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A quai, vers le Téméraire

Invité

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Posté dans A quai, vers le Téméraire   - Dim 25 Sep 2011 - 13:53

[je suis nulle en titre xD)]


Allongé sur le vieux bois craqué où quelques plaques de métal éparses bouchaient des trous, les bras en croix derrière la tête, l'index pour taquiner du poux de temps à autre, notre cher Jean, guet attitré du Téméraire, veillez à la surveillance des étoiles loin au dessus de sa tête de carotte. Il aimait bien ça, profiter du calme et écouter "le son" comme il frimait à dire. Ce soir là, Johnny le marquis s'en était allé régler quelque affaire avec son rendez vous de la semaine. Un certain pretteur sur gage, redouté d'après le chef, mais il n'avait peur de rien Johnny....

Pue-le-pipi poussa un soupir satisfait à la pensée de son idole. Joe l'avait rejoint peu après, mais la raison avait déjà fui la mémoire de Jean. Sa mission, cependant, il la gardait fièrement en tête et se permit un p'tit regard en direction de leur vaisseau rouillé pour s'assurer que la carcasse n'avait pas bougé. A dire vrai, le Téméraire semblait déterminé à ne pas quitter le spatioport depuis une bonne décennie.

Jean se délesta d'un pet puis entama une vieille chanson de sa voix d'enfant, dans un fredonnement. Les vieux quais étaient calmes, la soirée bien entamée, aucun soucis à se faire !

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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Dim 25 Sep 2011 - 14:19

Le sang de Klaus fulminait tandis qu'il marchait d'un pas rapide dans les ruelles de la ville.
* Le dernier des cons ! J'aurais du m'en douter quand il a accepté aussi vite. Le pire dans tout ça, c'est que ce salaud m'a prit mon or !

Il passa devant un mendiant qui fit l'erreur de quémander l'aumône au pirate excédé ; un coup de pied dans les côtes fut sa seule récompense. Klaus songea à sa situation : il n'avait plus de navire, donc impossible pour lui de recruter un équipage, et il n'avait plus d'or. Sa réputation était sérieusement écornée dans cette partie de la ville, tout du moins jusqu'à ce qu'il se venge, car il comptait bien se venger. * Je couperais tes parties et je te les ferais bouffer !* Finalement, devant tant de problèmes, il fit ce qu'il faisait souvent dans ces conditions, il alla voir sa sœur. Celle ci vendait son corps dans un bordel pas trop mal famé du sud de la ville, non loin de là où s'était joué la désastreuse partie du roux. Il poussa la porte d'entrée et pénétra dans une salle qui puait la fumée, la transpiration et la bière de piètre qualité. Il observa autours de lui et finit par repérer sa sœur. Celle ci était seule. * Parfait*
- Salut sœurette !

La jeune femme leva un regard blasé sur l’homme. Elle possédait cette même coiffure rousse cuivrée, une couleur que ses clients appréciaient particulièrement. Dans la famille, c’était elle le véritable gagne pain. Elle s’occupait de son petit frère du mieux qu’elle le pouvait.
- Qu’est-ce que tu veux cette fois Klaus ? Je t’ai déjà donné ton argent, alors ne viens pas me déranger pendant mon travail.
- Ce n’est pas d’or dont j’ai besoin ma petite sœur, mais d’un cul bien gras et doux ! Une de tes amies ferait parfaitement l’affaire.
- C’est impossible. Si tu payes pas, tu baises pas !
- Bordel, j’ai eu une sale nuit, tu peux faire ça pour ton frère, non ? C’est trop te demander ?
- Casse-toi Klaus, je bosse.


Le pirate poussa un juron et sortit.
* Quelle nuit de merde ! Est-ce que la chance a décidé de m’abandonner ? Bon, allons trouver un clopin à dévaliser. Ça me paiera de la bière et des cuisses bien chaudes*

Il partit donc en quête d’une victime. À cette heure de la nuit, les quais regorgeaient de marins ivres morts. Un coup de dague rapide pour couper le cordon d’une bourse et l’affaire serait joué. C’est en arrivant au quai qu’il repéra quelque chose. Un tas de bois… non, une carcasse de navire, en piteux état certes, mais tout de même un navire. Il s’approcha dans l’intention de l’inspecter et voir s’il ne pouvait pas en tirer quelque chose, quand il aperçu un éclat roux. Un sale mioche était allongé juste à coté.

