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On m'appelle Invité

Posté dans Neros Alverin   - Dim 8 Nov 2015 - 14:06

NEROS ALVERIN

We used to look up at the sky and wonder at our place in the stars. Now we just look down, and worry about our place in the dirt.

Prénoms : Neros
Nom d'usage : Alverin
Surnom Peu et rarement utilisés.
Age : 30 ans.
Langues parlées & écrites : Il écrit et parle couramment le matroscien, le joyellien ainsi que le korrulien. Son erfeydien s’enrichit peu à peu au fil des rencontres et échanges faits durant ses missions, mais pas encore assez pour tenir une conversation digne de ce nom.


Groupe : Milice.
Métier : Capitaine Explorateur.
Origine : Marchande.
Famille Proche : Il est issu de la branche principale de la famille Alverin de Vuulte. Son père Lazar en est le chef ainsi que le Capitaine de la Vivenef familiale ; sa mère est Aline d’Errande, née Sanpierre. Il a un frère ainé, Theodorus, héritier de la famille ainsi que deux sœurs jumelles, Thanis et Asthénia. Il a une femme, Idril, avec qui il a deux jeunes enfants : Lucéo et Matilda.
Vivenef : Arpésia, sous le commandement de son père Lazar.



Caractère : Un homme en pleine crise de la trentaine, qui a perdu ses idéaux et se bat aujourd’hui contre lui-même pour savoir quel sens donner à sa vie. Neros est frustré et maussade la plupart du temps, se montre incapable de prendre des décisions morales le concernant alors que ses compétences de leader ont été reconnu par ses supérieurs. Au quotidien, il est une personne moqueuse, cynique, et sa langue est beaucoup trop pendue pour être honnête. Il a un rapport avec l’autorité très problématique pour un gradé – il voit ses supérieurs comme des filous corrompus – et se montre souvent très critique vis-à-vis d’eux, ce qui pourrait mettre sa carrière en difficulté s’il n’avait pas la présence d’esprit d’agir en hypocrite et en toute discrétion. Ses colères sont légendaires, tant par le volume sonore que par le flot d’insultes qui les caractérisent ; discret et calme la plupart du temps, les gens ont tôt fait de sous-estimer ses réactions. Avec le commun des mortels, il est une personne serviable et à l’écoute, plutôt discret mais de bonne compagnie et assez cultivé pour tenir des conversations très diverses. Dans ses bons jours il peut également être un boute-en-train qui amuse la galerie mais son humour étant très corrosif et de très mauvais goût (et typiquement pince-sans-rire), il s’abstient la plupart du temps. On acquiert difficilement sa confiance néanmoins, lorsque cela arrive, on découvre un Neros très ouvert et attentionné, toujours prêt à conseiller et aider sans rien demander en retour. Avec le temps et ses soucis personnels s’aggravant, il se montre néanmoins moins enclin à être bon avec autrui et laisse plus la place à une certaine indifférence sociale. Seuls les soldats sous son commandement trouvent encore une clémence à ses yeux.
Préférence alimentaire : Le délicat palais de Neros se délecte de la fine gastronomie matroscienne, principalement des recettes sant poséinosiennes ; il raffole des mets épicés et sucrés – depuis son arrivée aux Erfeydes, il rêve à longueur de journée d’une bonne Duchesse Carmine. Néanmoins, il se satisfait de peu du fait de son gros appétit.

Loisirs : Il se passionne de violon et de piano – il chérit d’ailleurs son vieux violon en bois-sorcier plus que de raison – bien qu’il ait beaucoup perdu avec le temps. Il a également beaucoup apprécié brûler la chandelle par les deux bouts à une époque de sa vie mais ça, c’était avant les responsabilités. Aujourd’hui, tourmenter gentiment la bleusaille constitue son principal passe-temps. Neros est un homme très frustré.

Préférences relationnelles Si dans sa jeunesse le capitaine était une personne très sociable et disposait d’un large réseau au sein de la Milice, force est de constater qu’aujourd’hui, entre les morts et les disparus, celui-ci a quelque peu diminué. Il apprécie la présence des soldats sous son commandement avec qui il s’efforce de nouer des liens de confiance, mais également de quiconque d’ouvert d’esprit, peu importe l’origine sociale.

