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Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 7:58


1 - Général
Identité
Nom : Te-Vang
Prénoms : Yaen
Surnom : Aucun
Age : 18
Ville : Arish
Langue(s) parlée(s) : Korrulien

Profession
Rang : Exilé
Métier : Assassin
Type de Culture : Pour les familles de cultivateurs (fruit, légume, fleurs exotique, animaux..).
Famille proche : Il ne les a pas revus depuis des années. Il est le fils de Prophénias et de Skandie Te-Vang et a deux frères et une sœur, tous plus jeunes que lui.


2 - Physique
Taille : 1m74 (oui, c'est un petit...)
Poids : 64 kilos
Couleur des yeux : Brun orangé
Couleur et longueur des cheveux : Des cheveux sombres, presque noirs, d'une longueur moyenne.
Pigmentation de la peau : Hâlée
Signe particulier : Il possède une tâche de naissance sur le bras gauche.
Signification des taches : Sinueux, long, souple, elles évoquent la discrétion et la souplesse du serpent. Notez que ce choix est particulièrement ingénieux puisque comme le serpent, Yaen est aussi fourbe.
Pilosité : ... Il n'a pas de quoi en être fier, pauvre de lui.
Vestimentaires : Il préfère passer inaperçu, aussi n'hésite-t-il pas à se couvrir le plus possible quand il "chasse", histoire que personne ne le remarque... il a une préférence pour les couleurs ocres et ternes, plus discrètes à son goût. Autrement, quand il se balade en plus, je vous renvoie au style vestimentaire de Dastan qui correspond beaucoup à ce qu'il affectionne.
5 - Psychologie
Défauts : La liste est longue... très longue. Yaen est une personne très froide, avec qui le contact est difficile à établir. Ajoutez à cela qu'il est foncièrement égoïste et fort peu tourné à la charité et à l'héroïsme, et vous comprendrez pourquoi peu de gens ont envie de lui adresser la parole. Il a également un côté démiurge assez insupportable : cette volonté de tout savoir, de tout contrôler... cela a tendance à taper sur les nerfs. Sans compter qu'il aime dominer ses victimes. Sans être totalement cruel ou sauvage, c'est trop lui demander que de l'obliger à infliger une mort rapide et indolore.
Qualités : Yaen a tout de même des qualités. Au fond, ce n'est pas un mauvais bougre : s'il vous apprécie, il vous sera fidèle jusqu'à la mort et vous respectera. Sans compter que, même si cela peut sembler paradoxal, il respecte son propre code de l'honneur. Rien à voir bien sûr avec les commandements de Ruyn, non, il lui est personnel mais il s'y tient dur comme faire. Et pour le reste... surprise !
Ambitions : Son objectif principal reste la survie. Yaen ne s'en fixe pas d'autres, même s'il aimerait aussi trouver sa place, quelque part dans ce monde, et dans longtemps, peut-être fonder une famille. Mais rien n'est moins sûr, et dans l'immédiat, s'enrichir un peu ne peut pas faire de mal, n'est-ce-pas ?

Préférences :
Alimentaires : Il mange plus pour se nourrir que par goût de la bonne chère. Aussi mange-t-il tout ce qui lui tombe sous la main. De la mauvaise bière avec une saucisse grasse le contenteront autant qu'un délicate salade sortie des cuisines d'un grand chef.
Loisirs : Il aime tuer. Et manipuler les autres. Bon, à part ça... d'accord, il a une sensibilité artistique et il adore la poésie. Et alors ? un assassin n'a-t-il pas le droit de composer de la poésie à ses heures perdues ? En plus d'être un poète médiocre mais passionné, il aime aussi faire des activités physiques et passer du temps seul en dehors des villes.
Relationnelles : Yaen n'est pas un excellent parti. Il n'a que quelques amis, mais ceux-ci peuvent se vanter d'avoir découvert la nature secrète de Yaen et de s'être attaché à sa loyauté. En réalité, c'est un jeune homme maladroit qui reste trop froid et sarcastique pour qu'on ait envie de l'aborder. Il a quelques relations bien placées, histoire de sauver sa tête s'il devait lui arriver malheur. Il se sent très attiré par la gent féminine mais ce n'est pas un coureur : il préfère les regarder évoluer de loin plutôt que de leur parler.

