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Snjór Úlfbróðir

Snjór Úlfbróðir
Peuplade

On m'appelle Snjór Úlfbróðir


Infos Personnage
RANG: Thørstein Hürþleif, Erhenyce Khar'ayn
VILLE & APPARTENANCE : Clan Vedskygge (Faction Shaas d’argent)
MON AGE : 31
Masculin
MESSAGES : 60
AGE : 35
INSCRIT LE : 11/01/2015
PSEUDO HABITUEL : Fraz ou Ben Roberts
Joyaux : 15
http://www.ile-joyaux.com/t2721-snjor-ulfbroir
Posté dans Snjór Úlfbróðir   - Dim 11 Jan 2015 - 18:54



Je suis Snjór  Úlfbróðir
«Celui qui n’a que des vertus n’est guère mieux que celui n’a que des défauts. »



Prénoms : Snjór
Nom d'usage : Úlfbróðir

Surnom Le chasseur
Age : 31 ans
Langues parlées & écrites : Erfeydien parlée seulement, bien qu'il est capable de reconnaître quelques mots écrits.




Groupe : Peuplade
Métier : Chasseur
Clan : Clan Vedskygge (Faction Shaas d’argent)
Famille Proche : Fáfnir Ulfbróðir (père – décédé) Sigrdrífumál Úlfbróðir (mère - née Hrafnauga - vivante), Leifr Ulfbróðir (frère ainé – décédé)  Brynhildr Veturblóm (sœur cadette - née Úlfbróðir – marié à Ralof Veturblóm - vivante)  Ralof Veturblóm (époux de sa sœur - vivant), Olav Úlfbróðir (cousin paternel – fils de Björ Úlfbróðir - vivant), Björ Úlfbróðir (oncle – frère de Fáfnir Ulfbróðir - vivant)





Nature du lien : Glace
Spécialisation de votre lien : Principalement défensive afin de se protéger contre une attaque ou simplement de la nature, il arrive cependant à l’utiliser à l’offensive à l’occasion


Caractère :  Notre personnage n’est point un homme sans qualité, l’un de ses traits de personnalité le plus dominant est sans aucun doute le courage qui l’habite.  Certes, il s’agit ici d’une qualité sans doute innée du peuple Erfeydien, être brave fait partie de leur culture.  Un homme ne doit de reculer devant face à un ennemie, mais souvent le courage va bien au-delà d’affronter physiquement un ennemie.  Le courage d’affronter chaque jour malgré le sentiment d’une fin proche, malgré les nuages sombres au-dessus de notre tête sans ne perdre espoir.  Le courage n’est pas qu’un trait de caractère qui doit uniquement être attribué au brave guerrier, non il s’agit là d’une virtus que l’on doit adopter au quotidien.  Il s’agit d’être capable de résister, non seulement à l’envahisseur, mais aussi faces aux paroles et opinions néfastes.  Une lame peut trancher une gorge, mais détruire l’esprit d’une personne ouvre la porte de l’éternel tourment.  Ce n’est qu’avec le véritable courage qu’un homme peut faire face au jugement, se battre pour ses convictions.   Certes, Snjór n’est pas le genre d’homme qui se lancera dans les débats politiques, parlant que très peu, mais lorsqu’il doit défendre ses conviction, ses mœurs, il n’hésite point à le faire et ne reculera point !  Toutefois, un homme souhaitant défendre des convictions ce doit d’être tout aussi respectueux envers celle des autres. Il respecte les traditions de ces ancêtres, mais il possède une certaine ouverture d’esprit .  Son éducation fait en sorte qu’il fait souvent preuve d’hospitalité envers les visiteurs.  Visages familier ou inconnue, être capable d’accueillir l’étranger chez soi établi parfois des bonnes relations et la pareille peut être ainsi rendu au besoin.  Comme tout Erfeydien qui se respecte, Snjór respecte les lois établis par Le Gardien auquel il demeure fidèle .  Lorsqu’il prend la parole, celui-ci parle avec franchise. Étant un homme de peu de mot, mieux vaut que les paroles dites comptes… déjà trop d’être simplets parlent et parlent encore pour ne rien dire. Ce dernier n’aurait sans doute pas survis aussi longtemps dans l’environnement hostile de l’île blanche s’il ne savait pas faire preuve de discipline de soi et de savoir-faire .  Il n’est certes pas l’homme le plus éduqué de l’île blanche et encore moins du monde, cependant ce dernier connait suffisamment le monde qui l’entourent et possède un nombre de connaissance sans doute tout aussi applicable au-delà d’Erfeydes.  Avec la discipline de soi vient aussi la persévérance, puisqu’il s’agit de deux traits de personnalités qui marchent main dans la main. La vie sur l’île blanche n’est point pour les êtres faibles, ceux qui baissent les bras dès le premier signe de difficulté ne survirons pas la saison.  Bien entendu, il s’agit là de nombreuses qualités, mais aucun homme n’est parfait, pas même Snjór. Celui-ci possède comme tout être dont le cœur bat toujours de nombreux vices et défauts .  Certains défauts de personnalités sont sans doute considéré comme étant un peu mineur, mais cela ne change rien au fait qu’ils sont bien présents. Ce dernier étant peu bavard donne souvent l’impression d’être un peu désintéressé par ce qui se passe autour de lui.  Il s’agit ici d’une âme un peu solitaire.  Il possède bien entendu une certaine unité avec le clan, sa famille, mais préfère généralement ne pas être déranger, c’est pour cette raison qu’il chasse habituellement en solitaire. Il possède certes une certaine ouverture d’esprit en ce qui concerne les choses nouvelles, mais lorsqu’une personne se montre trop instante, ce dernier peut faire preuve de violence et rester froid à la souffrance de l’autre. Il est certes tolérant, mais quiconque tentera de le déshonoré, lui ou sa famille devra faire face aux conséquences.  Il s’agit là d’un homme fier qui n’hésitera point à arracher la langue de quiconque repends des mensonges ! Il est sans doute aussi un peu orgueilleux à sa façon, et hésitant à admettre qu’il a pu avoir tort. Bien qu’il tente généralement de boire avec modération, dans le moment il lui arrive d’abuser de l’alcool, surtout lors des moments les plus sombres. Si vous êtes étranger  sous son toit, celui-ci demeura toujours un peu méfiant.  Bien entendu, il ne vous le dira nullement directement et demeura tout de même un hôte aussi agréable qu’il lui est possible de l’être malgré sa froideur… cela dit il va dormir avec un œil ouvert.  Il accorde sa total confiance à très de peu de gens, mais lorsqu’une personne arrive à la gagner, il sait faire preuve de grande fidèlité.