TAILLE : 1m88
POIDS : 80 kilos.
COULEUR DES YEUX : Bleu-gris.
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Cheveux courts brun, avec des reflets cuivrés.
PIGMENTATION DE LA PEAU : Claire comme toutes les honnêtes gens, qui tend facilement à hâler. Depuis qu’il est aux Erfeydes, il a la peau aussi pâle qu’un bidet de bonne femme.
SIGNE PARTICULIER : N’a absolument rien de particulier, ce qui fait sa particularité.
PILOSITÉ : Virile.
VESTIMENTAIRES : En civil, Neros jouit de ses privilèges de fils de marchand et ne porte que des pièces d’excellente facture dans des couleurs qui sied à son teint et des coupes mettant sa carrure en valeur. Il porte néanmoins toujours les mêmes couleurs – noir, blanc, doré, vert, camel – car il n’a pas le sens des couleurs et répugne à demander conseil pour des choses si futiles à son goût ; il s’en tient donc à ce qu’il maîtrise. Pas d’excentricités particulières, il fait preuve d’un bon goût plutôt classique.


...FACE A UN DANGER : La responsabilité d’une unité entière lui incombant, Neros se doit de faire preuve de prudence et de sagesse pour assurer à la fois sa sécurité et celle de ses hommes. Il s’assure toujours de la sécurité de sa position et du degré de danger avant d’agir.
..FACE A UNE NÉGOCIATION : Il est plutôt mauvais négociateur, n’en déplaise à son père. Il est le genre de personne qui s’énerve facilement, attaque et se montre ostensiblement irrité ou agacé (voire désintéressé) lorsqu’il se sent dominé par la partie adversaire et souhaite renverser la situation. Lorsqu’il prend le dessus, il n’hésite pas à noyer l’autre sous une pluie de termes, de contrats et de phrases alambiquées pour mieux le duper et le soumettre.
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : Neros se montre très critique, cynique et moqueur vis-à-vis des nouvelles têtes et ne s’en cache absolument pas – il fait néanmoins preuve d’un peu de réserve quand il est face à un supérieur, pour mieux le descendre par l’arrière une fois la confrontation terminée.
..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : Il lui faut une période allant de trois jours à trois mois pour enfin mettre des mots sur ces sentiments. Neros n’est pas des plus réactifs sentimentalement parlant.
..FACE A UNE PERTE/LA TRISTESSE : Il débouchonne une bouteille de pinard de Gernie.




A neuf ans, Neros avait déjà une conscience aiguë de la question du port d'arme au sein de Matroos. C'était un de ces cours particuliers qu'on donnait à chacun des membres de la famille Alverin afin de leur inculquer dès leur plus jeune âge le bien-fondé de leur commerce. Marchands de mort, comme on les appelait, mais Père se plaisait régulièrement à rappeler aux hypocrites de la société et ses enfants, que c'était ces mêmes armes qui réglaient le problème des forbans du désert et des pirates de Grand-Vent. Il s'agissait d'un commerce plus que nécessaire et c'était une besogne dont les Alverin s’acquittaient avec plaisir. Bien sûr, on lui avait également apprit que la famille jouissait de liens particuliers avec la Milice ; il n'en saisissait pas encore tous les tenants et aboutissants, mais ces contrats officiels et officieux lui offraient un futur déjà tout tracé. En tant que second fils, il était le tribut familial du Gouverneur, il prendrait les armes et se battrait pour l'honneur de la patrie. En tant qu'Alverin, il ferait un soldat d'exception et gravirait les échelons jusqu'à atteindre le haut de l'échelle milicienne. C'était, du moins, ce qu'on attendait de lui.