- Hé gamin ! Tu peux me dire ce que tu fais là ? demanda-t-il brusquement.

Un sourire carnassier éclaira le visage de Klaus.
* Ma chance ne m’a peut être pas quitté* songea-t-il en observant le gamin.
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Lun 26 Sep 2011 - 11:16

D'un bond, Jean se dressa sur ses pieds, mais toujours accroupi - parce que oui, il peut se redresser de la position couché à accroupi mais pas debout, n'exagérons rien. Les cheveux dressés sur sa tête comme les poils d'un porc-épic, le gamin scruta les ténèbres autour de lui avant de voir immerger un grand pirate richement vêtu. Aussitot, l'alarme "Johnny" se déclencha dans la tête du guet et il se dressa de toute sa hauteur - soit quelques pouces - les mains sur les hanches et le regard méfiant.

"Quic t'es toi d'bord ? C'mon quai t'bottes dégueulasse ! Du large dadet, et j'dirai rien à la Gachette. Peut pas mieux faire com'offre."

Comme pour appuyer ses dires, il renifla bruyamment et fendit sa face de lune d'un large sourire se voulant plein d'assurance. A la vérité, il n'avait strictement aucune idée de l'heure à laquelle les négociations de son capitaine étaient censées clôturer. Néanmoins, il persista à toiser l'étranger en digne matelot du Téméraire.
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mar 27 Sep 2011 - 9:22

Le sourire de Klaus s’élargit encore devant la bravade du mioche. Il résista à l’envie de lui balancer un coup de pied bien senti dans le ventre ; il ne voulait pas salir ses belles bottes sur la crasse monstre du petit rat roux.
- Tu es un vrai dure toi à ce que je vois. Le genre de gars qui cogne et qui pose les questions après, jme trompe p’tite merde ? dit il en s’approchant.

Il s’arrêta à moins de deux mètres. Il le dominant maintenant de toute sa hauteur. Le bambin dû dresser la tête pratiquement à la verticale pour pouvoir voir son visage. Klaus fit mine de regarder autour de lui, puis il posa de nouveau son regard sur le vilain visage du petit.

- C’est dommage, je vois personne. C’est que toi, moi, et cette carcasse de navire ; pas de minable qui s’appelle la Gachette pour te sauver. C’est marrant, ça me fait penser à une scène similaire, moi, ma victime, un navire et aucuns témoins… mais tu sais quoi p’tit, je t’aime bien, dit il avec un sourire qui se voulait rassurant.

Il voulu prendre une pièce dans la bourse qu’il gardait cachée dans une de ses poches quand il réalisa qu’il n’avait plus d’argent. Il fit donc mine de mettre sa main dans sa poche d’un air détaché.
- Si tu dégages maintenant, je te tuerais pas, mais si tu restes, je vais devoir me servir de ça.

Klaus dégaina son épée et vint presque chatouiller le ventre du garçon de sa pointe.
- Alors, tu décides quoi ? Tu te casses ou tu crèves. Je peux pas mieux faire comme offre.

[HRP] Klaus tue pas les enfants, mais ça Jean il le sait pas ^^ [/HRP]
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mar 27 Sep 2011 - 9:44

La machine Jean ne put analyser toutes les données de la situation. Rappelons que son cerveau est encore en croissance. Bref ! Le petit roux avait deux choix face à lui : fuir retrouver son capt'aine pour filer une râcler à ce grand tout maigre qui menaçait leur déesse bientôt volante, OU passer à l'attaque, foncer dans le tas et voir où les choses le mèneraient. Vous devinerez que notre pirate préféré à l'ambition démesurée était homme sage et doué de raison. Il passa donc à l'attaque et fonça tête baissée comme un bélier sur l'étranger.
Le gamin lui arrivait à la taille, et le coup de tête qu'il lui porta le toucha sur le plat de la cuisse avec toute la puissance que lui avait fournit son maigre élan. Le corsaire ne bougea presque pas.