Préférences alimentaires : Étant chasseur de profession, il se nourrit principalement ainsi, préférant les choses simples… traditionnelles… il n’est pas très fan de la cuisine d’ailleurs.
Loisirs : Lorsqu‘il ne chasse pas, lorsqu‘il n‘est pas à la guerre, Snjór ce divertie en explorant l‘endroit où il se trouve, il n‘est pas rare de voir ce dernier partir pour une balade solitaire.

Préférences relationnelles :  Ce dernier n’est pas indifférent aux charmes des femmes Erfeydienne, il n’a tout simplement pas encore rencontrer la femme qui sera sienne et cela n’est pas par faute d’épouses potentielles.


...FACE A UN DANGER : Le danger s’efface lorsqu’on sait comment l’approcher.
..FACE A UNE PROVOCATION : Une première offense, je garde ma langue dans ma poche, une seconde, je préviens, une troisième et tu retournes à la terre ce qu’elle t’a prêté.
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : J’ouvre les portes de ma demeure…  mais je vais tout de même dormir avec un œil ouvert.
..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : La joie, le chagrin… existe-il encore des surprise ?
..FACE A UNE PERTE/LA TRISTESSE : Rien n’est perdue, car nous retournons tous à la terre ce qu’elle nous a offert…


TAILLE : Environs 190 centimètres
POIDS : Le poids varis selon le temps de l’année, mais il navigue généralement autour des 77kilos
COULEUR DES YEUX : Bleus, la teinte exacte varie selon la lumière ambiante l’état d’être de Snjór
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Snjór posèdes des longs cheveux blonds descendant jusqu’au milieu de son dos. Celui-ci attache dégage généralement son visage en tressant certaines mèches et les apportant derrière sa tête.
PIGMENTATION DE LA PEAU : Comme tout Erfeydiens, la peau de celui-ci est plutôt pâle.
SIGNE PARTICULIER : Il est difficile de ne pas remarquer la cicatrice traversant sa joue droite jusqu’à son nez.  Il s’agit là d’une cicatrice parmi tant d’autres, mais toute les nommées est pratiquement impossible… de plus elles sont généralement caché sous ses vêtements.  La lèvre inférieure de celui-ci est ornée par un anneau en métal.
PILOSITÉ : Si les traits rigoureux de celui-ci n’était pas suffisant afin d’indiqué qu’il est un homme, sa barbe est une preuve de sa masculinité et virilité  Il la rase occasionnellement, mais lors des mois plus froids il laisse celle-ci pousser afin qu’elle protège son visage.  Le reste de son corps possède une pilosité plutôt moyenne.
VESTIMENTAIRES : Snjór ne fait pas dans la complexité ou l’extravagance vestimentaire.  Ce dernier est sans doute généralement à l’image de ce que vous trouverez chez un Erfeydien typique.  Vêtements fait à partir d’une peau de bête traité pour en faire du cuire.  La a fourrure est souvent porté par celui-ci lorsqu’il fait plus froid, ce qui est fréquent dans cette section du monde.