A cet âge, Neros n'avait aucune idée de quoi la vie normale d'un enfant était faite, n'ayant connu que privation et cours particulier. La famille était réputée traditionnelle et stricte, garante d'un certain savoir-vivre et savoir-faire qui plaisait lors des réceptions mondaines. A vrai dire, il pensait qu'il était commun pour tout enfant de son âge d'être privé de repas et de collation en punition d'un mauvais résultat aux cours particuliers ; qu’il était normal pour lui de ne jouer avec des enfants de son âge, surtout ceux dont la réputation familiale était problématique ; normal d'être brimé et rabaissé pour créer une compétition entre frères et sœurs ; régulièrement battu à la baguette par le professeur particulier ; d'agir en adulte à l'âge des poupées et des dînettes. Il avait, la plupart du temps, la chance de partager son sort avec son aîné Theodorus et ses cadettes Thanis et Asthénia ce qui le soulageait la plupart du temps. Mais Theodorus était un génie précoce, une intelligence supérieure comme on en voyait rarement et cette capacité faisait la fierté de la famille. On avait tôt fait de rappeler aux trois cadets qu'ils n'étaient rien et n'arriveraient jamais à l'égaler. Neros les croyait bien volontiers.

Un jour, quand sur les hauteurs de Vuulte Père les avait amené à la séance d'essai à l'air libre d'un prototype de fusil d'assaut avant que celui-ci ne fut officiellement présenté ; alors que le soldat avait appuyé sur la détente et qu'une longue et forte succession de détonations avait résonné jusqu'au plus profond de ses tripes enfantines et dévasté le tronc d'un joli bouleau midelain, le tout dans une ambiance stricte et puant la suffisance ; il avait vu son père serrer la main de cet étrange homme, satisfait de la démonstration du soldat, et se lancer dans un long monologue dont il n'avait pas saisi le sens. Si on parvenait à régler le problème de surchauffe… avait-il entendu. Diminuer le poids de l’arme et augmenter la cadence de tir… Ses sœurs étaient collées entre elles, effrayées, et ils les entendaient marmonner leur incompréhension. Mon fils Neros n’est pas très futé, je n’attends guère d’autre que lui qu’il pointe cette arme vers des pirates et qu’il les fesse assez rapidement pour en sortir vivant, afin qu’il puisse faire ce qu’il a à faire…

Il craignait son père, peut-être même le détestait-il de tout son être et c'était la première fois qu'il s'en rendait compte ; à la fois interdit et apeuré, il s'était imaginé son futur à manier cette grosse arme pour tuer des pirates et il en avait eu des cauchemars pendant des semaines.

**

La première fois qu’un supérieur l’avait appelé « bon soldat », il s’en était félicité pendant une bonne semaine. Neros n’était alors qu’un bleu et il lui avait fallu un certain temps avant de comprendre qu’on ne le félicitait pas pour ses qualités physiques et morales, mais bien pour son aptitude à obéir aux ordres comme un benêt. Il avait alors fini par le prendre comme une insulte car, il ne l’avait compris que trop tard, on lui avait appris toute son enfance à obéir sans conditions. On l’avait éduqué à devenir un parfait soldat avec assez de servilité pour servir les intérêts de la hiérarchie et de rigueur pour l’effectuer promptement. Néanmoins, une inconnue s’était glissée dans le parcours tracé à l’avance. On avait toujours dit à Neros que l’adolescence était une période ingrate à la fois pour le concerné que pour ses parents ; personne ne s’était douté que la sienne deviendrait problématique lorsque, à l’abri du fardeau familial dans le quartier général de la Milice, il s'était ouvert aux autres pour la première fois.

Neros avait toujours été, à sa façon, un bon soldat. Comme nombre de bien-nés, il lui suffisait d’agir de manière exemplaire pour espérer une promotion. Mais lui avait trouvé un plaisir particulier à apprendre le maniement des armes et les stratégies d’attaque ; quand son frère apprenait à gérer le commerce familial, lui apprenait quelle partie du corps viser pour paralyser ou tuer l’ennemi. En tant qu’Alverin, il bénéficiait d’un avantage supplémentaire mais il voyait cet état de fait plus comme une plaie qu’un privilège. Il était étonnant de voir qu’une arme ait pu permettre à sa famille d’acheter la clémence des supérieurs. C’était un échange de bons procédés comme il en pleuvait dans la société marchande, et tous en tiraient profits du moment qu’aucune réputation ne s’en trouvait entachée. Neros exécrait cette société et ne souciait guère de la bonne santé financière des Alverin. Il s’était fixé comme objectif de réussir en tant que soldat parce qu’il l’avait voulu, non parce qu’on lui avait permis. Ses classes n’avaient été que des années de luttes intérieures opposant son désir de réussir et celui de tout envoyer paître, tant la famille que ce détestable Colonel.

