changer d'outil et de tactique. Au lieu de dessiner les animaux un à un, elle commença à tailler grossièrement des bulles dans lesquelles elle projetait de tailler des animaux. Elle lâcha et le lourd ciseau et repassa sur les bulles avec plus de précision, en retirant l'excès de bois pour ne laisser que des silhouettes. Elle terminait tout juste la dernière silhouette qu'on vint taper à la porte. Mais la porte de la réserve était bloquée par une des poutres en bois qu'elle avait malencontreusement renversé plus tôt. Elle jeta un coup d'oeil à la porte et reporta à nouveau son attention sur le bois. Elle n'avait plus le temps. Les deux heures étaient passées et elle n'avait eu le temps de faire que deux animaux. Elle serra la mâchoire et, sans répondre aux hurlements qui s'élevaient de l'autre côté de la porte, retourna s'agenouiller aux côtés de sa poutre. Elle sentit un courant électrique parcourir alors qu'elle taillait avec frénésie les formes de plus en plus nettes d'animaux terrestres qui, au fur et à mesure des bulles, prenaient la forme d'animaux célestes. Elle tailla ainsi sans plus s'arrêter, jetant occasionnellement un ciseau qui lui était devenu inutile pour en saisir un toujours plus fin.

Son oncle et son père mirent deux heures à démonter la porte. N'osant pas l'abattre de peur que la petite se trouve derrière, ils avaient dû se résoudre à essayer de la pousser tout en la soulevant. Aidés par les frères de Draryce, il leur fallut deux bonnes heures pour parvenir à maintenir la porte poussée, malgré le poids de la poutre qui la retenait de l'autre côté, et de pouvoir la soulever. Draryce travaillait sans mot dire dans le crissement de la poutre contre la porte. Quand ils parvinrent à rentrer, elle avait terminé les silhouettes, les masses musculaires des animaux au repos, qui sautaient ou volaient et continuait toujours de tailler en silence les textures de poils et de plumes le long des animaux. Furieux, son père la saisit par le bras et la souleva mais Sahjak l'arrêta d'un signe de la main, à la grande surprise de tout le monde. Il observa longuement la poutre, se détourna et quitta la pièce sans mot dire.

Pereens lâcha Draryce, qui frotta son bras rougit et s'apprêtait à ressaisir ses outils pour terminer ses animaux. Cette fois, ce sont ces frères qui l'arrêtèrent doucement. ' C'est fini Draryce' murmura quelqu'un dans la salle en la soulevant à nouveau. Alors qu'on la poussait vers la sortie, son père - d'une blancheur cadavérique- lui adressa un unique commentaire ' vous ne toucherez plus jamais au bois sorcier jeune fille'. Elle baissa la tête, livide, et sortit sans se débattre.

{ Son marriage

La semaine suivante, Draryce fut officiellement invitée à suivre l'apprentissage d'ébéniste et de charpentier au côté de ses frères et cousins. Le temps passait vite dans l'atelier et elle devait poursuivre ses leçons avec ses tuteurs. Les journées étaient longues et éreintantes. Elle apprit comment utiliser correctement les outils mis à sa disposition, de quel côté il valait mieux couper le bois et comment travailler les différents bois. Elle commenca avec les bois communs les plus mous et les moins chers. Ce nouveau rythme la fatiguait énormément mais elle ne se plaignit jamais, de peur qu'on la prive de l'atelier et endura sans mot dire toutes les exigences de sa mère. Elle montra dès lors un comportement quasi-exemplaire, au vue de son passé indisciplinée et se montra attentive aux remarques de son entourage. Son entourage estima bientôt que son son nouvel apprentissage lui était bénéfique, à tout point de vue et les plus réticents admirent qu'il lui avait peut être manqué une passion pour s'épanouir. Sa pratique de l'artisanat fut sujet clos.

