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[RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom

Varsä'Oellis le Croyant
Forban du Désert

On m'appelle Varsä'Oellis le Croyant


Infos Personnage
RANG:
VILLE & APPARTENANCE : Col Muertiga
MON AGE : 37 ans
Masculin
MESSAGES : 29
AGE : 34
INSCRIT LE : 31/05/2015
PSEUDO HABITUEL : Asher
Joyaux : 10
http://www.ile-joyaux.com/t2907-varsa-oellis-le-croyant#62603
Posté dans [RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom   - Jeu 13 Aoû 2015 - 16:04

- 13 hommes Varsä dont trois démineurs, ils sont sur place depuis deux jours je  fais préparer les hommes pour aller à leur rencontre?
- Non Erek
- Tu ne vas rien faire Varsä, ils ouvrent une brèche, ils sont entre Arish et le col.
- Erek, comment attires-on les crowen ? Pas en faisant du bruit mais avec de la nourriture, si ces hommes cherchent des mines que devrions-nous faire ?
- Bien Compris, je fais préparer une équipe.

Depuis un peu plus d’un an qu’il avait repris la tête de Tol’Krigareh, Varsä avait suffisamment fait couler le sang  pour être obéit sans écueils. Erek le Siffle Lame, son second reconnu pour ses qualités martiales sans pareilles n’était pas un stratège pour autant. De son père Varsä avait appris qu’il fallait être un fou pour sacrifier ses hommes sans que le  jeu en vaille la chandelle. Les Veilleurs pourpres étaient équipés et entraînés l’assaut frontal n’était pas la meilleure solution.

Les hommes avaient soif de raids et de batailles. Depuis trop longtemps l’ivresse de la mort ne s’était pas répandue dans les veines de ses forbans, atavique et implacable, la soif de combat ne pouvait s’épancher que dans le sang et la destruction, les cris de détresse et de panique étaient des mélopées orgasmiques à leurs oreilles, le regard implorant du perdant n’était qu’une danse nuptiale du vaincu implorant la lame qui irait s’enfoncer dans son ventre. Tels étaient les forbans, tels étaient les Tol’Krigareh. Un chef comme Varsä pouvait canaliser cette haine et la transformer en quelque chose de plus fort, de plus grand. Les prophétesses étaient limpides sur ce point : le destin des Tol’Krigareh allait changer.

Varsä quitta son appartement pour rejoindre ce qui faisait office de salle de guerre. Erek attendait et les deux hommes à la lueur d’un feu préparèrent ensemble le plan. Une équipe rapide irait fabriquer un champ de mines très dense, un petit champ avec de très nombreuses mines qui ne manquerait pas d’attirer l’attention des démineurs. Autours de la zone, les forbans se dissimuleraient et quand viendrait le moment ils fonceraient en encerclant les intrus comme des oiseaux de proies. Le plan était simple, efficace.

Le lendemain les mines avaient été placées conformément aux ordres et dans un ordre peu commun pour des forbans l’embuscade fut tendue. Une vingtaine de  forbans connaissant le désert comme leurs poches et armés jusqu’aux dents s’étaient mis en position en attendant les visiteurs qui finiraient – Varsä l’espérait – par arriver.

Le chef du Kerkeï torse nu, maquillage rouge sur le visage serrait le poing sur sa hache, un baster rouillé pendait à sa ceinture. Dissimulé derrière une dune aux côtés d’Erek tout aussi impatient que lui, il lui souffla à l’oreille

- Passe le mot aux hommes, nous gardons les démineurs en vie.
- Tu es sûr ?
- Une victoire n’a pas d’intérêt pour nous si personne ne peut la raconter. Il est temps que  Korrul et les Veilleurs Pourpres apprennent à craindre les Tol’Krigareh et découvrent que nous n’avons rien à leur envier en matière de cruauté.
- Tu as toujours été beaucoup trop poétique pour moi.

