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Atka Ahtunowhiho

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Atka Ahtunowhiho   - Lun 14 Nov 2011 - 13:17


1 - Général
Identité
Nom : Ahtunowhiho.
Prénoms : Atka.
Surnom : Athu-rbo.
Age : 24 ans.
Ville : Penjoie.
Langue(s) parlée(s) : Korrulien, Joyelle (quoi que nettement moins bien) et quelques mots de Mastroscien, essentiellement des insultes glanées au cours des différent Festivals de Bonne-Entente auxquels il a participé.

Profession
Rang : Gens du Milieu.
Métier : Mécanicien/Pilote.
Type de Culture : -
Famille proche : Cinq frères plus jeune que lui : Tuaq (18ans, défie son ainé pour le titre de Mr.Glaçon) ; Suka (14ans, a appris à voler, perfectionne encore l’atterissage) ; Sakari (6ans, camé au sucre) ; Nini (4ans, fan de hérissons) et Itigiaq (1an, aime dormir dans le placard sous l’évier). Parents décédés.


2 - Physique
Taille : 1m80.
Poids : 78kg
Couleur des yeux : Noirs bleutés, ils paraissent plus bleus lorsque la lumière les frappe plus directement.
Couleur et longueur des cheveux : Blonds et ondulés, ils tombent sur les épaules et dans les yeux d’Atka, sauf lorsqu’il pilote, car alors il les retient avec une cordelette de cuir.
Pigmentation de la peau : Mate, mais surtout parce qu’il passe beaucoup de temps au soleil.
Signe particulier : Il porte des lunettes de vue en permanence, ce qui est plutôt rare pour un pilote. Au-delà de ça, il a pas mal de cicatrices un peu bizarroïdes acquises à force d’accidents de travail plus ou moins important, notamment une longue entaille au côté gauche qui va de sa hanche à son aisselle, et qu’il a reçu dans l’accident qui a tué ses parents.
Signification des taches : Les tatouages que les Chamanes ont donné à Atka représentent, sans surprise, un engrenage, à l’intérieur duquel sont tracés cinq points qui représentent les petits frères du jeune homme… ces derniers ont, pour la majorité, été ajoutés après coup.
Pilosité : Faible : hormis ses cheveux, qu’il porte long, Atka est pratiquement glabre, mais il ne s’en plaint pas particulièrement : ça évite pas mal d’odeurs et quand on fait le même genre de boulots que lui, c’est appréciable.
Vestimentaires : Pantalons de grosse toile, vestes de cuir et lunettes, voilà les accessoires que vous verrez généralement sur lui. Il porte assez peu de chemises –a dire vrai il n’en a que trois : celle dont il a coupé les manches et qu’il porte chez lui, celle, blanche, qu’il réserve pour les grandes occasions et la dernière, bleue, qui appartenait à son père et qu’il porte lorsqu’il travaille ou qu’il doit rencontrer les professeurs des garçons, par exemple. Le reste du temps –à la maison ou dans son module- il est plutôt torse-nu, histoire de se protéger de la chaleur quand même assez pesante la plupart du temps.
3 - Psychologie
Défauts : Trop sérieux, mauvais perdant, renfermé, assez mordant dans ses commentaires, souvent assez froid, au moins au premier abord, et exigeant.
Qualités : Appliqué, excellent mécanicien, fidèle, dévoué, intelligent, discret, précis et exigeant avec lui-même.
Ambitions : Dans l’immédiat, il souhaite rassembler l’argent nécessaire à l’achat d’une maison plus grande que la pièce qu’il partage avec ses cinq petits frères et son meilleur ami. Par la suite, si possible, il aimerait aussi trouver une profession plus stable –peut-être mécano au Port ou sur un Long Courrier, de façon à pouvoir laisser tomber son boulot de livreur et consacrer ses loisirs aux courses.