Il se souvenait très clairement de cette première permission qu’il avait fêté une fois le statut de milicien obtenu. Il se souvenait de cette brasserie vuultaise où tant de miliciens s’étaient rassemblés, tant d’esprits malfaisants et d’amis d’un soir avides de festivités. Il se souvenait de ces pintes de bières qui l’avaient plongé dans un abime sans fond et qui s’étaient succédées, permission après permission, dans une lente spirale d’autodestruction. Neros se souvenait de la douleur qui caractérisait ces jours sombres, elle avait un goût amer et il lui était désagréable de se rappeler la mauvaise personne qu'il était alors. Faible, mesquine, avec une méchante propension à se trouver là où on ne l'aurait jamais attendu. Il n’était pas le docile Alverin qu’on espérait ? Quelle importance ! Avait-il un jour rêvé de faire parti des leurs ?

**

Puis il se remémorait les sensations que lui provoquaient les douces caresses sur la gracieuse nuque d’Idril, cette merveilleuse femme qui avait accepté de lui offrir un peu d’intimité. Donner un enfant à la famille était bien la seule obligation à laquelle il avait à l’époque consenti de se soumettre. Idril avait une beauté certaine, fine et élégante comme un félin, elle miaulait comme l’un d’eux dans l’intimité et griffait férocement quand la situation l’exigeait ; elle ne se laissait pas faire et c’était ce qui lui plaisait chez elle. Elle était si bonne, bien trop bonne pour le misérable être humain qu’il était. Elle l’avait pourtant choisi lui, après deux tentatives de mariages infructueuses avec des partis bien plus honnêtes et respectables. Elle était si merveilleuse qu’elle avait réussit à le mater et l’apaiser.

Elle lui avait donné deux jumeaux dizygotes dans les années qui avaient suivi leur union et la première fois qu’il les avait tenus dans ses bras, il en avait pleuré. C’était le plus beau jour de sa vie et il tenait les choses les plus précieuses qu’il avait jamais possédées un jour. Pour la première fois de sa vie, il avait eu l'impression d'avoir fait les choses correctement. Vama en soit témoin, il allait changer. Il allait devenir un homme meilleur, plus sûr de lui et dans ses choix et il serait un jour la fierté de sa femme et de ses enfants.
Il ne remercierait jamais assez Idril pour tout le bien qu’elle avait apporté dans sa vie.

**

Les Erfeydes, hein ? Un lieu étrange où le froid et la neige régnaient en maîtres. Il y avait posé les pieds en tant que lieutenant, ayant parvenu à prouver sa valeur et sa bonne volonté. Oh, il n’avait pas totalement changé – il avait toujours ce caractère indiscipliné qui agaçait – mais il avait prit sur lui et gagné en maturité. Beaucoup de choses étaient en jeu sur ces terres et Neros, comme ses hommes, devraient se battre pour que Matroos clament ces terres siennes et bénéficient de ses merveilleuses ressources. C’était, du moins, ce qu’on leur avait dit. Aucune ressource en ithylium, si riche soit-elle, ne vaut la perte de temps d’hommes. Amis comme ennemis étaient tombés en nombre et parfois, quand il pensait aux grandes étendues de neige qui caractérisaient les Terres Boréales, des images de poudreuse recouverte de sang venait s’imposer à lui. Des boréaliens brûlés au sidelium, des miliciens empalés par des pics à glace, des bras et des jambes éparpillés autour d’un cratère provoqué par une mine, et tout son univers semblait s’effondrer peu à peu.