4 -Comportement
..face à un danger : Tout dépend du danger. S'il peut se résoudre avec un bon coup de dague bien placé, il y va. Mais dès qu'il faut agiter un peu ses méninges, il préfère s'enfuir. Il n'est peut-être pas une lumière, mais il est suffisamment intelligent pour comprendre que certaines situations nécessitent un doigt donc il est dépourvu.
..face à une nouvelle rencontre : Au secours ! Yaen déteste ne pas connaître la personne, il se sent vulnérable. Il restera donc relativement réservé et froid, lâchant quelques petites phrases a priori anodines pour juger. Il se fait son avis très vite : s'il vous aime, il se montrera plus ouvert et plus amical. Sinon, son attitude à votre égard ne changera pas.
..face à des sentiments nouveaux : Yaen aime tout contrôler. Aussi, face à de nouveaux sentiments, il préfère ne pas perdre sa maîtrise, et donc il les nie. Certes, cela finira quand même par lui exploser à la figure, mais l'essentiel, pour lui, c'est de croire qu'il est le seul maître à bord.
..face à une perte/la tristesse : Extérieurement, rien n'aura changé. Il sera le modèle même de l'indifférence... sauf face à ses amis où il extériorisera son amertume. La perte lui fait peur ; quand elle survient, le jeune homme est complètement dévasté à l'intérieur et met des mois à s'en remettre. Encore qu'il faut bien le connaître pour remarquer à quel point cela l'ébranle.

6 - Biographie :
La petite chambre, payée rubis sur l'ongle, plut tout de suite à Yaen. Elle était grande mais non imposante, disposant de tout le confort nécessaire sans déborder de luxe : un petit lit, propre et commode, assorti à une table de chevet sur laquelle était posée une lampe, une armoire étroite mais suffisante pour contenir ses quelques bagages, une table de travail et sa chaise a priori confortable... tout cela et bien plus encore. Ainsi qu'un miroir, dont le jeune homme s'approcha. Il défit soigneusement les bandes de tissu qui masquaient son visage et s'enroulaient autour de sa tête, libérant une cascade de fin cheveux noirs. Il contempla son visage, songeur. Dix-huit ans, mais il en paraissait plus. Il n'avait pas encore de rides, heureusement, mais l'inquiétude et la peur avait déjà laissé sa marque. Peur... ridicule, un homme n'a jamais peur. Lui moins que tout autre. Peut-être était-ce seulement la fatigue ?
Se contempler ainsi, en tout cas, remarquer à quel point il pouvait paraître vieux lui donnait la nausée. Yaen s'éloigna du miroir, posa ses bagages sur son lit et, sans se soucier de sortir de ses affaires et de les ranger soigneusement, il fouilla jusqu'à trouver un petit coffret de bois sombre, délicatement fermé par une serrure. Il en portait toujours la clé autour du cou. L’exilé prit le coffre, l'amena jusqu'à la table et l'ouvrit avec révérence. Ce qu'il y avait dedans, pour lui, c'était son âme même. Le cœur de toutes ses pensées étaient retranscrites sur les pages du carnet que le coffret contenait. Il sortit son nécessaire d'écriture et se pencha sur la page blanche, s'apprêtant à écrire une nouvelle page de son histoire.

Les mots venaient difficilement. Yaen manipulait mal le langage, étant plutôt un homme d'action que de lettres. Il utilisait un lexique peu soutenu et assez pauvre ; avec ses simples mots, il parvenait à écrire de la poésie. Peut-être qu'il y arrive mieux que nous si nous étions confrontés à la difficulté d'écrire des vers - ou même de la prose -, seuls face à une feuille blanche, sans dictionnaire ni Internet, mais uniquement parce qu'il s'essayait à cet exercice depuis des années. Autrement, il est vrai qu'un érudit le raillerait pour sa lenteur et pour la difficulté qu'il éprouvait à faire quelque chose de joli... et se moquerait de ses résultats médiocres. Mais Yaen ne voulait pas être un artiste. Il voulait juste trouver le moyen d'extérioriser ses pensées qui le brûlaient de l'intérieur.

Comme rien ne paraissait troubler
La quiétude de la nuit,
Je me suis laissé tenter
J'ai abordé la folie !


Moi, j'aime pas qu'on me dise ce que je dois faire!
Ouais, mais ça va t'attirer des ennuis mon gars...

J'arrête de vous faire patienter et vais désormais vous conter l'histoire de Yaen Te-Vang, le plus adorable de tous les exilés. Vous êtes prêts les enfants ? Asseyez-vous confortablement et laissez-vous guider par Tata Dala...