A ses 14 ans, elle savait travailler les bois mous et durs et commençait à apprendre sur des bois plus rares et plus chers. C'est à cette époque là, un peu tardive pour des marchands, qu'elle obtint enfin une demande de fiançailles.  Son oncle, pendant plusieurs mois, s'était acharné à lui demander des petits objets utiles à offrir en cadeau aux familles marchandes. Son travail avait porté ses fruits, beaucoup s'extasiaient devant les petits détails et les volumétries douces de son travail. On ne parla bientôt plus de la Marchebois turbulente, ou de la sauvageonne: on commença à l'appeler Draryce, la Marchebois aux doigts d'or. Une bonne famille marchande introduisit son fils en fiançailles à Draryce le jour de ses 14 ans. Le mariage ne l'intéressait nullement, et le fiancé non plus. Mais ses frères lui assurèrent que cela ne changerait rien, qu'elle continuerait à travailler le bois et que cela ferait tellement plaisir à son oncle qu'il la laisserait même peut être retoucher au bois sorcier ! Cet argument finit de convaincre Draryce, qui n'avait de toute façon pas le choix, mais qui se montra conciliante et de bonne compagnie et ne provoqua, à cet anniversaire là, aucun scandale.
Elle découvrit alors Klauser Varchen, alors âgé de 20 ans. Relativement proche de ses grands frères, elle le toléra, malgré certains aspects de son tempérament qui lui déplurent aussitôt. Klauser était quelqu'un de silencieux, discret, peu social et qui riait peu. D'une certaine façon, il se distinguait des discussions enthousiastes par son silence et ne cherchait pas à témoigner d'un quelconque intérêt envers ce qu'il jugeait stupide. Draryce le jugea condescendant et imbus de sa personne et se contenta de le saluer, tout en se passant de sa compagnie.

A 16 ans, elle arrêta de suivre ses leçons avec ses tuteurs et épousa Klauser Varchen, alors âgé de 22 ans, pour qui elle ressentait un mélange de mépris et une discrète reconnaissance. Sa venue à la demeure lui permettait de continuer son activité et son nouveau mari n'avait que peu d'exigences, qu'elle acceptait joyeusement au vu de la liberté que son déménagement chez les Marchebois lui offrait. Son mépris se mua en indifférence et elle commença à réaliser des commandes de bois commun. Elle restait à l'atelier à travailler tandis que son compagnon allait et venait sur les chantiers sous le titre d'inventeur. Il supervisait les travaux, et faisait preuve d'une expertise qui lui fit gagner l'estime de sa femme. Il la laissait libre de travailler à sa convenance, ne discutait qu'affaire et bois avec elle et Draryce n'en demandait pas plus. Elle devint disciplinée dans son travail, et extrêmement productive au côtés de ses frères. A 17 ans, sous la pression de sa famille, elle tomba enceinte et accoucha de deux jumeaux, un garçon et une fille du nom d'Ethros et de Psyché.

{Aujourd'hui

A 18 ans, après son deuxième accouchement d'une deuxième fille du nom d'Aisling, elle eut enfin l'autorisation d'apprendre à travailler le bois sorcier.  A 19 ans, elle accoucha pour la troisième fois de jumeaux, deux garçons au nom d'Herebos et de Nathanaël. Ses relations avec Klauser se sont relativement améliorées, bien qu'ils ne soient pas souvent ensemble, il se montrent désormais plus complices quand ils se retrouvent et abordent des sujets plus vastes que leurs vies professionnelles.
Aujourd'hui encore, elle apprend les rudiments et subtilités du travail du bois sorcier et travaille à la réalisation de commandes dans l'atelier aux côtés de ses frères et cousins. Cependant, suite à la fatigue des accouchements successifs et à ses enfants en bas-âge, elle est contrainte de rester souvent dans le domaine familial pour s'occuper de ses enfants et ne travaille plus qu'en de rares périodes, généralement quelques heures par jours en fin d'après-midi/ début de soirée. Sa mère s'occupe excessivement bien de ses petits enfants et se montre plus conciliante envers Draryce. Elles s'arrangent parfois pour que sa mère s'occupe d'Ethros, Psyché, Aisling, Herebos et Nathanaël, encore en bas-âge, pour que Draryce puisse se défouler et avoir du temps pour sculpter le bois. Ces relations avec ses oncles et tantes s'est notablement améliorée et elle reste toujours aussi proche de ses cousins, cousines, frères et sœurs. Son comportement particulier, un peu plus maîtrisé, est désormais mieux toléré dans la société marchande, qui attribue ses excès à la fougue de la jeunesse et ne voient plus qu'en elle une jeune femme passionnée aux tendances légèrement excentriques.