Préférences :
Alimentaires : Atka mange de tout. Mais littéralement de tout, des féculents aux légumes en passant par tout les substitut pas chers qu’il peut trouver : gérer cinq gamins, dont le plus vieux a tout juste dix-huit ans et le plus jeune commence à peine à marcher, ce n’est ni facile, ni donné, et Atka a appris à ne pas faire le difficile en terme de nourriture, à la fois par souci d’éduquer ses cadets, et aussi parce que, disons-le clairement, avaler ce dont les autres ne veulent pas est parfois sa seule option pour manger correctement.
Loisirs : Atka aime passer du temps avec ses petits frères et s’amuser avec eux. Ceci dit, parfois la compagnie d’adultes, ou en tout cas de personnes de son âge, lui manque, et c’est dans ces moments là qu’il se dirige vers la taverne la plus proche pour se poser quelques instant et parler à des gens qui ont autre chose en tête que la gestion d’un foyer, au moins pour quelques minutes.
Relationnelles : Généralement ? Atka préfère rester en compagnie masculine. C’est pas sa faute, il a jamais appris à gérer les filles, même sa mère avait du mal avec elles alors on peut pas lui en vouloir… il se sent plus à l’aise en compagnie de membres de son sexe, qu’il comprend mieux et qui ne lui refilent pas des maux de crâne à tomber par terre –sauf quand ils parviennent à le convaincre de faire la fête, mais c’est une autre histoire. Donc, oui, Atka reste en compagnie masculine. Les filles, il a décrété vers huit ans que ça ne l’intéressait pas, et il n’a pas changé d’avis depuis ce jour. Evidemment, ce n’est pas toujours facile à gérer –pourquoi les mécanos se sentent toujours obligés de comparer leurs machineries à des femmes, ou pire encore, d’organiser des concours non-officiels du plus grand Casanova du coin, ça le dépasse- mais il n’a pas l’intention de se forcer à faire des choses qui ne l’intéressent pas juste pour satisfaire les besoins de ragots de ses collègues. Et si ses collègues choisissent de penser que son silence est dût à un comportement de ‘jeune homme propre sur lui’ plutôt qu’à une absence totale d’expérience avec la gente féminine, c’est pas lui qui ira les détromper, merci bien.

4 - Comportement
..face à un danger : « On peu paniquer maintenant ? »
Atka, c’est le genre de personne très calme, posé, réfléchi… y compris dans l’urgence. Ca ne veut pas dire qu’il reste impassible face à toute situation au point que ça en vire à l’inconscience, loin de là, mais entre ses galères de pilotages, les explosions régulières au travail et les petites catastrophes du quotidien, il a appris à gérer sa peur et sa panique de manière à rester efficace… jusqu’au moment ou quelqu’un d’autre prend le relais et ou il peu s’effondrer dans un coin ou personne ne le verra se montrer vulnérable.
..face à une nouvelle rencontre : « … Bonjour à vous aussi. »
On l’a déjà dit mais ça ne fera pas de mal de le répéter, Atka n’est pas du genre à vous accueillir à bras ouvert. En fait, il est plutôt du genre à ne pas vous accueillir du tout, et réussir à lui donner envie de vous faire la conversation prendra pas mal de temps, surtout si vous êtes une fille.
..face à des sentiments nouveaux : « T’es sur que ça va ? Tu causes encore moins que d’habitude ! »
Atka aime que les choses soient nettes et carrées. Il n’aime pas la confusion ou ne pas comprendre quelque chose, particulièrement si le quelque chose en question c’est lui. Résultat, pas mal de répression et un effet cocotte minute aux effets parfois dévastateurs, autant pour lui que pour son entourage immédiat.
..face à une perte/la tristesse : « Oh la vache… pincez-lui les joues, on dirait un cadavre. »
Atka ne s’étend pas sur ses pertes. Bon, certes, il ne s’étend pas sur ses émotions tout court, mais enfin, encore moins sur ce qui le fait souffrir. Pourquoi ? C’est simple, à Korrul, les faibles ne survivent pas très longtemps, et Atka a trop à perdre pour se permettre de se montrer faible. Résultat, lorsque quelque chose lui fiche un vrai coup au moral, il pâlit, verdit, mais ne dit rien, ne pleure pas, ne commente pas et fait de son mieux pour prétendre que rien ne s’est produit jusqu’à ce que l’émotion finisse par le rattraper et qu’il doive se diriger en urgence vers la salle de bain pour vomir ses trois derniers repas.

5 - Biographie :
Depuis tout petit, Atka a un truc avec les moteurs.

C’est facile, logique, pas chiant… bref, tout ce que les gens ne sont pas. Du coup, dès son plus jeune âge, c’était assez difficile de le faire se dérider ou s’intéresser à des jeux un peu plus courants, du style le ballon, l’épervier, ce genre de choses. Son truc à lui, Atka, c’était la mécanique, les vaisseaux… et l’adrénaline. Il aimait la vitesse, le frisson du risque qu’on sent en roulant à fond les manettes… Quand son père, mécanicien de profession, décida de lui apprendre les bases de son métier, personne ne fut surpris.

L’enfance d’Atka fut normale : mis à part son tempérament très solitaire et une période ‘les filles c’est caca’ nettement plus prolongée que la moyenne, il n’y avait rien de particulier à signaler. Il fit rapidement ses preuves en termes de mécaniques, on pensa pendant longtemps qu’il n’aurait aucun mal à accéder à son plus grand rêve : piloter une Vivenef, préférablement la sienne. Oui, certes, ça serait du boulot, mais il avait des connections via son père, et du talent à la pelle autant comme mécanicien que –on le réalisa plus tard- comme pilote.
Lorsque ses frères naquirent, plusieurs années après lui, il ne fit pas de crise de jalousie, ni aucune des bêtises auxquelles on aurait pu s’attendre. Non, au lieu de ça on put, très tôt, le voir se pencher sur le berceau de Tuaq pour lui désigner des dessins tremblotants d’outils bien mieux compris que représentés pour essayer de lui en enseigner les noms. Ca n’a pas vraiment marché, puisque Tuaq préfère les mathématiques à la délicate science des rouages, m’enfin, c’es l’intention qui compte.