Prélude
À chaque homme son chemin et à chaque chemin son histoire.  Les chapitres suivants ne sont que les vestiges du passés, des souvenirs pour certains, le début d’une vie, mais dont la fin demeure indéterminée.  À chaque homme son passé, son chemin forgeant le caractère, le nom… l’histoire qui sera pour les générations à venir.

Chapitre I : Sous le soleil de Malgak
9 Malgak 285 de la 9ième glaciation.

C’est ici que notre histoire débute, dans une petite chaumière Erfeydienne.  Quelques curieux se sont réunis autour de cette maison, mais nul n’osent entrer par respect.  À l’intérieur une femme était sur le point de donner naissance à une nouvelle vie.  Cette merveille de la vie était supervisée par une sage-femme, une ancienne du village, afin de s’assurer que le tout se déroule sans véritable complication.  Un remède avait été préparé afin d’aider avec la douleur, mais cela dit, toute les concoction du monde ne pouvait entièrement retirer le mal qui vient avec donner naissance à une nouvelle vie.   Il s’agissait d’un combat mental, une épreuve à surmonter, mais le prix en valait le coup.

-Allez… encore un peu… tu y es presque… disait la sage-femme afin de rassurer la mère qui tentait de ne pas hurler de douleur.
–Encore un peu…

Quelques grognements et gémissement de douleur se faisaient entendre alors que la nouvelle vie approchait. Encore un peu… un peu plus et bientôt tout allait être terminé.  Un peu plus… il fallait encore pousser, juste un peu plus… oui juste un peu plus avant que le gémissement de douleur puisse laisser place aux pleures d’un nouveau-né.   Un dernier hurlement de douleur et puis les premiers pleurent du nouveau venu.

–Ah, voilà… disait alors la vieille femme avant de couper le dernier lien physique entre la mère et l’enfant et l’offrir à la mère.
–Voilà un petit… homme… avait-elle alors ajouté avec un petit sourire.  

Offrant alors une couverture afin de conserver la mère et le nouveau-né au chaud, la vieille dame s’était mise à laver rapidement le nourrisson afin qu’il soit un peu plus présentable.  La douleur était maintenant terminée et devant le regard d’une mère, un second fils était né.

Ce n’était qu’un moment plus tard qu’un homme entra rapidement dans la maison avant de se diriger vers la femme.

–Je suis venu dès que j’ai su! avait-il dit tout en tentant de retrouver son souffle après ce qui avait semblé être une course folle.
–C’est mon…
-Fils… oui
-Mon fils…mon second fils
avait terminé le père.  
-Comment allez-vous le nommer celui-ci
-Snjór...
avait-il alors répondu à la sage-femme tout en regardant le jeune être qui se trouvait auprès sa mère.

Un si petit être, en apparence si fragile, devant lui toute une vie était à venir.  Certes, en terres Erfeydiennes, une vie pouvait être parfois bien courte.  Parfois une vie ne durait qu’un jour… une heure… mais parfois cette même vie, durait de nombreuses années.  Il était un présent du Gardien et seul le Gardien connaissait ce que l’avenir allait lui réserver à ce petit homme,  un petit blondinet, pâle comme la neige.

Chapitre II : Rivalité fraternel
8 Kinos 290 de la 9ième glaciation

Les jours avaient passées, puis les mois et les saisons.  Suivant la rivière du temps, le petit être progressait peu à peu sur la route qui se dressait devant lui.  À chaque jour devenant plus fort, plus sage... s'approchant peu à peu de l'homme qu'il était destiné à devenir. Certes, l'homme qu'il était destiné à devenir demeurait un mystère qu'il découvrait progressivement avec le temps, le Gardien seul connaissait sans doute la réponse, mais celui-ci aussi grand qu'il soit, demeurait silencieux à ce sujet. Connaitre son destin, son avenir avant même que celui-ci soit écrit n'était point un privilège auquel il avait droit.  Celui-ci devait tout simplement se contenter d'apprendre à devenir un homme.