"Raaaaaaaaaaaaaaaaaaah" cria-t-il en ruant de coup de pied le tibia de son adversaire.
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mar 27 Sep 2011 - 10:04

Si la première attaque du mioche n’avait eu aucun effet, le coup de pied dans le tibia du borgne fut douloureux.
* Je hais les sales mioches dans son genre. Il mérite une correction ce rat d’égout !*

Sa main droite tenant toujours son épée, Klaus sortit celle de gauche et attrapa le gamin par la peau du cou. Il le souleva sans effort jusqu’à ce que son visage soit à sa hauteur.
- Tu pues ! Tes pire qu’un clebs crevé ma parole. Klaus jeta un regard sur son pantalon, et vit une immonde tâche à l’endroit où l’avait frappé le misérable. Tu as voulu jouer les grands ? On va voir si tu assumes les conséquences comme un grand maintenant. La putain qui te sert de mère reconnaîtra pas ta face de cul quand j‘en aurai finis avec toi. J’ai pas l’habitude de frapper les enfants, mais tu es tellement laid que je peux pas m’en empêcher.

Klaus, tenant toujours le mioche largement au dessus du sol rengaina son épée d’un geste fluide et donna une claque sonore de sa main devenue valide. Il reposa ensuite le gamin sans ménagement, et s’écarta pour prévenir toute nouvelle tâche sur ses vêtements. Il prit la dague qu’il cachait dans sa botte. Quinze centimètres de bon acier.
- Tu veux savoir ce que ça fait d’être borgne ? Je vais me faire un plaisir de te l’apprendre. Si tu résistes encore, c’est pas que ton œil que je vais crever…
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mar 27 Sep 2011 - 10:22

La marque de la gifle était blanche sur son visage rouge de colère... ou de tout autre émotion, l'afflux actuel était conséquent. Il s'immobilisa un instant à la vue de l'acier mais le craquement du métal rouillé à l'arrière lui remémora l'existence du Téméraire, ce vaisseau qu'il avait attendu toute sa vie, aussi courte était elle jusqu'à présent. Un rêve de gosse, un rêve d'orphelin des rues. La seule rédemption à une vie de misère sans avenir. Il voulait être pirate, un de ceux connu et redouté des histoires du Baragouineur. Il se battrait pour son rêve !!!
Il se mit à genoux et implora pitié à son ennemi.

"Mais vous comp'nez paaaaas ! C'ma découvert' c'vaisseau, y ma'che pas encore mais jl'aime au nom des couilles d'Vama ! 'fin... " il torcha d'un revers de manche la morve qui lui dégoulinait sur le menton.

"Aaaaaaaaaaaaaaaahaaahaaaaaaaa" aucune larme ne voulait sortir de ses yeux ronds, alors il s'effondra sur le quai et martela du poing le bois gonflé. "Mon vaisseaaaaaaaaaaau !" Les menaces au couteau, il n'en était pas à sa première, alors implorer la vie avant d'implorer son droit sur le Téméraire lui avait échappé. Pas très logique.

*Allez Capt'aine, c'est le moment d'arriver*
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mar 27 Sep 2011 - 13:38

La petite vermine se tordit comme un vers de terre sur le bois rendu humide par les récentes intempéries. Klaus en avait vu des dizaines comme lui, qui essayaient d’amadouer en feintant la misère et en faisant de grands yeux de chatons. Il ne fut pas ému une seule seconde, et se contenta de le regarder avec mépris.
- Ma parole, c’est que tu ferais presque pleurer un vieillard sourd et aveugle ! Un coup de pied aux fesses le redressa sur ses jambes. Ça prend pas avec moi parasite, au contraire, ça me donne encore plus envie de te planter cette dague. J’ai passé une nuit de merde, j’ai pas pu baiser, et voilà qu’un sale mioche vient de salir mes vêtements.

Le borgne s’approcha encore du gamin et l’attrapa avant qu’il n’ait pu faire un geste. Il bloqua ses deux bras derrière son dos et se plaça derrière lui. Il fit passer la dague devant les yeux du petit roux et lui murmura d’une voix douce.
- Alors comme ça tu veux être pirate ? Tu sais que les pirates ont tous des cicatrices ? Alors, qu’est-ce que tu en dis ? C’est pas un beau cadeau que je te fais ? Je te coupe un doigt, ou une oreille, ou peut être même le nez, comme ça tu seras un vrai pirate.

Le ton presque tendre de Klaus en devenait effrayant ; c’était le ton d’un fou. Il fit descendre la dague le long du ventre du mioche et s’arrêta au niveau de son nombril.
- Tu as bien dit que tu aimais ce déchet que tu appelle navire plus que les couilles de Vama ? Et si je prenais les tiennes ? Je pourrais faire une petite escarcelle, mais par contre toi, tu ne connaitras jamais cette chaleur qu’on ne trouve qu’entre deux cuisses féminines.