La famille Ahtunowhiho n’était pas riche, flirtant même plutôt avec la pauvreté, mais comme leur mère le répétait souvent : peu importe la pauvreté d’un homme, s’il a une famille, il est riche.
Et c’était vrai qu’ils étaient heureux, tous les huit. Bon, il fallait constamment faire attention à ne pas trop dépenser, à ne pas gaspiller d’argent et à ne jamais, jamais gâcher la nourriture, mais c’était la même chose pour tous les voisins, et puis ça n’empêchait personne de jouer au ballon dans les ruelles du quartier ou de faire des avions en papier qui ne volaient pas droit, alors on s’en accommodait sans broncher.

A dix ans, ayant appris à lire, écrire et compter, Atka quitta l’école –qui ne lui aurait, de toute façon, pas ouvert les portes d’une salle des machines- et commença à travailler au Spatioport, dans l’atelier de son père. C’est la qu’il apprit à entretenir des modules, a les réparer, les fabriquer, les améliorer bref, les bichonner.

C’est aussi là qu’il rencontra Elan Kachina.
Ils travaillaient dans le même atelier, sur la même machine, en fait, et en moins d’une heure, Atka savait tout ce qu’il y avait à savoir sur lui : qu’il était le deuxième fils d’un couple de Danseurs, que son père ne lui parlait plus depuis qu’il avait décidé de s’engager à l’atelier, qu’il ne s’entendait pas très bien avec son frère ainé, qu’il adorait sa mère –et sa tante, et la fille de la voisine, et celle de son ancien instituteur- et qu’il était vraiment, vraiment, vraiment trop bavard et qu’il fallait s’en débarrasser au plus vite.

Ils ne se sont plus quittés depuis.

Enfin, si vous demandez à Atka il vous dira que c’est surtout Elan qui ne l’a pas lâché d’une semelle et qu’il les a entrainés tous les deux dans plus d’une ânerie, m’enfin, le résultat est là : Elan est devenu l’unique ami proche d’Atka.


A quatorze ans, après près de trois ans de travail sur un vieux Module qu’on lui avait dit bon pour la casse et qu’Elan l’avait aidé à retaper, Atka participa à sa première course.

« OUAIS ! DIXIEME C’EST TROP GENIAL AHTU ! »
« Mon nom c’est Ahtunowhiho, Elan. Et je suis même pas sur le podium alors arrête de brailler. »
« Ouais, dis c’que tu veux Ahtu-rbo, n’empêche que t’as que quatorze ans et t’es dixième sur soixante-quatre, c’est génial ! Et encore, t’aurais fait mieux si l’enfoiré en Module vert t’avais pas fait une manœuvre pendarde en fin de course ! T’es trop bon comme pilote vieux. »
« T’as finit avec tes conneries, qu’on aille bouffer ? »
« Attends, tu sais pas la meilleure ! »
« Quoi ? »
« T’as gagné cinquante Galons d’bronze. »


Atka attrape la bourse que lui lance Elan et l’observe avec de grands yeux, intrigué.

« Les parieurs pensaient que tu finirais pas la course. J’ai parié dix Galons que si, et à dix contre un ça nous fait cinquante Galons par tête de pipe. »


Ainsi commença la carrière de coureur du jeune Atka.


Le système était très simple : au lieu de profiter de leurs pauses déjeuners, Elan et lui travaillaient sur le Module d’Atka -baptisé Anuun- puis ils rentraient avec le père d’Atka jusqu’à la grande pièce qu’occupait la famille en guise d’appartement, ou ils planifiaient la prochaine course, le prochain pari, et surtout –mais nettement moins fort, Elan planifiait leur prochaine bêtise et parlait des filles qui lui avaient tapé dans l’œil cette semaine là. Et puis la nuit tombait, Elan et Atka sortaient dans les rues noires et faisaient le trajet jusqu’à la maison Kachina, papotaient encore un peu sur le pas de la porte, et Atka rentrait chez lui, parfois à pied, parfois en Module.
Et le lendemain, la journée recommençait, du moment ou ils se retrouvaient à l’atelier jusqu’à celui ou ils se séparaient sur le pas de la porte.

« Tiens, c’est pour toi. »

Atka contemple le petit paquet enveloppé de velours rouge que lui tend Elan et hausse un sourcil.

« Tu me prends pour ta copine, Kachina ? »
« Ca vient pas d’moi, crétin. C’est une des filles de l’atelier B qui me l’as filé pour ton anniversaire. La rouquine qu’arrêtes pas de se prendre les pieds dans les câbles de l’entrée. »
« Ah, elle. »


Atka hausse les épaules, repousse le paquet et continue son repas.