À chaque jour, celui-ci lutait avec son frère ainé sous le regard de leur père.  Le corps du jeune être se forgeait à travers le combat fraternel. Le climat du territoire Erfeydien renforçait non seulement le corps, mais aussi l'esprit et le caractère. Il apprennait à trouver confort même lors des soirées les plus froide, à tenir jusqu'à que le soleil soit de retour afin de réchauffer.

Il était encore tôt, le soleil à peine levé à l'horrizon, les deux garçons luttaient alors que leur père se préparait pour la chasse du jour. Une tête de plus que notre protagoniste, Leifr, son frère ainé, semblait avoir l'avantage sur son cadet.  Cette supériorité physique fit en sorte qu'il était devenu un peu arrogant.  Sachant qu'il était plus fort que son cadet, celui-ci ne semblait point le prendre entièrement au sérieux lors de leurs luttes.  Leifr tenait alors la tête de Snjór entre son bras et sa hanche afin de restreindre les mouvements du jeune garçon.

-Allez Snjór! Abandonne ! Tu sais que tu ne peux pas gagner!
-Jamais!
avait-il alors répliqué tout en tentant de trouver son souffle.

Sous l'emprise de Leifr, il lui était relativement difficile de respirer, mais il ne souhaitait pas abandonner le combat. Non, abandonner n'était pas dans sa nature, ce qui était sans doute une très bonne qualité généralement.  Il tentait de frapper les côtes de ses frères afin de lui faire lâcher l'emprise, mais celui-ci ne faisait que resserrer le tout à chaque coup. Il ne pouvait pas continuer à lutter ainsi, à tenter de remporter le combat par la force. Tout comme le souffle d'un homme ne peut renverser la montagne, il devait se montrer plus malin que son frère.  Commençant à manquer d'air à la tête, celui-ci devait penser rapidement et agir encore plus vite!  Durant un moment, il avait alors cessé de ce débattre afin de conserver son souffle.

-Alors, t'abandonne? Avait demandé Leifr.   - Snjór? avait-il ajouté tandis que son frère ne répondait plus.

Utilisant ce moment d'inquiétude, Snjór en avait alors profité afin de glisser son bras derrière la jambe de frère afin de le faire tomber à la renverse.  Étant retenu, il n'avait pu s'empêcher de tomber à la renverse aussi.  Ils s'étaient alors tous les deux écraser dans la neige avant de se séparer.  Roulant ensuite sur son dos, faisant face aux cieux, Snjór reprenait son souffle.

-T'as triché Snjór
-J'ai pas triché, j'ai été plus malin c'est tout.
- avait-il alors répliqué avec un petit sourire satisfait accroché à son jeune visage.

La puissante voix de leur père s'était alors fait entendre :
-Allez Leifr, il est l'heure.
-D'accord, je me prépare immédiatement père!.


Les deux garçons s'était alors relevé.  Tandis que Leifr allait chercher son équipement de chasse, notre protagoniste approcha alors son père.

-Je peux y aller moi aussi père?
-Pas cette fois, mais bientôt
-T'es encore trop faible c'est pour ça
-Je ne suis pas faible Leifr!
-Tu n'es tout simplement pas prêt
-Mais je..
-Non... Allez Leifr, on a pas de temps à perdre


Le jeune garçon souhaitait partir à la chasse, prouver à son père qu'il était prêt à devenir un homme, mais il devait se taire et obéir. Regarder son père et son frère ainé marcher vers l'horizon et attendre de posséder le droit de prendre part.  Afin de passer le temps, quand il ne devait pas aider sa mère avec les corvées de la maisonnée, celui-ci pratiquait la construction de piège, perfectionnant la technique que lui avait enseigné son père.  Il ne pouvait qu'être patient et attendre le jour où il allait accompagner son frère et son père.

Chapitre III : Conquête & révélation


14 Malgak 295 de la 9ième glaciation

Il est possible de montrer à direction à prendre, mais une fois sur la route, notre seul guide est que notre personne.  Il est bien entendu possible de compter sur l’appui de notre entourage, car ensemble nous somme plus fort… mais le groupe, comme une chaine, n’est aussi forte que le maillon le plus fragile et le plus faible.  C’est ce maillon qui dictera quand la chaine va se briser… quand le début de la fin débutera.

Suivant dans les traces de son frère ainé, qui lui avait suivis dans les traces de son père et ainsi de suite, notre jeune homme faisait alors face à une épreuve de préparation avant de débuter sa vie en tant qu’adulte.  Il y a de cela un peu plus de deux ans, il avait accompagné son père dans sa première chasse, là il avait connu les techniques de chasses transmises de génération en génération.  Ces techniques, il allait les perfectionner avec le temps, faire d’elle les siennes pour qu’un jour, si le Gardien lui sourit, qu’il puisse les transmettre à ses propres enfants.