Le couteau remonta lentement, et Klaus le piqua dans le gras de l’épaule du petit, puis il le repoussa. Le gamin alla s'étaler par terre. Cela aurait pu devenir attendrissant s'il n'était pas aussi morveux. La blessure, si on pouvait qualifier ça de blessure, était bénigne, et elle ne laisserait aucune cicatrice. Elle n’était qu'un peu douloureuse. Klaus l’avait fait pour s’amuser. Ce n’était pas son genre de tuer des enfants, mais cela ne l’empêchait pas de se distraire un peu avant d‘aller voler l‘or de quelqu‘un.
* Et puis, je pourrais peut être faire quelque chose de cette ruine* pensa-t-il en regardant l’épave du navire.
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mar 27 Sep 2011 - 14:13

L'enfant regarda la petite tâche de sang s'étendre à travers le tissu souillé de sa chemise avec des yeux de plus en plus rond. Sa face de lune devint aussi blême qu'un ventre de truite et des gouttes de sueurs froide dégoulinaient entre ses yeux. Il n'avait jamais affronté la mort d'aussi près. Lui, Jean Pue-le-pipi, guet du Téméraire, fidèle soldat de Johnny la Gachette, venait de vivre un fait de gloire. Il avait survécu à une véritable attaque d'un capitaine de cent ans son aîné, surement à la tête d'un vaisseau aussi grand qu'une ville, un homme tueur de poulpe du ciel et collectionneur de vierges. Fort de ses quelques pouces et de sa bedaine grandissante, Jean s'imaginait déjà raconter son aventure à ses compagnons.... mais tout d'abord, il fallait en terminer avec ce combat inégal - qu'il dominait néanmoins.

La peur au ventre - mais ça il l'omettrait à ses auditeurs - il recula suffisamment pour atteindre un petit baril d'huile ouvert utilisé pour réapprovisionner les lanternes des vieux quais puis, aussi preste qu'un serpent, en déversa le contenu entre lui et son adversaire. L'huile s'étala rapidement en une grande flaque graisseuse et glissante. Profitant de la diversion et du laps de temps que lui donnerait le barrage huileux, Pue-le-pipi prit ses jambes à son cou.

Il courrait sans savoir où se rendre exactement, mais une chose était certaine, il courrait loin des quais, loin du borgne sans nom, loin de sa mission et du Téméraire... C'est Johnny qu'allait pas être bien content !
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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   - Mer 28 Sep 2011 - 10:30

Le gamin se releva, enfin effrayé par la prestation de Klaus. Ses yeux étaient aussi ronds et gros que ceux d’un crapaud, et il recula lentement. Le borgne devina qu’il allait essayer de s’enfuir, mais il ne fit aucuns gestes quand le mioche renversa un tonneau rempli d’huile. Il aurait simplement pu détaler, il ne l’aurait pas poursuivi, il s’était assez amusé comme ça, et puis au fond, il l'aimait bien.
* En tout cas, on peut pas dire qu’il soit lâche, même s’il cours plus vite qu’un couard*.

Klaus rangea sa dague dans sa botte et contempla son pantalon. Il devrait le laver s’il voulait conserver son style irréprochable et irrésistible. Il recula d’un pas pour éviter à ses bottes d’être salies par l’huile qui se rependait dans sa direction, et ce faisant, son talon buta contre la planche où s’était tenu le gamin quelques minutes plus tôt. Klaus se retourna et contempla l’épave. C’était celle d’un navire, mais elle était dans un tel état de décrépitude qu’il n’était pas étonnant qu’elle aie été laissé à l’abandon, néanmoins ce gamin y attachait de l’important, et il n’était pas le seul, il y avait également cette Gachette. Klaus n’avait jamais entendu parler de lui, sans doute un sale gamin comme celui qui venait de s’enfuir. Il observa une nouvelle fois l’épave.
*Je pourrais difficilement en tirer plus que quelques miettes.* songea-t-il en donnant un coup de pied dans un coin de l’armature. Il eu un craquement. Il voulait cependant laisser un message à cette « Gachette ». Il reprit sa dague, et se mit à graver sur une partie du vaisseau bien en évidence un court message.

"Chouette vaisseau la Gachette. La prochaine fois, met un vrai guet."

Il ne signa pas, s’amuser de rester ce capitaine inconnu aux cheveux de flammes. Il repartit ensuit, à la recherche de celui qui allait lui payer sa nuit.

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Posté dans Re: A quai, vers le Téméraire   -

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