Je suis Asher Aanka’Leï
« Pourquoi parent ne prend pas de « s ».
Prénoms : Asher
Nom d'usage : Asher Aanka’Leï
Surnom Ash’
Age : 10 ans moins 23 jours
Langues parlées & écrites : Korrulien (langue maternelle) Maatroscien : Petites bases en cours d’apprentissage
Groupe : Cultivateur
Origine : Cultivateur
Famille Proche : Ennaë Aanka’Leï.
Culture : Asher a vu le jour au sein de la famille de Cultivateurs Aanka'Leï, spécialisée dans la confection et la vente de tissus et de vêtements.
Caractère : Asher est un petit garçon triste. D’un naturel timide et discret, il a toujours eu à cœur de ne jamais se faire remarquer préférant la sécurité rassurante de l’ombre à la clarté aveuglante de la lumière. Vivant dans la contrition et dans son propre déni, Il est la somme d’un cœur brisé et d’un amour incomplet ayant engendré une peur de l’abandon, une peur de la solitude. Ses traits d’enfants ne se décrispent que rarement et portent plus souvent la marque du tourment et de la mélancolie que celui de l’innocence joyeuse de l’âge tendre.
Affable et posé, Asher est un enfant attentif au Monde qui l’entoure d’une gentillesse rare, vivant dans le souci constant de ne pas déplaire à qui que ce soit. Vif d’esprit et curieux de nature il aime apprendre et bien que peu entouré d’enfants de son âge, Il ne se prive pas pour autant à rêver à de jours meilleurs à de belles aventures. Rempli d’aspirations et d’envies il n’attend que le moment où la fleur pourra pousser.
Enfin, c’est un enfant qui s’impose malgré son jeune âge de nombreuses barrières. Son existence est partagée entre la peur panique de son père et l’espoir ténu de se faire aimer par ce dernier, de lui plaire ou au moins de lui montrer qu’il existe.
Préférences alimentaires : Ce qu’on veut bien lui donner, il n’est pas un enfant difficile.
Loisirs : Lire, dessiner, s’inventer des vies, s’amuser seul avec ses jouets, regarder avec envie les speeders. A dernièrement entamé la construction d’une cabane dans le jardin de sa tante à Penjoie.
Préférences relationnelles : Les gens calmes et tranquilles, facilement intimidable Asher ne se sent jamais très à l’aise avec les personnes qui parlent beaucoup et qui se mettent trop en avant ou sont trop expansives. Son meilleur copain est le fils de l’intendant du domaine de Penjoie avec qui il parvient à faire tomber le masque et à être un « petit garçon ».
...FACE A UN DANGER : Fuir et courir dans les jupons de sa tata. Il essaye d’être courageux, mais c’est toujours facile dans les livres.
..FACE A UNE NÉGOCIATION : Se laisse très/trop facilement marcher sur les pieds et courbe rapidement l’échine.
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : Curieux, amical, Asher cherche toujours à trouver le meilleur chez les personnes qu’il rencontre tout en gardant la politesse et les bonnes manières qui incombent à un petit garçon de son rang. Si c’est un copain de son âge il cherchera l’amitié ou tout du moins ce qui s’en rapproche le plus à ses yeux.
..FACE A UNE PERTE/LA TRISTESSE : La perte et la tristesse sont une habitude chez Asher pourtant, il ne retient pas facilement ses larmes et vit dans la mélancolie. De nature émotive, il est terrorisé à l’idée de perdre le peu de gens qui lui sont chers.
TAILLE : 1 mètre 44
POIDS : 43 kilos
COULEUR DES YEUX : ocres tirants vers l’or
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : châtains foncés et coupés courts
PIGMENTATION DE LA PEAU : légèrement hâlée
SIGNE PARTICULIER : de belles taches de rousseur sur le visage et une cicatrice toute fraîche sur l’avant-bras suite à une mauvaise chute.
SIGNIFICATION ET PLACEMENT DES TACHES : Les chamans ont tracé sur le centre du torse d’Asher deux formes ressemblant à des silhouettes entrelacées enfermées dans une cage. Ces tâches n'ont aucune signification aux yeux d'Asher.
PILOSITÉ : Inexistante
VESTIMENTAIRES : Très correctement habillé en toute occasion par des créations familiales. Il affectionne particulièrement un large chapeau tressé qui aurait – selon la légende – appartenu à sa défunte mère.
Asher Aanka’Leï vit le jour sans faire exprès sous les latitudes ardentes de Korrul. Fils d’une mère assassinée alors qu’il était encore en âge de lui téter le sein, fils d’un père l’ayant abandonné aussi vite que le vent chasse un nuage un soir d’hiver,
Rapidement confié à sa tante après le décès de sa mère, Aminä. Il grandit en pièce rapportée dans un foyer qui n’était pas le sien.
Il ne connut pas la tendresse rassurante de la caresse d’une maman sur sa joue ou la force d’un bras paternel prêt à le tirer des mauvais pas et à le rassurer dès lors que son imagination de gosse s’inventait des monstres sanguinaires tapis sous son lit.