Un éclaireur resté à bonne distance fit signe à l’aide d’un petit miroir fêlé qu’il y avait du mouvement non loin de là. Les hommes se dissimulèrent un peu plus. Ils arrivaient, les prophétesses avaient prédit qu’ils viendraient. Un regard sur le champ de mine alors que son cœur s’accélérait, son poing se serra sur sa hache comme si il voulant retenir son envie de s’enfoncer dans la chair.
Khéops Aanka'Leï
Veilleur Pourpre

On m'appelle Khéops Aanka'Leï


Infos Personnage
RANG: Solaris Aanka'Leï, Eyföhl Aanka'Leï, Hinaë Aanka'Leï, Esmeor Aanka'Leï, Asher Aanka'Leï, Erhenyce Khar'ayn
VILLE & APPARTENANCE : Ofägar
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INSCRIT LE : 23/09/2013
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Joyaux : 338
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Posté dans Re: [RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom   - Mar 18 Aoû 2015 - 5:04

La zone était cruellement dangereuse.
Jamais au cours de ses trois années de service au sein de l'équipe des démineurs Khéops n'avait vu cela. Il devait y en avoir par dizaines, éparpillées ça et là, sans réelle sens, sans réelle intention. Que s'était-il donc passé ici, pour qu'y soient regroupés tant de mines terrestres ? Avaient-elles étaient simplement abandonnées ? N'était-ce que les restes d'un chargement égaré, que le sable avait recouvert avec le temps ? Quoi qu'il en soit, il était plus que nécessaire de sécuriser la zone, sans quoi, les malheurs Veilleurs qui auront le malheur de traverser cette zone se feront tous tuer un à un.

- Bon, on va commencer, ordonna le Lieutenant Faïz, en charge de cette mission. Et vous, éloignez-vous si vous ne voulez pas crever ! Allons, dépêchez-vous !

Les soldats assurant la protection des démineurs s'éloignèrent suffisamment pour ne pas être d'inutiles victimes si l'une des mines explosait. Chaque année, plusieurs démineurs perdaient la vie en manipulant les engins explosifs. C'était un métier à risque, un métier d'une dangerosité sans nom, et chaque soldat s'engageant dans cette voie en connaissait les risques. Très souvent, la passion prenait le dessus sur la peur, comme cela avait été le cas pour Khéops.

Suivant les directives de son officier, Khéops le soutint dans le désamorçage de la première mine, et ce sans jamais trembler. L'homme avait le cœur lourd de haine et de colère. Pour briser les forbans il était prêt à tout. Désamorcer leurs mines. Les égorger. Tuer leurs enfants. Même juste les offenser. Tant qu'il leur faisait de l'ombre, tant qu'il les faisait souffrir, Khéops y trouvait du réconfort. Ce champs de mines était une véritable aubaine, une victime sans précédent sur les forbans et leurs armes mortelles.

- Hé ! Attention, ils nous... Aaaaarrrrrg...

Surpris par le cri du soldat, Khéops releva la tête. Face à lui, un jeune soldat chuta, le ventre lacéré et les yeux exorbité par la peur et la souffrance. Avant même que Khéops n'ait eu le temps de prononcer le moindre mot, il rendit son dernier souffle. D'autres furent exécutés à leur tour, et ce par des bêtes assoiffées de sang. Des bêtes désireuses de tuer, des monstres de puissance, de muscles, dont les cris sauvages se répandaient jusqu'aux confins du grand désert.

- Saïd, non, Saïd, ne bouge plus ! ordonna le Lieutenant Faïz.

L'homme, dans son malheur, déclencha l'activation de plusieurs mines, ce qui eut pour effet de projeter les deux autres démineurs au sol, assommés par le souffle de l'explosion. Se relevant non sans difficulté, Khéops fit face à plusieurs forbans et sortit la seule arme qu'il avait en sa possession : une large dague, seule arme qui ne gênait pas le démineur dans son travail. Son officier fit de même, tournant le dos à Khéops afin de couvrir ses arrières.

- Ça va gamin ?
- Je vous entends à peine...je vous entends à peine Lieutenant...
- Reprends-toi ! Ca va revenir ! C'est le souffle ! Tu as les oreilles qui sifflent, c'est normal ! Garde courage.
Varsä'Oellis le Croyant
Forban du Désert

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Posté dans Re: [RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom   - Mer 19 Aoû 2015 - 16:54

Les rats étaient pris au piège. Un hurlement bestial de Varsä et la masse grouillante de forbans refermèrent le piège. Dans une démarche toute féline le chef du Kerkeï trancha un premier corps juste à côté de Khéops.  Au combat le fils de Zarrouk le Flamboyant ne se laissait jamais emporter par une quelconque émotion. Les meilleurs guerriers n’étaient ni guidés par l’amour ou par la haine. Le Croyant était de cette trempe : impassible, méthodique presque indifférent à la boucherie dont il était l’instigateur comme si ce n’était qu’une corvée.  