Cependant, l’apprentissage de la théorie n’est rien sans la pratique et tout comme l’avait fait son père et ses ancêtres, à l’aube de son 10ième anniversaire, il avait entreprendre l’une des plus importantes conquêtes de sa vie, celle de sa propre personne.  Laissez à lui-même durant sept jours et sept nuits, il avait débuté la conquête de sa personne face au territoire sauvage d’Eyferdes.  Avec lui, il avait droit à un couteau, une lance et un peu de corde. Rien de plus, rien de moins… sauf bien sûr quelques vêtements rudimentaire.  

Il s’agissait là d’une expérience de vie, d’une leçon de survie face au monde qui allait l’entourer. S’il ne souhaitait point être le maillon faible de la chaine, il devait être capable de se tenir seul.  Certaines cultures trouveraient sans doute cette pratique barbare, mais certaines cultures sont aussi un peu plus choyées concernant leur environnement. Une terre hostile, un monde de glace, voilà ce qui entoure le peuple d’Erfeyeds.  

À la quatrième nuit, le jeune homme tenait bon, mieux que la troisième. Après la douleur du froid des premières nuit, la combat contre les éléments, il commençait à faire qu’un avec le monde qui l’entourait.  Il apprenait à conquérir le froid et en faire une de ses forces. Un abri simple, mais efficace avait été fabriqué dès le premier jour… des pièges avaient été posés afin d’obtenir une source de nourriture, mais les bêtes de l’île n’étaient pas idiotes… elles ne se laissaient pas tous si facilement attraper.  Il était primordial de conserver tout ce qui pouvait être utile.

À la fin de la quatrième nuit… il était encore vivant, ce qui était bon signe… mais rien n’était encore certain, les nuits à venir allait être froide, le vent du nord soufflait et notre jeune homme assit au côté d’un feu qui brillait à peine avait beaucoup d’autres épreuves à surmonter.  Cependant, si le Gardien continuait de lui sourire, il allait s’en sortir. Toutefois, uniquement compter sur le Gardien n’est pas suffisant et il le savait… il devait d’abord compter sur lui-même, sur ses connaissances et son désir de survie.

Chapitre IV : La mort d’un héros


12 Kinos 292 de la 9ième glaciation

Lorsque le regard de le jeunesse se posent sur les êtres plus anciens, c’est habituellement dans le but d’apprendre de leur sagesse.  Malgré la rivalité qui existait avec Leifr, Snjór, notre protagoniste admirait son frère ainé. Il avait tant appris de lui.  Il cherchait constamment à se dépasser… repousser ses limites afin d’être aussi grandiose que son frère, si ce n’est que pour être plus grand lui-même.  Aux yeux du jeune homme, après son père, son frère était l’exemple à suivre en ce qui concernait l’image de l’homme honorable. Cependant… les héros ne sont pas toujours de ce qu’on croit.

Le 12 Kinos 292 fut un jour sombre. Alors que le soleil s’était levé pour ce grand jour, il était impossible de trouver Leifr. La veille, leur père, Fáfnir, leur avait raconté le récit de sa propre expérience au cœur du Labyrinthe.

-Il s’agit d’un endroit terrible, effrayant… de nombreux braves ont osés affrontés le Labyrinthe de Mo Duinne… mais que très peu ont réussi l’exploit. Ton éducation ne fut point en vain Leifr… demain, à l’aube du 12ième jours de Kinos, tu suivras dans mes traces et celle de nos ancêtres ayant bravé et su conquérir le Labyrinthe. Soit brave et le Gardien veillera sur toi. Lui avait-il dit avant de dormir pour la lui.

Le 12ième jour de Kinos aurait dû être une journée mémorable, là où le fils ainé de Fáfnir Úlfbróðir allait apporter beaucoup d’honneur au nom familiale en affrontant le périlleux Labyrinthe.  Pourtant, ce fut un tout autre jour qui s’était levé.

-Père, je n’arrive pas à trouver Leifr
-N’est-il pas à l’entrée du Labyrinthe?
-Non, j’ai cherché partout…
-Brynhildr, as-tu vu ton frère ?
-Je croyais qu’il était avec Snjór, je ne l’ai pas vu depuis hier soir
- Fáfnir…
Les avait alors interrompu la matriarche.
- Qu’est-ce qu’il y Sigrdr...?

Mais elle était sans réponse alors qu’elle regardait l’endroit où Leifr avait dormi la nuit précédente… du moins où il avait dû dormir en principe.  Le sol était froid… quelques affaires avaient disparu avec Leifr.  Alors que les enfants tentaient de bien comprendre ce qui se passait, il était possible de voir le regard du patriarche s’assombrir.