Il y a dix-huit ans, une nouvelle âme naquit à Korrul. Le petit garçon, fils de Skandie et Prophenias Te-Vang, fut nommé Yaen.
Yaen grandit dans un milieu strict, dicté par les devoirs et la religion. Il vivait dans une atmosphère austère, se sentant étouffé par toutes les règles imposés par ses parents ; il n'était pas rare que son père le punisse d'avoir osé s'éloigner des préceptes qu'on lui avait prescrits. Prophenias ne voulait pas que son fils soit un lâche, un faible ; il devait être fort, et en tant qu'aîné, se comporter dignement. Mais le petit garçon, déjà, possédait une volonté tenace ; désobéir à son père devenait son obsession, même s'il fallait cumuler les châtiments corporels. Il devait faire ce qu'il voulait faire, et c'était tout. Sa maison était si calme, si feutrée ; il fallait bien que quelqu'un brise ce silence surnaturel, et Yaen, sans vraiment le savoir, se pensait plus ou moins investi d'une mission sacrée : faire comprendre à ses parents qu'ils ne l'empêcheraient pas d'en faire à sa tête. En cela, nous pouvons dire que son enfance fut violente, secouée de disputes, de discordes et de pleurs discrets.
Il faut dire que Prophenias et Skandie étaient tous deux des fantassins, certes pas brillants, mais enthousiastes et dévoués ; leur fanatisme n'avait d'égal que leur volonté de faire de leur fils un excellent Veilleur. Mais bien évidemment, le savoir convainquit Yaen de ne surtout pas suivre cette voie. Lorsque son père, dès l'âge de trois ans - ce jeune âge témoignant de son envie de faire de lui un Veilleur pourpre - se mit en tête de lui apprendre les règles de l'art, Yaen fit tout pour saboter ses tentatives. Évidemment, ce fut très douloureux. Non seulement, en refusant de se défendre, il se prenait déjà pas mal de coups, mais en plus il pouvait être sûr d'être battu comme plâtre s'il ne coopérait pas. « Tu es faible. » : lui répétait son père, comme si c'était son mantra, et Yaen encaissait les coups en essayant de ne pas trop pleurer.
En lisant ce portrait, sans doute avez-vous l'impression que Yaen était un rebelle, un fils dont les parents ne pouvaient rien tirer. Ce n'était pas vrai. Yaen n'était qu'un enfant ; même avec la plus tenace des volontés et la plus grande bravoure face à la douleur, il finissait toujours par céder. Quand son corps n'en pouvait plus, il acceptait enfin de donner satisfaction à son père. Comme ça, il n'était pas battu, et il parvenait à contrer la plupart des attaques de son père. Il lui prenait parfois l'envie de hurler, de briser le calme de la maison, mais la simple vue de ses parents l'en dissuadaient. Les Te-Vang n'étaient pas des monstres ; ils aimaient profondément Yaen, tout comme lui, malgré tout, les aimait. Mais ils voulaient pour lui le meilleur, même si cela impliquait d'utiliser la force et de se montrer sévères, voire rigides.
Et Yaen, avec le temps, accepta finalement de se soumettre à cette discipline.
Mais avant cela, quand il avait quatre ans, il reçut ses tatouages. Il fit preuve d'un tel courage que ses parents furent pour la première fois fiers de lui ; il ne réfléchissait pas, il acceptait son sort sans frémir. Il ne comprenait pas vraiment ce qu'on lui faisait, juste que c'était douloureux mais aussi très joli. Le petit garçon était tout fier de ses tatouages, même si ses parents se demandaient pourquoi ils l'assimilaient à un serpent. Par la suite, sans doute comprendraient-ils que ce choix était très judicieux ; mais sur le moment ?
Le temps passa. Rien ne changeait. Et Yaen finit par se calmer et devenir plus raisonnable. L'âge aidait beaucoup. Il avait compris que cela ne servait à rien de s'opposer à ses parents, qui somme toute n'étaient pas des barbares mais qui voulaient juste maîtriser son avenir. Il se jura qu'un jour, ce serait lui le maître du jeu ; mais en attendant, il n'était pas assez fort. Vers huit-neuf ans, ses relations avec ses parents s'améliorèrent. Il fut surpris de découvrir de nouveaux aspects de leur personnalité, se traitant d'idiot de ne pas avoir pensé à ce stratagème plus tôt. De plus, savoir se battre lui serait toujours utile même s'il n'était pas Veilleur, n'est-ce-pas ? Sa réflexion n'allait pas plus loin. Sa décision était prise : les temps calmes commençaient pour lui.
Du temps où j'appris la patience
Quelle patience, mon gars? Celui de l'assassin qui attend le moment idéal pour frapper sa victime ?

Nous en sommes donc rendus au moment où Yaen a eu le déclic. Il a enfin compris qu'il faut savoir faire des concessions, même si déjà il développe la névrose du contrôle. Nous voyons aussi que la violence ne peut lui faire peur puisqu'il l'a bien côtoyée. Ceci explique cela. Parlons désormais de son adolescence.