« Calmes-toi vieux, c’est pas bon pour toi d’être aussi excité. »
« Pourquoi, je devrais l’être ? »
« Mec, t’as un ticket d’enfer sans rien faire, évidemment qu’t’es sensé être content. »
« Les filles m’intéressent pas. »


Il y a une pause, et Atka continue de manger, attendant patiemment le rire qui suit toujours cette déclaration, immédiatement suivit d’un regard qui signifie ‘ouais, tu diras plus ça très longtemps’, mais Atka a déjà presque vingt-deux ans et son opinion sur la question n’as pas changé depuis ses six ans alors y’a pas grand-chose à ajouter. Il aimerait juste qu’Elan se dépêche de se payer sa tête, qu’ils puissent laisser ce sujet de conversation derrière eux avant que sa nuque se mette à chauffer.

Mais le temps passe et le rire ne vient pas, alors il lève les yeux de son assiette et hausse un sourcil.

« C’est vexant. »
« Quoi ? »
« Que tu t’attendes à ce que je réagisse comme tout le monde. T’es mon meilleur ami, j’vais pas me payer ta tête. Pis comme ça je vais pouvoir récupérer toutes celles à qui tu briseras le cœur ! »
« Un jour elles se réuniront pour te lapider, et faudra pas compter sur moi pour te sauver. »
« Tu me laisserais mourir dans d’atroce souffrances ? Espèce de sans cœur ! »
« T’as qu’as te comporter en humain normal et la garder dans ton pantalon pour une fois. Trainé. »
« S’tu l’dis, s’pèce de coincé. »


Ils mangent encore un instant en silence, puis Atka sent quelque chose de lourd lui tomber sur les genoux : c’est la pièce qui lui manquait pour finir Anuun II, et il sourit.

« T’auras qu’à m’offrir une Charmeuse le mois prochain. »

Atka soupire et roule des yeux mais, le mois suivant, Elan passe la nuit avec une des plus jolies charmeuses du quartier.




Les parents d’Atka moururent un Vendredi, deux jours avant ses vingt-trois ans.

Il avait prévu de participer à une course privée la semaine suivante : on disait qu’elle était organisée par un propriétaire de Vivenef qui cherchait à agrandir son équipage, et c’était l’occasion rêvée… avec un palmarès comme le sien, c’était forcé qu’il attire l’attention des organisateurs : invaincu depuis ses dix-sept ans, champion de Penjoie, il était à deux doigts de passer aux courses inter-villes, et son arrangement avec Elan lui permettait pratiquement de doubler son salaire en pariant sur ses propres résultats. Bon, certes, même comme ça, ça restait difficile de nourrir tout le monde correctement, mais c’était un sacré soulagement financier quand même.

Ce matin là, il avait décidé de montrer à sa mère ce que devenait son module… s’il était resté chez lui plutôt que de laisser Elan garder ses petits frères tout seul, il n’aurait pas été présent à ce moment là, et il n’aurait pas vu le vaisseau en réparation tomber lorsque les chaines qui le retenaient en suspension se brisèrent sous l’usure.

Atka réussit à sauter suffisamment loin pour esquiver le gros de l’impact.

Pas eux.

L’atelier ferma le soir même, les mécaniciens se retrouvant brusquement à la rue, forcés de chercher du travail auprès des autres réparateurs de vaisseaux, et Atka se retrouvant brusquement confronté à un choix qu’il n’aurait jamais cru devoir faire : réaliser son rêve ou rester pour s’occuper de ses frères.
Au final, ce ne fut pas vraiment un choix : entre la sécurité de sa famille et un poste de pilote ou que ce soit, il n’avait pas à réfléchir pour savoir ce qu’il ferait, et il trouva un travail de livreur de journaux en plus d’un nouveau poste de mécano en moins d’une semaine.

On enterra les parents d’Atka la semaine suivante.

Itigiaq, âgé d’à peine quelques mois, fut laissé chez une voisine pour l’occasion, tandis que ses ainés devaient enfiler leurs vêtements les plus présentables pour enterrer la vie qu’ils avaient eut jusque là.

« Si c’est pas malheureux quand même, des gens si gentils. »
« Qui va s’occuper des enfants ? »
« Il parait que leur ainé va s’en charger. »
« Qui… lui ? »
« Oui. »
« Pauvres gosses. »
« Si c’est pas honteux quand même. Il enterre ses parents et y verse pas une larme. »
« Les jeunes sont vraiment de plus en plus ingrats, quand même… tenez, mon beau fils par exemple, eh bien figurez-vous que… »


Atka inspire profondément quand la main d’Elan se pose sur son épaule, se forçant à desserrer les poings.