- Fáfnir! Où est ton fils ? Fáfnir? Il est l’heure, où est Leifr?

On lui parlait, mais il ne répondait pas. L’homme qui venait d’entrer dans la tente de la famille avait vite compris ce qui s’était passé.  Sans rien ajouter, celui-ci avait aussi rapidement quitté les lieux.  Leifr, fils de Fáfnir, avait déserté.  Il avait reculé devant le Labyrinthe et avec lui avait su faire une tâche sur le nom de ces ancêtres…  


Chaitre V : Une seconde chance


12 Kinos 294 de la 9ième glaciation

Il s’agissait d’un sombre anniversaire.  Il n’y avait ici rien à célébré et tout à gagner.  Il y a de cela deux ans, les rumeurs avaient commencé à circuler… le nom des ancêtres de notre protagoniste avait été souillé par la désertion de son frère ainé.  Depuis ce jour, Fáfnir n’était plus le même.  Lorsque Snjór lui avait dit qu’il allait à son tour tenter d’affronter le Labyrinthe de Mo Duinne, une lueur d’espoir semblait être apparue dans ses yeux, mais aussi tôt, les nuages du passés étaient revenus.  Il craignait que son second fils suive l’exemple de son ainé, qu’il abandonne et déserte à son tour.

Les deux dernières années, il était possible d’entendre les gens du village parler tout bas à propos de la famille. De nombreuses personnes avaient perdu leur respect pour eux… quelques amis n’osaient plus communiquer craignant toute association avec des gens partageant le même sang qu’un déserteur.

Aux portes du Labyrinthe, de nombreux regards étaient posés sur Snjór alors qu’il s’apprêtait à faire face au plus grand défis.

-C’est qui celui-là?
-Je crois que c’est le fils de Fáfnir
-Úlfbróðir?
-Je croyais que c’était une famille de déserteur
-S’il croit que cela va changer quoi que ce soit, de toute façon il va sans doute mourir, il aurait peut-être dû faire comme son frère et déserter comme un faible.


De nombreuses paroles avaient été dite à propos de la tentative d’affronter le Labyrinthe, très peu de gens croyait qu’il allait être possible pour quiconque partageant le sang d’un déserteur de surmonter cette épreuve. Notre protagoniste ne tentait pas cela afin de retrouver l’honneur perdu par son frère… qui mais pour son propre honneur… pour son père… sa mère et sa sœur.  Il ne pouvait rien changer aux actions de Leifr, dont le nom n’était plus mentionné, il ne pouvait qu’être maitre de son propre destin et forger son propre nom.

Chapitre V : La fièvre de 10 lunes


8 Velmos 307 de la 9ième glaciation


Il est parfois impossible de voir le bout de la route avant d’y être.  La fin peut apparaitre sous diverses formes, mais parfois nous la reconnaissons que trop tard. Parfois, la fin frappe les gens que l’on croyait plus fort que tout, mais si tel est le dessein que possède le Gardien pour ces hommes, qu’il en soit ainsi.

Il y a de cela 3 Lunes, la fières avait atteint le père de notre protagoniste.  Sous le regard inquiet de son épouse, Fáfnir était impuissant face à une ennemie qu’il ne pouvait voir.  Aucun feu ne pouvait le réchauffer alors qu’il tremblait.  Aucune glace ne pouvait réduire l’intense chaleur de sa fière.  Le guérisseur était venu aussi rapidement que possible afin de tenter tant bien que de mal de soigner le père de notre protagoniste. Potion et remède en tout genre, mais rien ne semblait fonctionner afin de soigner cette fièvre.

-Est-ce que père va mourir avait demandé Brynhildr, la sœur cadette de notre protagoniste.
-Père est le plus fort… il va s’en sortir… n’est-ce pas? Avait alors demander notre jeune homme.

Tant d’effort, mais bien trop tard.

Une lueur d’espoir semblait avoir apparu lors de la 9ième lune.   Fáfnir semblait reprendre des forces, sa fièvre avait disparu. Mais le remerciement envers le guérisseur et le Gardien était en vain, car cette 9ième lune ne signifiait que la fin.

La 10ième lune fut la dernière.  Alors qu’il avait été possible de croire à la 9ième que tout allait être pour le mieux, ce fut qu’un moment de répit avant la fin.  La fièvre de 10 lunes avait frappé… trop rapidement… trop tôt.  