Sa frivolité lui cause cependant encore des soucis : certains la soupçonneraient d'infidélité, d'autres vont jusqu'à dire que ses enfants ne sont pas tous ceux de son mari. La rumeur court parfois, s'enfle à chacune de ses nouvelles rencontres, et s'atténue mais ne disparaît jamais. Klauser reste de marbre face aux rumeurs et personne ne sait réellement ce qu'il en est.

   


   
Date d'anniversaire : 23 alvos 1095
  Phobie(s) : Ne peut pas passer sous des objets lourds posés en hauteur, elle s'imagine toujours qu'ils vont lui tomber dessus; a la phobie des fantômes et de tout ce qui relève de l'inexplicable et du surnaturel.
  Tics/manies : Appuyer sur ses tempes quand elle se concentre; Se gratter le coude avant de prendre une décision; et tapoter ses genoux avec la paume de ses mains quand elle s'impatiente.
  Rituel quotidien : Aucun.
  Autre particularité: Ne supporte pas qu'on touche à ses affaires.
   


   
Ambition : Devenir la meilleur ébéniste de l'Île! Rien que ça.
   Secret : Elle est infidèle.
   Réputation : Les plus mauvaises langues la décrivent comme frivole, infidèle et superficielle, mais d'avis général Draryce est quelqu'un d'enjouée, d'une compagnie agréable, entière et acharnée qui a est un peu excentrique par moment. Elle reste cependant quelqu'un dont on ne recommande pas généralement la fréquentation, ou seulement de manière formelle.
   


   
Où as-tu trouvé le forum ? Par partenariat avec un forum de graphisme dont j'ai oublié le nom... -_-
   Première impression : Wahooou  :wou:
   Robin Hobb ça te parle ? Pas du tout, je viens de la découvrir sur wikipédia :-D
   Tes autres pseudos habituels : SkZoGrl et Bizzbee
   Ton activité à prévoir : Surtout en soirée et les week-ends!
   

   
[/b]
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Posté dans Re: Draryce Varchen   - Ven 31 Juil 2015 - 7:29

Bienvenue *w*
Bon courage pour ta fiche et n'hésites pas si tu as besoin de nos lumières !
(pis trop bel avatar **)
Draryce Varchen
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On m'appelle Draryce Varchen


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Posté dans Re: Draryce Varchen   - Mar 4 Aoû 2015 - 9:35

Merci Skye! (j'adore ton avatar en passant :wou: )

Je viens de finir ma présentation! Est ce qu'un admin qui passe par là aurait le courage de changer mon nom de compte en 'Draryce Varchen' ? C'est pas comme si c'était la deuxième fois 7166

Merci d'avance ht456h
Karl Varchen
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On m'appelle Karl Varchen


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http://www.ile-joyaux.com/t2475-journal-d-un-scientifique http://www.ile-joyaux.com/t2471-karl-varchen
Posté dans Re: Draryce Varchen   - Mar 4 Aoû 2015 - 10:42

Bienvenue chère ... Petite belle-fille ? Very Happy

C'est un beau personnage que voila, je suis vraiment curieux de voir ce que ça donnera ! En tout cas, je te souhaite bon jeu !

(J'ai bien aimé la façon dont tu as décris Klauser, je le voyais un peu plus droit, mais cette version est toute aussi intéressante ! ^^)
Draryce Varchen
Marchand

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Posté dans Re: Draryce Varchen   - Jeu 6 Aoû 2015 - 6:39

Coucou grand beau-papa :-D
Merci beaucoup! Si tu as des suggestions pour Klauser ou des choses qui t'ont gêné, n'hésite pas à me le dire! Je ne rentre pas trop dans les détails, en espérant qu'un jour quelqu'un vienne le jouer.

En espérant qu'on se recroisera dans le jeu!:bigsmile:
Loth de la Vision
Forban du Désert

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Posté dans Re: Draryce Varchen   - Ven 7 Aoû 2015 - 6:10

Bienvenue officiellement o/

Eh ben elle est vraiment chouette cette fiche, j'aime beaucoup cette marchande (infidèle fufu~) J'ai rien à redire donc je peux valider direct. Désolé pour le temps, j'ai pas pu lire avant.

Bon RP !

(je vais changer ton pseudo;) )

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Posté dans Re: Draryce Varchen   -

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