« Les écoute pas. C’est des vipères, ça les éclate de foutre la merde. »
« Je veux qu’elles virent d’ici. Maintenant. »


Elan hoche la tête et, en cinq minutes, la pièce est vide, ne laissant plus que les petits entassés sur le canapé, leurs vêtements du dimanche en train d’attraper des plis à force de se recroqueviller pour tenir les uns sur les autres. Nini bave sur son costume, et Sakari a des traces de sucre partout sur les joues, mais Atka n’a pas la force de s’en occuper ce soir. Il se contente de les enfouir sous une couverture et de leur enlever leurs chaussures avant de sortir sur ce qui sert de palier, abandonnant les restes de la réception qu’il n’avait pas les moyens de payer mais qu’on l’à forcé à donner quand même parce que ‘c’est une question de respect.’

Il se laisse glisser à terre, enfouit la tête dans ses bras et s’oblige à rester silencieux pour ne pas réveiller ses frères qui dorment de l’autre côté du mur épais comme du papier à cigarette.
Il finit par s’endormir sur le palier, l’épaule calée contre celle d’Elan et la tête toujours dissimulée dans ses bras.

Il se réveille le lendemain avec un torticolis d’enfer et une couverture sur les épaules, l’odeur du petit déjeuner filtrant sous la porte, et il soupire. Au moins il n’est pas complètement seul dans cette galère.


Les mois qui suivirent furent un cauchemar.
Itigiaq mit une éternité avant de faire des nuits à peu près régulières à défaut de complètes, Tuaq et Suka se sautaient à la gorge pour un rien et Sakari faisait régulièrement des cauchemars qui le faisaient se réveiller en hurlant au mileu de la nuit, forçant Atka à rester éveiller pendant des heures pour essayer de renvoyer les trois plus jeunes de ses frères vers le pays des songes au plus vite histoire de grapiller quelques heures de sommeil avant de les déposer chez la voisine le matin avant de partir livrer ses journaux.

L’un dans l’autre, si Elan n’avait pas été là pour faire jouer les gosses quatre soirs par semaines, Atka aurait probablement explosé.



« Je devrais emménager chez toi. »
« … Quoi ? »
« Je devrais emménager chez toi. »
Elan hausse les épaules. « J’passe déjà pratiquement tout mon temps libre chez vous…. »
« Quand t’es pas avec une fille. »
« Ouais mais dans ces cas là je prend une chambre, ou je me trouve un coin tranquille jusqu’à ce qu’il faille rentrer. »
Il hausse les épaules. « De toute façon mon père va pas tarder à me fiche dehors alors si je viens pas ici faudra que je me trouve un taudis rien qu’à moi d’ici peu. Tu me connais, je prend pas de place, et je ronfle moins fort que Tuaq. Pis un deuxième salaire ça pourras pas faire de mal, surtout si tu veux bouger dans une piaule plus grande. »
« Tu réalise que si tu viens habiter ici y’aura plus de virée jusqu’à trois heures du matin quand ça te chante ? »
« T’façon c’est autant pour faire chier le vieux que pour m’amuser. Si tu me laisse mes samedi soirs je devrais survivre. »
« … tu ferais vraiment ça ? »
« Et qui d’autre viendra te tenir les cheveux quand t’en pourras plus de retenir tes crises d’angoisse, si c’est pas moi ? Crétin va. »
« Trainé. »


Mais Atka ne parvient pas à retenir ses épaules de se relâcher très légèrement, une part de la tension qui l’habitait ses dernier mois s’envolant avec ces paroles.

Elan emménage deux semaine plus tard.


Et c’est ici que nous retrouvons notre héros.


6 - Et toi cher joueur ?
Où as-tu trouvé le forum ? Partenariat avec MA-85.
Première impression : Très joli et bien organisé^^ J’ai juste un reproche à faire au sujet du système des langues : la logique voudrait que les Korruliens et les Matrossiens parlent avant tout la langue spécifique à leur pays et que seuls les privilégiés apprennent la langue commune, non l’inverse (ça parait bizarre qu’une langue créée de manière ‘artificielle’ ait si rapidement supplanté les deux autres, surtout vu le peu de nécessité de s’en servir au quotidien^^’) Sinon j’adore le contexte, bien écrit, très complet et particulièrement intrigant^^
Robin Hobb ça te parle ? Evidement, quel fan de Fantasy n’en a pas entendu parler ? J’ai même lui le tome un du Soldat Chamane, j’avais bien accroché mais j’ai jamais pu trouver la suite ><
Tes autres pseudos habituels : Fanfan ou TerresDeBrume selon les sites. Mais bon, appelez moi Atka, ça le fera très bien Very Happy
Signification des noms utilisés dans la fiche :
Sauf indication contraire, ils viennent du langage Inuit.
  • Ahtunowhiho : Cheyenne - Celui qui vit dessous.
  • Atka : Un qui conseille/un qui a vécu et qui sait des choses
  • Tuaq: Un bout de vieille glace pris dans un nouveau bloc de glace.
  • Suka : Rapide.
  • Sakari : Doux/sucré.
  • Nini : Porc-épic.
  • Itigiaq : Belette/Fouine.
  • Elan : Origine inconnue - Amical.
  • Kachina : Hopi - Esprit, danseur sacré.
  • Anuun : Libre.