Alors venait les colons et les missionnaires venus peupler les terres acquises, tandis que certains barbares en peaux de bêtes se rendaient de leur plein gré pour fuir Vama ne savait quoi. L’impérialisme matroscien et korrulien se battaient en duel sur une civilisation en passe de perdre sa culture. Le Gouverneur avait laissé à un tout nouveau gouvernement, chose qui avait considérablement changé la donne au pays. Les combats s’enchainaient, dans l'éboulement d'une grotte Jens disparaissait, et quelques temps plus tard on venait lui dire : « c’est un traitre, un déserteur ! » et il ne savait plus que penser, alors qu'il l'avait aidé dans son entreprise. Puis on venait lui dire : « Alenko est mort au combat. Je t’offre un poste de Capitaine, c’est une offre que tu ne peux refuser cette fois-ci. Fais honneur à ton pays. » et alors, sans qu’il ne l’ait vu venir, il était devenu Capitaine. Tant de choses avaient changé ces derniers mois tandis que lui-même avait la sensation de stagner et de ne pas être à sa place. Si seulement il savait où sa place était ! Mais quand il ouvrait les yeux il ne voyait que peine et destruction quand lorsqu’il les fermait Idril et ses enfants l’attendaient chaudement. Il était un si mauvais père pour ne pas être à leurs côtés et les voir grandir qu’il s’en frapperait jusqu’au sang.

Mais il était aux Erfeydes et il avait une unité entière sous son commandement ; silencieusement, il parcourait les terres glaciales et cartographiait les environs pour favoriser l’avancée matroscienne. Et ce jour-là, une forêt dense s’élevait face à lui, et un soldat venait de lui soufflait que les sentinelles avaient repéré un village erfeydien de l’autre côté. Cela l'avait troublé et plongé dans ses habituelles pensées décousues. Sous peu, ils auraient à organiser un nouvel assaut afin d’intégrer à l’espace conquis, ce village qui allait changer sa vie.


Date d'anniversaire : 28 Arvur 1084
Phobie(s) : Aucune en particulier.
Tics/manies : La plupart du temps, il est incapable de rester inactif ou silencieux bien longtemps, il faut toujours qu’il fasse du bruit avec ses mains ou ses pieds pour passer le temps. Cela commence avec des claquements de doigts ou d’ongles sur un objet, et ça finit par des battements en mesure toujours sur des objets ou sur son corps (ventre ou cuisse), ce qui peut très vite agacer.
Rituel quotidien : Le protocole militaire.
Autre particularité: Neros a eu une relation légèrement problématique avec l'alcool  lorsqu'il n'était qu'un simple soldat et ne doit sa survie au sein de la Milice qu'à quelques amis proches qui ont su le protéger quand la situation l'exigeait. Aujourd'hui, il repousse poliment toute demande car cela représente pour lui une menace à laquelle il se plairait bien céder dans les moments les plus sombres.

Ambition : Il est trop passif pour en avoir.
Secret : Neros a eu un enfant hors mariage un an et demi avant son union avec sa femme. Il lui rend visite autant qu’il le peu (c’est-à-dire peu souvent) et dans le plus grand secret car s’il tient à sa réputation, il s’est prit d’affection pour ce fils et ne peut se résoudre à l’écarter de sa vie. Il emportera ce secret dans sa tombe, probablement.
Réputation : Au sein de la Milice, il est un capitaine proche de ses hommes et accessible, ouvert et compréhensif. Il peut faire preuve d’humour (pas toujours de très bon goût, parfois très critique) même dans les pires moments. Cela dit, il est aussi connu pour être rapidement vexé et en colère, il a la réputation de se « défouler » sur les erfeydiens lors des combats. Dans la société matroscienne, il est un fils de marchand plutôt discret mais de bonne compagnie et à l’écoute, quoique peu intéressé par les préoccupations de sa caste.