Dès l’âge de la raison, il comprit qu’il n’était qu’un accessoire, un poids et qu’il ne devait la vie qu’à la charité de sa famille et en particulier celle de sa tante Hessaë qui l’éleva comme son propre fils et lui offrit un substitut de repère familial. Le mari de sa bienfaitrice se chargeait en revanche de faire comprendre à Asher à sa façon qu’il ne serait jamais de sa famille et que sa présence serait toujours au moins une petite épine dans son pied, une épine qu’il acceptait pour contenter les puissants Aanka’Leï.
Petit garçon sage et réservé, il grandit dans la terreur de l’abandon ne voulant surtout pas contrarier sa famille ou déplaire à Hessaë sous aucune forme que ce soit. Il s’interdisait toute bêtise, toute colère, tout caprice, tout, tout ce qui aurait pu déplaire à sa tante bien aimée, la personne la plus chère son cœur. La seule personne capable de le faire rire et de recoudre son âme d’enfant si souvent déchirée par l’indifférence et par les épreuves envoyées par Ryun.
Éduqué comme un futur cultivateur, il se montra élève docile et appliqué ayant à cœur de toujours faire de son mieux et de rechigner le moins possible à la tâche fusse elle difficile ou ingrate, un simple mot de tendresse d’une de sa tante suffisait à lui redonner du baume au cœur.
Les années s’étirant inexorablement à la course du soleil, Asher devint plus possessif avec ses jouets, ses possessions et avec sa tante ayant du mal à supporter l’arrivée du fils de cette dernière dans le logis. Il savait qu’à partir de ce jour il ne serait plus que le deuxième, que l’auxiliaire. Cette jalousie terrible, ultime coup de poignard dans son cœur de petit garçon bien trop meurtri se muta en une terrible peine doublée d’une furieuse envie d’être le seul être aimé par sa tante.
Les visites de son père - attendues aussi avec autant d’impatience que le jour de son anniversaire - étaient des jours de fête pour le petit Asher qui ne parvenait pas à trouver le sommeil en sachant que son père viendrait le visiter le lendemain. Ces rencontres étaient pour le petit l’occasion irrationnelle de faire tout pour plaire à son père. Paré de ses plus beaux vêtements, le dos bien droit, il espérait fébrilement et sans réellement y croire une parole tendre, une marque d’affection ou même une simple félicitation pour les bonnes appréciations de son précepteur.
Un simple regard de Kheops à son égard lui chavirer le cœur, suffisait à le rendre heureux. Le silence le plus glaçant entre père et fils était pareil à la plus belle des mélodies aux oreilles du jeune garçon qui, inconsciemment cherchait un amour et une affection qui ne lui manquait que trop cruellement. Partagé entre peur panique de l’autorité de son géniteur et volonté de l’aimer et d’être aimé envers et contre tout. Il ressortait toujours ivre de bonheur de ces éphémères moments, même quand son père le réprimandait. Le frêle Korrulien ne manquait pas de dire avec fierté à qui voulait encore bien l’entendre qu’il « avait passé du temps avec son père ».
Au crépuscule de sa neuvième année, une nouvelle page allait s’écrire quand on lui annonça qu’il allait quitter Penjoie pour retourner au domaine des Aanka’Leï. Quelle nouvelle épreuve le grand Ryun plaçait encore sur sa route. Son Dieu n’avait-il donc pas de cœur pour lui faire quitter la seule personne qu’il ne l’ait jamais considéré autrement que comme une quantité négligeable. Il prenait sans doute trop de place et ne pouvait blâmer sa tante de vouloir élever son vrai enfant. Une fois encore, il accepta sans trop savoir pourquoi ou comment.
Dans le flou le plus total, quelques larmes séchées au creux des yeux il quitta avec peine Penjoie pour retourner sur les terres de sa « famille ». Seule la présence rassurante de sa deuxième tante, Eyföhl lui rendait l’idée un peu moins pénible.
Date d'anniversaire : 11Kinos
Phobie(s) : L’abandon
Rituel quotidien : Avant d’aller se coucher il regarde les étoiles dans le télescope offert par son grand-père.
Autre particularité : Sommeil très léger et régulièrement peuplé de cauchemars.
Ambition : Courir et gagner la course des 9 grains.
Secret : A fabriqué un petit autel funéraire pour sa mère soigneusement caché dans sa chambre, projette de fuguer le plus loin possible du domaine familial, ne croit plus en Ryun depuis plus de six mois.
Réputation : « Le gamin mal aimé du père indigne »
Où as-tu trouvé le forum ? Moteur de recherche
Première impression : Très bien accueilli par les joueurs, grande richesse
Robin Hobb ça te parle ? Je vois bien mais je n’ai jamais eu l’occasion de lire
Ton activité à prévoir : Bonne et rapide dans l’ensemble.
Accueil
» Communication externe
» Réversa [ TOP ]
» Le monde de Dùralas
» Anthalia
» Marbrume, La Cité des Damnés
» Questionnaire pour soutenir infinite RPG !
» Escalus
» Mass Effect : Reborn