Azaëlle
Chamane

On m'appelle Azaëlle


Infos Personnage
RANG: FONDATRICE - Celle qui Dépossède
VILLE & APPARTENANCE : Arish / Chamane
MON AGE : 17 ans
Féminin
MESSAGES : 6356
AGE : 32
INSCRIT LE : 27/01/2011
PSEUDO HABITUEL : Saya
Joyaux : 1271
http://www.ile-joyaux.com/t539-azaelle-celle-qui-depossede http://www.ile-joyaux.com/t33-azaelle-celle-qui-depossede
Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Lun 14 Nov 2011 - 13:58

Bienvenue sur le forum *w*
Ouaiiis un gens du Milieu ! On commençait à désespérer ;p
Pour le moment c'est correct mais les yeux bleus par contre c'est pas très cohérent pour Korrul Smile

Si tu as des questions n'hésites pas et bon courage pour la suite !
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Lun 14 Nov 2011 - 18:13

Fiche terminée! Smile
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Lun 14 Nov 2011 - 23:07

WOUAAAAAAH ! *ç*
//tombe amoureuse de son perso //

Bienvenue, sinon ^^'

//Finalement un DC Korrulien ça peut être sympa aussi....//
Azaëlle
Chamane

On m'appelle Azaëlle


Infos Personnage
RANG: FONDATRICE - Celle qui Dépossède
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INSCRIT LE : 27/01/2011
PSEUDO HABITUEL : Saya
Joyaux : 1271
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mar 15 Nov 2011 - 2:47

J'aime quand les fiches sont remplies si rapidement !
Enfait les korruliens ont les yeux jaunes/oranges/marrons mais bon noir ça passe encore.
J'aime beaucoup comme tu te sert des éléments du reccueil (festival...) c'est agréable !

Alors concernant l’histoire, ton personnage est vraiment interessant ! J'ai vraiment dévoré l'histoire *w* C'est un personnage simple et compliqué à la fois j'aime beaucoup !
Je n'ai rien à redire si ce n'est attention avec les Vivenefs elles restent à Matroos normalement Smile enfin il peut y en avoir pour des négociations mais pas énormément quoi !

Je te valides et bon rp !

Ah et concernant les langues je ne comprends pas ce que tu veux dire ;o Le Korrulien se parle de tous les Korrulien & le Matrosciens des Matrosciens. La langue entre les deux n'est pas connu de tous mais elle est quand même instauré depuis des générations donc bon.
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mar 15 Nov 2011 - 6:34

Alors d'abored merci pour la Validation, je suis bien contente que le perso plaise Smile
Pour les yeux, au pire j'peu encore changer, c'est pas comme si ça se voyait sur l'ava de toute façon xD

Ah, et merci Trias^^ Au plaisir peut-être de te croiser en RP Smile

Pour les langues, voici ce qui me pose 'soucis' dans la formulation:

Maitre des Joyaux a écrit:
Parce que l'Île aux Joyaux est composée de divers peuples, un système de langues se devait d'être instauré lui aussi.
Comme pour le système monétaire, il est assez basique. Il n'y a pas beaucoup de langues. Chacune a une couleur attribuée que vous devrez utiliser dans vos dialogues de RP. N'oubliez pas non plus d'indiquer lesquelles sont maîtrisées par votre personnage.

Le matroscien ; une langue aux inspirations de gaélique, aux sons profonds et à la mélodie qui évoque les chants de marins.
Les habitants de Matroos l'apprennent dès l'enfance, du moins ceux qui ont la chance de recevoir une éducation. Certains mots divergent d'une ville à l'autre, ainsi que l'accent, mais elle reste comprise de tous.
Néanmoins, il existe bel et bien de pauvres gens qui n'ont pas eu la possibilité de l'apprendre. Les prostituées notamment, les vagabonds, les chiens galeux et moins que rien. Les commerçants et familles de marchands n'en font pas partie. Concernant les matelots... ils la connaissent plus ou moins bien, mais ils savent tous au moins une chanson dans cette magnifique langue.

Sa couleur est le vert.
(J'ai juste rajouté des italiques pour souligner les passages que je ne trouve pas logique.)

Pour moi (et j'ai peut-être mal compris, hein, j'suis pas infaillibel) ça veut dire qu'il faut obligatoirement aller à l'école pour apprendre cette langue, sinon on ne la parle/comprend pas du tout, ce qui n'est pas logique vut que, comme tu l'as dit toi-même, c'est la langue de leur pays: même les pires illettrés savent forcément la parler.
Après, peut-être que ça fait référence à la langue écrite, mais dans ce cas il faudrait peut-être le formuler un peu différement, car ça prête à confusion, je trouve^^^'


Maitre des Joyaux a écrit:
Le korrulien ; une langue à la fois douce et rêche. Elle ressemble aux murmures des grains de sables agités par le vent. Elle est très difficile à apprendre à cause de sa prononciation. Toutefois sa composition est assez primaire et le vocabulaire moins riche que le matroscien. C'est une langue à la mélodie chaleureuse mais effrayante lorsque la colère trouve son chemin à travers ses mots.
Les Forbans du Désert ont renforcé cet aspect rauque du korrulien. Les mots sont les mêmes, mais la prononciation diffère.
La majorité des korruliens la maîtrise parfaitement. Quant aux plus démunis, ils s'en sortent déjà mieux que les étudiants matrosciens.