Chapitre VI : Le sang sur la neige


8 Velmos 309 de la 9ième glaciation

Les années avaient passés, mais leur nom était toujours sali par les actions de son frère ainé. Il partageait le même nom et aux yeux des gens, malgré qu’il ait affronté le Labyrinthe, cela ne semblait rien changer.  Le mal avait été fait, l’honneur familial ne pouvait être lavé si facilement. Il était parfois difficile d’écouter les rumeurs, même su mort depuis quelques années, le nom de Fáfnir ne semblait point être en mesure de trouver le repos.  Les actions du fils ainé, Leifr, avait eu un impact sur leur vie, leur avait apporté le déshonneur. Aux yeux de notre protagoniste, si Leifr avait suivis un autre chemin que celui de la désertion, peut être que leur père aurait vécu plus heureux… peut-être qu’il n’aurait pas sombré ainsi… peut-être qu’il serait toujours de ce monde. Oui, une partie de Snjór blâmait les actions de son frère pour la mort de son père…

Mais c’est en cette 309ième année de la 9ième glaciation que de nombreuses choses ont changées. La journée était douce pour Velmos.  Notre protagoniste se trouvait bien loin du village, ayant traqué un gibier vers le Sud de l’île. Accompagné par deux autres membre du village, ils avaient ensemble suivit les déplacements de Jölgalt. Ils se déplaçaient rapidement vers le sud, mais les traces de ceux-ci semblait en ce jour être plus fraiche, sans doute une heure ou deux de marche.

Continuant la route, le groupe pouvait alors apercevoir les Jölgalt à l’horizon.  Il eut alors un moment de silence alors que les trois hommes mettaient en place leur plan d’action à l’aide de quelques signes des mains. Alors qu’il s’apprêtait à mettre le tout en marche, notre protagoniste prit la parole.

-Sveinn, ne fait pas un pas de plus!

Un peu confus, l’homme s’arrêta immédiatement et leur partenaire gardait un œil sur les bêtes à l’horizon.

-Qu’est-ce qu’il y a Snjór?


Sans rien ajouté, notre protagoniste s’avança vers son confrère de chasse avant de se pencher dans la neige.  Délicatement avec sa main gauche, ce dernier avait alors révélé un piège placé là où Sveinn s’apprêtait à poser le pied.  Il n’avait pas eu besoin de le regarder bien longtemps afin de connaitre les origines de ce piège.

-Il est dans les parages…
-Qui ça?
-…Leifr…
-Ton frère?
-…Le déserteur… je n’ai pas de frère…
avait-il alors terminé sur un ton froid.
-Allez attraper un Jölgalt… je m’occupe du déserteur…

Les deux autres hommes s’étaient alors échanger un regard avant que Sveinn ne tape sur l’épaule de notre protagoniste afin de lui démontrer son accord. Bien qu’il fût plus facile à trois, ils  n’avaient pas besoin de lui pour cette chasse.  Les deux hommes avaient donc temporairement délaissé notre protagoniste alors qu’il s’apprêtait à chasser celui qui a su déshonorer le nom de ses ancêtres.

Il s’était alors mis à suivre le chemin le plus logique selon ce qu’il pouvait voir autour de lui afin de le retrouver. Dans son esprit, il n’y avait aucun doute en ce qui concernait l’identité de l’être ayant posé se piège. Cette technique particulière, il ne pouvait que s’agir de lui.

Poursuivant cette nouvelle route, le chasseur devient le gibier alors que de derrière un rocher, Leifr bondit afin de tenter de poignarder son poursuivant. Évitant de justesse l’attaque, notre protagoniste avait alors resserré sa prise sur sa lance avant de combattre.

- Snjór? avait alors dit le déserteur d’un ton étonné.

[color:fff2= # 4169E1]- Déserteur…
-Déserteur…? Est-ce vraiment tout ce que je suis maintenant?
-Tu as déserté… déshonorer notre nom, notre père et nos ancêtres… c’est tout ce que tu es maintenant, déserteur…
-Et que comptes-tu faire avec cette lance petite neige? Me tuer? Est-ce que tu serais capable de tuer ton propre frère?  
-Père est mort par ta faute… tes actions te retire tout droit de m’appeler ainsi…
-Père… est mort? Je…

Avant même qu’il avait eu la chance de terminer sa phrase, notre protagoniste l’attaqua avec sa lance. Toujours aussi agile, Leifr n’eut point de problème à éviter la première attaque.  La suite était alors une chaine de manœuvres offensives et défensive, réveillant pour une dernière fois, leur rivalité.  Le combat semblait s’éterniser… l’un égal à l’autre… le tout était progressivement devenu une question d’endurance… à savoir qui allait effectuer la première gaffe.