Les lames s’entrechoquaient avec violence, les Veilleurs Pourpres avaient du répondant et se lancèrent à corps perdu dans la bataille, tous savaient qu’il ne pouvait y avoir que deux issues dans cette terrible bataille la mort ou la victoire. Les forbans jouaient à domicile, en surnombre assoiffés de guerre ils prirent le dessus sur les intrus.

D’un mouvement de hache le chef forban bloqua  l’épée d’un des veilleurs, agrippant le manche de son arme à deux mains il fit un tour sur lui-même désarmant le malheureux tandis que sa tête se détacha de son corps dans un geyser de sang. L’appendice du défunt roula jusqu’aux pieds de Saïd qui pris de panique fit un mouvement de recul et déclencha les mines.

Tout le monde fut soufflé, Varsä aux côtés d’Erek tombèrent au sol. Ivre d’adrénaline, le guerrier sauta sur ses pieds pour contempler l’ampleur de la boucherie. Les derniers veilleurs hissaient le pavillon blanc se rendant en jetant leurs armes au sol sous le regard Triomphant d’Erek le Siffle Lame. Les corps gisaient et plusieurs forbans avaient également perdus la vie, cette vie d’hommes libres qu’ils avaient toujours chéris autant que le désert qui les avaient vus naître et mourir.

Le chef du Kerkeï le torse couvert de sang se dirigea vers Khéops et son lieutenant, les deux malheureux démineurs furent rapidement encerclés par cinq forbans qui n’attendaient qu’un ordre pour se ruer sur eux. Un sourire mauvais se peignit sur le visage maquillé de chef du Kerkeï dont la hache ruisselait encore du liquide vital de sa dernière victime. Les deux démineurs étaient sonnés et n’étaient pas une menace,  l’un d’entre eux avait l’air si jeune qu’il était étonnant qu’il ne soit pas encore pissé dessus.

- C’est maintenant qu’ils regrettent de ne pas être restés sagement dans leurs belles villes luxueuses, pas vrai mes amis ?

Erek et les forbans acquiescèrent dans un éclat de rire à s’en décrocher la mâchoire.  Les forbans n’eurent aucun mal à désarmer les deux hommes encore sous le choc de l’explosion. Quelques secondes après, ils furent trainés au sol par les solides bras des ravisseurs auprès des autres survivants pendant que Le Croyant rejoignit son second :

- Rapport sur la situation ?
- Quatre bouches puantes de moins à nourrir de notre côté et un blessé qui s’en remettra après avoir tiré une ou deux pucelles, quatre survivants de leur côtés, enfin trois et demi. J’en fais quoi ?

Ricana Erek sadique en montrant un veilleur gisant sur le sol se tenant le ventre en poussant des petits cris aigus.

- Achève le blessé et fait enterrer nos pertes nous gardons les survivants en vie.

Trancha Varsä avant de tourner le dos à Erek déçu à l’idée de garder les Veilleurs en vie. L’homme imposant alla voir ses trois prisonniers solidement tenus en joue par un groupe de chiens de guerre. Il planta sa hache dans le sable et tendit son blaster à un de ses fidèles puis il s’accroupit en face de ses nouveaux prisonniers.

- J'ai gagné on dirait.

Dit-il avec un sourire malicieux en surjouant le contentement.
Khéops Aanka'Leï
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Posté dans Re: [RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom   - Lun 31 Aoû 2015 - 3:55

- Les Veilleurs ne paient pas de rançons, pas même pour leurs officiers.

Khéops n'entendait plus ; il n'entendait plus les supplications du soldat, apeuré par toutes ces armes pointées sur lui. Il n'entendait plus les paroles sages de son officier, qui préférait mourir dans l'honneur plutôt que de devenir une marchandise, un esclave. Il n'entendait plus les provocations acerbes de son geôlier, dont l'imposante musculature, le regard mordoré et le sourire mauvais, auraient effrayé même le plus courageux Veilleur.