Sa couleur est le rouge foncé.
Pareil, j'imagine que ça fait référence à l'écrit, mais la encore on pourrait comprendre que les pauvres de Korrul parlent une autre langue que le reste de la population (bon, après on peu argumenter sur le fait que l'Argot est une langue à part ou pas, mais on va peut-être pas pousser jusque là xD)

Maitre des Joyaux a écrit:
Il existe une sorte de patois dérivé du matroscien et aux consonances proches du korrulien utilisé par les pirates. Néanmoins, cette langue n'a rien d'officiel car peu la maîtrise. On l'utilise surtout pour rédiger des journaux de bord ou des cartes aux trésors. Quelques intellectuels parmi les pirates savent la parler et l'écrire, ainsi que la plupart des capitaines.
On la surnomme le vanylien.

Sa couleur est l'indigo.

La je suis un peu moins sure de moi donc ne pas hésiter à me corriger, mais en général un Patois ne se fixe à l'écrit qu'après s'être bien implanté à l'oral, non? Si la langue est encore peu parlée (donc encore en cours de construction) ça me parait surprenant qu'elle soit déjà transcrite à l'écrit.
Ceci dit, encore une fois, c'est tout à fait possible que je me trompe, hein!

Maitre des Joyaux a écrit:
Pour terminer, sachez qu'il existe quand même une langue commune depuis les accords de marché entre Matroos et Korrul. C'est, à sa façon, une belle langue. Sa forme est aussi simple que le korrulien - pour permettre à tous de l'apprendre rapidement - mais ses intonations sont nombreuses et variées.
Que ce soit à Korrul ou à Matroos, tout le monde est capable de la parler - pas forcément de l'écrire. Seuls les jeunes Forbans du Désert la rejettent. Leur langage à eux, c'est leur force...
En raison de sa quasi universalité sur l'île, on la nomma le joyellien.

Sa couleur est le noir.

En fait, c'est la qu'est mon plus gros problème.
Oui, le Joyellien a été créé il y a un bon moment et il est logique que la majorité des marchands la parlent, puisqu'ils ont des contacts avec ceux des autres peuples.
Cependant, vu le contexte (et la tu me dis si j'ai mal compris) ceux qui ne sont pas commerçant voyagent très peu entre les deux royaumes, d'ou des contacts peu nombreux, d'ou une faible nécéssité de parler le Joyellien.

Du coup, ça me parait bizarre de dire que même les plus pauvres qui ne quittent jamais leur ville, encore moins le royaume, maitrisent le Joyellien, surtout si dans les catégories précédentes on sous entend-qu'ils ont du mal avec leurs langues maternelles.
Pareil, le terme quasi-universel me gêne... elle a pour ambition de devenir universelle, cette langue, mais elle ne l'est pas encore, en tout cas pas d'après ce que j'en ai lut dans le contexte^^'


Ce sont les seules incohérences que j'ai relevé celà dit, et ça n'empêche pas le RP donc rien ne vous force à le changer, hein, c'est juste que bon. Ca me fait tiquer quoi xD
Enfin bref, voilà, je ne vous embêterais pas avec ça si vous décidez de ne pas y toucher, y'a pas de souci, t'façon le Contexte est déjà magnifique tel quel alors *_*
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mar 15 Nov 2011 - 17:48

Bienvenue ! \o/

Moi ça m'avait pas choqué le Joyellien, je trouvais même ça logique dans le cadre de Vanylle en fait, qu'une langue plus aisée à maîtriser finisse par être adoptée naturellement par la masse. "__"
Invité

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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 4:31

Merciiii^^


Ben le principe du Joyellien en soit ne me choque pas, au contraire c'est parfaitement logique de vouloir mettre en place des moyens de communication, mais dire que le Joyellien est plus parlé que le Korrulien ou le Matroosien c'est comme dire que les Français parlent majoritairement l'Espéranto: c'est pas logique x)

Après, le cas de Vanylle est un peu particulier puisque c'est une culture dérivée des deux autres, comme les Romains étaient dérivés des Grecs, du coup leur patois est effectivement une évolution naturelle, et le passage a l'écrit finira par arriver même si je pense que ça se fait plutôt une fois que l'oral est bien implanté.
Et en effet, le fait qu'ils parlent majoritairement le Joyellien se retrouve aussi puisqu'ils ont tous des occasions de communiquer avec l'extérieur, mais un Korrulien qui ne sort jamais de son pays n'a aucun intérêt à apprendre le Joyellien puisque tous ceux qu'il rencontrera (ou, allez, 99% d'entre eux) parleront le Korrulien aussi.
Donc, à moins que l'apprentissage soit obligatoire, il y a peu de chance que la majorité de la population Korrulienne (ou Matroosienne) ne maitrise le Joyellien courant, encore moins qu'ils le maitrisent mieux que leur langue maternelle.