Lance brisé, le combat s’était rapproché et d’un geste rapide Leifr avait réussi à atteindre le visage de Snjór malgré sa tentative d’évasion.  La lame avait caressé sa joue jusqu’à son nez, déchirant sans effort la peau de notre protagoniste qui par la suite bascula sur le dos.  Le visage couvert de sang et partiellement aveuglé, il aurait pu être possible de croire que cette histoire été destiné à ce terminer.

-Cela aurait pu être évité, mais il fallait que tu me retrouve…

Étendu dans la neige, Snjór était alors devenu une cible facile alors que son frère s’était positionné au-dessus de lui afin de l’achever.  Ne voyant que d’un œil, il lui était possible de voir le visage de Leifr et la lame qu’il avait toujours en main.

Toutefois, le Gardien avait une toute autre destiné pour notre protagoniste et sous ses doigts il avait su faire glisser la base de la lance brisé.  La main de notre protagoniste s’était alors immédiatement serrer sur celle-ci avant de planter le bois brisé de celle-ci dans le cou de son frère.  Suivant la pénétration de l’arme improvisé, le sang du déserteur ce mis alors à le quitter.  Tel l’eau brisant le barrage, il se vida violement de son sang alors que notre protagoniste tourna d’un coup sec le bout de lance dans la plaie.

Étendu dans la neige, ayant poussé le corps inertes du déserteur sur le côté, notre protagoniste reprenait son souffle.  Leur sang c’était mélanger dans la neige… et allait avec celle-ci s’effacer…


Date d'anniversaire : 9 Malgak 285 de la 9ième glaciation.
Phobie(s) :  Être oublié avec le temps, que sa lignée s’arrête avec lui.
Tics/manies : Étant un homme de peu de mot, il répond souvent que par un son.
Rituel quotidien : Chaque matin, Snjór se lave le visage et les mains et puis demeure silencieux durant un moment en regardant les cieux.
Autre particularité: Il est un homme de peu de mots.


Ambition :  Celui-ci est loin d’être le plus grand rêveur ou l’homme le plus ambitieux.  Cherchant tout simplement à vivre de façon prospère et de s’assurer que le peuple Erfeydien demeure libre d’être sous la bien vaillance du Gardien, celui-ci ne possède point de réelles grandes ambitions.
Secret : Hormis ses techniques de chasses, celui-ci ne possède aucun grand secret.
Réputation : Snjór est reconnu comme étant un chasseur exceptionnel et patient autant capable de prendre en chasse un gibier que de lui tendre un piège.  Bien qu’il s’engage que très rarement au combat, généralement que lorsqu’il a une bonne raison (sauf bien sûr afin de garder la forme) il demeure un adversaire redoutable.  


Où as-tu trouvé le forum ? Hm… attend que j’y pense… à oui ! C’est un DC!! C’est pour ça que je connais ce forum XD
Première impression : Je ne crois pas qu’il s’agit encore d’une première impression.
Robin Hobb ça te parle ? Je connais de nom,
Tes autres pseudos habituels : Frazrael, aussi connu ici comme étant Ben Roberts, le machiste du Pourfendeur.
Ton activité à prévoir : Idem que pour avec Ben.  En cas de délais, ralentissement prévus vu à ma vie en dehors du forum, je tente de prévenir.
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Posté dans Re: Snjór Úlfbróðir   - Lun 12 Jan 2015 - 3:22

Re-bienvenue o/

Alors tout est bon, juste 2 petits trucs à corriger pour que je valide. Déjà les dates de ton histoire, je te laisse comparer avec celle de sa date de naissance xD il en a fait des choses ce bébé :p
Et sinon il faudrait juste préciser dans les langues s'il sait lire et écrire ou non, sachant que la plupart des erfeydiens n'en sont pas capables il faudra bien le justifier si c'est le cas.

Voilà, très sympa ce perso ! Un erfeydien comme il en faut, et j'ai beaucoup aimé comme le village juge sa famille suite à la désertion du frère, c'est tellement ça !



Snjór Úlfbróðir
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Posté dans Re: Snjór Úlfbróðir   - Lun 12 Jan 2015 - 9:45

Ah oui j'ai vu mes erreurs un peu stupide x_x je me sens con là. Enfin c'est corrigé, j'espère que tout est ok. Sinon, tu n'as qu'à me dire ^^
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Posté dans Re: Snjór Úlfbróðir   - Lun 12 Jan 2015 - 10:57

Perfecto o/

Je valide ce premier DC, bravo /SBAFF/
Bon RP study

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Posté dans Re: Snjór Úlfbróðir   -

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