Les Forbans.
Les assassins de sa tendre et belle Aminä.
Des êtres au sang impur. Des sangs-mêlés. La crasse de Korrul, qui ne vit que par le pillage, le viol, la violence, multipliant les raids, arrachant aux familles sœurs et filles, pour en faire leurs esclaves. Pour eux, la mort était un piètre châtiment.

- Espèce d'ordure... marmonna le jeune homme, tremblant.
- Attends, Khéo...

Ignorant les armes pointées sur lui, ignorant les ordres de son officier, plus sage, plus raisonnable, Khéops se jeta sur son geôlier, le rouant de coups de poings, hurlant toute sa rage, toute sa haine, tel l'Ugron à qui l'on retire ses petits.

- Crève ! Crève ! Crève espèce d'ordure ! Salopard ! Tu l'as tué ! Tu m'l'a prises ! Tu l'as tué ! Meurs ! J'vais t'tuer !
Varsä'Oellis le Croyant
Forban du Désert

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Posté dans Re: [RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom   - Lun 7 Sep 2015 - 16:22

-Une rançon, je n’ai que faire d’une…

Varsä s’interrompit lorsque Khéops se rua sur lui. La colère de l’homme fut si vive, si explosive qu’il en fut totalement surpris et tomba à la renverse sous les coups du désespoir et de sa colère du prisonnier. Un grognement plus tard piqué à son tour par la colère l’imposant Forban se protégea des coups en poussant un grognement sourd.

La surprise passé le guerrier aguerri envoya un solide coup de genou dans les côtes de son agresseur le foudroyant au sol. Fou de rang,e Varsä poussa un cri de guerre en essuyant le sang qui coulait de son arcade sourcilière. Comme possédé il attrapa Khéops par les cheveux et le tira avec force vers le haut avant de lui offrir un second coup de genou cette fois en pleine tête. Sous les yeux méfiants d’Erek, le chef du Kerkeï releva une seconde fois sa victime par les cheveux jusqu’à le mettre débout face à lui.

- Tu es courageux veilleur, c’est une qualité que je respecte chez un homme.

Un sourire mauvais sur le visage et Varsä lécha un filet de sang qui coulait sur le visage puis, comme ultime récompense il lui asséna un violent de coup tête le renvoyant au sol une troisième fois. Jugeant la punition suffisante, le Forban prit un air plus grave et s’accroupit à nouveau face à Khéops laissant son regard mordoré couvert du sang de ses ennemis se perdre vers l’horizon brûlant.  

- Nous perdons tous des proches veilleur, c’est même le principe de la guerre.

Varsä eut une pensée fugitive pour sa mère, tuée bien des années auparavant par les Veilleurs Pourpres. Plus jeune que Khéops, il en avait été ébranlé et avait juré de tuer tous les envahisseurs de Korrul jusqu’au dernier, mais avec les années son idéal de vengeance s’était mué en quelque chose de plus grand. Son envie de violence n’était plus aussi intense que par le passé se noyant peu à peu dans l’espoir d’une vile meilleure pour les Forbans.

- Crois-le ou non, je suis désolé pour ta perte. Depuis trop longtemps des innocents perdent la vie à Korrul ou dans ce désert.

Dit-il le plus sérieusement du monde avec une certaine amertume en se relevant et en regardant les cadavres encore chauds des veilleurs pourpres à présent entassés et complétement dépouillés. Les Tol'Krigareh fouillait toujours leurs victimes. Les possessions matérielles revenaient toujours à celui qui prenait la vie de l'autre, c'était une tradition immuable, millénaire.

- Bien qu’allons-nous faire de vous maintenant ?

Les forbans proposèrent en riant de les tuer, de leurs couper les bijoux de famille, de les enterrer vivants dans le désert, de les faire travailler comme esclave dans les mines. Errek proposa même en tenant sa dague de leur percer les yeux et les laisser mourir de soif dans le désert. Varsä leva la main ce qui fit taire instantanément tous les hommes tenant toujours en respect les prisonniers.

- Pourquoi nous battons nous ? Sais tu répondre à cette question, veilleur... Un veilleur qui a peut être un nom ?

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Posté dans Re: [RPFB] Qu'ils pleurent en entendant notre nom   -

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