Pour faire une comparaison, c'est comme le Breton et le Basque (enfin, les patois correspondants) au moyen age: à l'époque ces deux populations ne se rencontraient jamais, et ne se rendaient que rarement dans d'autres coins du pays, donc ils n'apprenaient pas la langue de l'autre, et seuls ceux qui voyageaient dans le reste de la France apprenaient le Latin (qui faisait office d'Anglais/Joyellien de l'époque).

Quand à l'adoption d'une langue plus facile, c'est possible mais pas obligatoire (cf le Flop Espéranto, ou la grammaire chinoise qui ne s'est pas répandue à l'international^^) notamment parce qu'une langue est fortement liée à la culture qu'elle représente et à l'histoire du peuple qui la parle: seuf forcing, c'est extrêmement rare qu'un peuple abandonne sa langue originelle pour en adopter une autre, même plus facile.
(D'ailleurs même après forcing ça survit souvent, la preuve, on parle toujours le Breton, le Basque, le Gaélique, l'Indi, certains dialectes indiens etc...)


Ceci dit je le répète, c'est pas mortel!
Ca prend des allures de grand débats parce que j'arrive pas à m'expliquer de mannière concise, mais on peu très bien jouer avec le contexte tel qu'il est, et je n'irais pas me lancer dans une campagne de guerre si ça ne change pas! Juste, on m'a demandé d'expliquer, je m'explique, pas de problème^^
Simplement, le contexte dans son ensemble est bien construit, logique et fouillé, et pour une fois qu'un forum/ouvrage de fantasy se penche sur les moyens de communication dans leur monde (Alleluia!) au lieu de se retrouver, par défaut, avec l'impression d'une langue universelle, ben je me suis dit que c'était dommage qu'il y ait des incohérence.

Puis bon, les langues j'avoue, c't'un peu mon Dada aussi alors ça me rend parfois un peu relou, peut-être, j'avoue ^^'

(Breeeeeeef... encore un Pavé. Promis je suis pas aussi chiante d'habitude, et je ferais pas ça pour tout ce qui se passe sur le Forum *Nyeux de chaton*)
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 4:39

En tout cas une chose est sur, t'as bien lu le recueil et t'as tout compris toi XD
C'est Noreshia qui a rédigé ce topic avant même le contexte je crois XD On s'était partagé les tâches donc le coté des langues c'est elle, c'est pourquoi je vais la laisser répondre (et parce qu'elle veut répondre). Comme je t'es dit elle bosse et hier elle était trop naze pour aller sur le pc (mais oui l'invité qui est co toute la journée c'est elle au taff haha).

Mais de toute façon tu as raison y'a un problème à ce niveau xD Je viens de relire le topic /OUT/.
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 10:46

Bienvenue !!!!

Han je veux la suite de l'histoire moi !!!! C'est trop bien ** Je l'ai dévoré.
Ya moyen que mon double compte à venir connaisse ton perso du coup x) j'ai prévu une pilote de Penjoie xD (et puis rousse sur l'avatar haha !)

Bref ! Pour l'histoire sur les langues je vais regarder tout ça, là j'ai pas le courage de m'y plonger T.T J'ai écrit ce sujet au tout début, et ça m'avait pas choquée plus que ça mais je crois ce que tu veux dire. On te tient au courant ^^

Bon RP !
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 11:50

Merci^^

J'suis bien contente que l'histoire plaise en tout cas Smile
Oh, la Rouquine de l'Atelier B serait-elle en passe d'arriver sur le Forum? *_*

Remarque, ça pourrait être marrent si c'était elle, ça donnerait de quoi jouer (par contre elle en baverait avec Atka xD)

Pas de souci pour les langues, d'jà ça arrive, pis si en plus le topic a été écrit séparément du contexte c'est normal qu'il y ait des petits soucis Smile

Encore merci, et au plaisir de te croiser en RP Smile
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 12:32

Je vais y réfléchir, mais niveau caractère, elle aura bien changé alors xD Je comptais en faire une gagnante folle de compétition 8D

(c'est mon DC)
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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 12:41

Haha, de toute façon y'a pas d'obligation hein xD

D'jà c'est même pas sur que tu veuilles te baser à Penjoie alors en prime te conformer à ma fiche, hein xD

Mais ouais en effet ça lui ferait un sacré changement x)
Un coup de fouet métaphorique, faut croire xD
Skip la Plume

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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   - Mer 16 Nov 2011 - 16:20

Bienvenue !

J'adore la petite famille d'Atka *o* C'est trop mignon -w- *adore les gosses*

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Posté dans Re: Atka Ahtunowhiho   -

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