Où as-tu trouvé le forum ? Via Robin Hobb
Première impression : C’était peu après l’ouverture, j’ai du me dire « Noooon, un forum sur du Robin Hobb ??? »
Robin Hobb ça te parle ? Pas du tout
Tes autres pseudos habituels : Païkan c'est bien
Ton activité à prévoir : Oui bon j'avoue que le coup du "je poste ma fiche demain!!" pour la poster une semaine et quatre jets plus tard, c'était pas top, j'ai en général moins de difficultés pour les rps :/ (non franchement je hais les fiches de prez)(encore désolée du temps que ça a prit)


Larkin Reaner
Milice

On m'appelle Larkin Reaner


Infos Personnage
RANG: Soldat - Tireur d'élite
VILLE & APPARTENANCE : QG de la Milice
MON AGE : 19 ans
Masculin
MESSAGES : 83
AGE : 29
INSCRIT LE : 27/07/2013
PSEUDO HABITUEL : Ortimore
Joyaux : 105
Posté dans Re: Neros Alverin   - Dim 8 Nov 2015 - 14:15

Cool, des renforts ! ht456h
Azaëlle
Chamane

On m'appelle Azaëlle


Infos Personnage
RANG: FONDATRICE - Celle qui Dépossède
VILLE & APPARTENANCE : Arish / Chamane
MON AGE : 17 ans
Féminin
MESSAGES : 6356
AGE : 32
INSCRIT LE : 27/01/2011
PSEUDO HABITUEL : Saya
Joyaux : 1271
http://www.ile-joyaux.com/t539-azaelle-celle-qui-depossede http://www.ile-joyaux.com/t33-azaelle-celle-qui-depossede
Posté dans Re: Neros Alverin   - Mer 11 Nov 2015 - 1:59

Re bienvenue sur IJ !
Super DC et un milicien c'est vraiment appréciable !

Donc rien à redire, y'a juste un problème au niveau de l'avatar car Esheban a le même (du moins, le même acteur en version dessin). Elle a du t'envoyer un petit message par rapport à ça. On te valide dès que c'est changé o/

Pour l'erfeydien, pas de souci pour les notions, après tout, cela fait quelques mois que les colonies existent déja Smile
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Neros Alverin   - Lun 16 Nov 2015 - 15:07

Plop, gens !

Alors j'ai vu avec Enaïa, j'ai bel et bien trouvé et graphé un avatar mais avec le temps que m'a prit la recherche plus le graph, je me suis rendue compte que je n'avais tout simplement plus de temps à accorder au rp. Vous aurez peut-être remarqué mes trop rares connexions (et le temps que j'ai mis à finir la fiche.. je suis scandaleuse), ma formation me prend beaucoup trop de temps (quand la santé ne suit pas) et je ne suis clairement plus aussi dispo qu'il y a 5-6 mois quand j'ai initié la création de ce personnage. J'ai pris beaucoup de plaisir à le créer et il m'a beaucoup inspiré, mais ce serait bas de ma part de le faire valider en sachant que je ne suivrai pas la cadence Neutral Je préfère être sincère et tirer ma révérence. Je m'excuse de lâcher ainsi le rp, mais je fais confiance aux miliciens présents pour botter comme il se doit les fesses des Bois de Kouns ! Pour finir je m'excuse auprès d'Enaïa pour ce souci d'avatar (my bad!) et de Nivilk pour le rp (je suis un boulet). Je n'ai jamais été très active sur le forum ni vraiment fait évoluer mes persos (et je le regrette) mais j'ai quand même passé quelques bons moments et je remercie Aza et Loth d'avoir crée cet univers inspiré de la meilleure écrivaine de sa génération  Cool Bonne continuation à vous et au forum Smile (et vive Matroos !)
Azaëlle
Chamane

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Posté dans Re: Neros Alverin   - Mar 17 Nov 2015 - 4:18

Bonjour,

Ca aurait été bien peut-être de s'en rendre compte avant le DC. On a quand même pris du temps pour te répondre et lire la fiche m'enfin.
Je suis pas très étonnée non plus, depuis le début tu ne sais pas trop niveau temps si tu peux rester ou non. Merci de nous avoir prévenu en tout cas, c'est toujours appréciable Smile
Bon courage pour toi et peut-être qu'un jour tu seras plus libre pour rp o/
Je vais supprimer ce compte et placer Paikan en errant du coup !

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Posté dans Re: Neros Alverin   -

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