Qui dit temps calmes dit plus de temps pour faire d’autres choses. Yaen avait dix ans, il avait fini par se réconcilier avec ses parents et se montrer docile dans l’apprentissage des armes. Tout cela lui laissa plus de temps libre pour découvrir les autres aspects de la vie que lui offrait son nouveau statut de pré adolescent. Il s’ouvrit un peu vers le monde, allant vers d’autres garçons de son âge. Comme inconnu, Yaen n’avait déjà rien d’engageant : bien qu’il ne soit pas encore l’être froid, presque inaccessible qu’il est devenu, il avait déjà du mal à communiquer, à se dévoiler aux autres. Il se fit alors deux amis, des jumeaux qui avaient réussi à contourner la difficulté et avaient découvert la face cachée de Yaen. Face à sa fragilité sous-jacente, à sa frustration de devoir attendre d’être indépendant pour faire ce qu’ils voulaient, Hondias et Nuri avaient compris qu’il était, au fond, un petit garçon comme les autres qui avait besoin de chaleur humaine. Aujourd’hui encore, Yaen leur voue une fidélité sans bornes. Reconnaissant peut-être de l’avoir tiré de sa solitude, mais surtout heureux de les avoir pour amis.
Quand Yaen ne traînait pas avec les jumeaux, souvent il s’entraînait avec son père, sous le soleil brûlant de Korrul. Il vit progressivement son corps faible d’enfant se transformer : plus musclé, plus grand, plus solide, Yaen commençait à oublier les marques physiques qui avaient parcouru son organisme infantile. Les bleus et les coupures n’étaient plus qu’un mauvais souvenir. Yaen devint un bel adolescent, relativement habile de ses mains. Il apprit à agir instinctivement, et à réfléchir ensuite. L’inaction, apprenait-il, pouvait causer sa perte. Il fallait toujours anticiper, frapper un bon coup et montrer aux autres qu’il était le plus fort. Son père était fier de ce qu’il devenait ; il caressait toujours l’espoir d’en faire un Veilleur pourpre.
Quant à sa mère… eh bien, Skandie s’était déjà mise en tête de trouver très tôt pour son aîné une promise digne de ce nom. Elle était persuadée qu’elle ne la trouverait pas facilement – et elle avait raison -, aussi avait-elle déjà décidée de chercher bien avant que son fils soit en âge de se marier. Il n’avait même pas onze ans qu’elle lui présenta une première prétendante : une toute petite fille de cinq ans, certes très mignonne mais insipide et incapable de comprendre qu’on proposait déjà sa main pour un mariage qui n’aurait pas lieu avant dix ans. Yaen avait poliment refusé, expliquant à sa mère que pour lui, le délai était trop long. Mais la Veilleuse ne décolérait pas. Elle se mit à harceler Yaen, acceptant qu’il les refuse toutes mais ne se résignant pas à le laisser tranquille. Tout cela coïncida avec ce que nous appellerons ici ‘’l’éveil des hormones’’ de Yaen, qui quand il eut quatorze ans tomba follement amoureux d’une fille qui avait bien sept ans de plus que lui… déjà une femme serait plus juste . Elle s’appelait Milla, était la fille d’un cultivateur d’orchidées et était déjà mariée à un autre homme. Yaen l’avait rencontré lorsqu’il était allé chercher des orchidées à offrir pour Skandie. Tout de suite, il était tombé sous le charme. Seul problème : elle ignorait son existence et le considérait comme un enfant, indigne d’elle. Yaen ne pouvait le supporter… mais là encore, il attendit. Il espérait qu’en grandissant, elle finirait par se rendre compte qu’il l’aimait et qu’elle l’épouserait. Il attendit donc… quinze ans… seize ans… seize ans et demi. Finalement, il finit par comprendre qu’il n’y avait pas de raison qu’elle quitte son époux. Ce n’était que des chimères de gosse. Il le comprit quand, un jour, alors qu’il lui avait proposé de l’inviter à dîner chez sa famille – innocemment, pour la présenter à sa mère qui aimait tant ses bouquets – elle était entrée dans une colère noire et avait refusé catégoriquement. Son attitude lui ouvrit les yeux : elle ne voulait pas de lui.
Et Yaen devint fou.

Je les tuerai tous.
Et tu t’en mordras les doigts…
Aaaaah ! On arrive enfin à mon moment préféré : l’événement qui a fait de mon Yaen un exilé ! Le jeune homme déjà maladroit dans les relations sociales et furieux de ne pas pouvoir obtenir ce qu’il veut a en quelque sorte pété les plombs…
   L’épisode qui suit est sans doute connu comme l’un des plus violents de Korrul. Peut-être vous rappelez-vous l’horreur du peuple Korrulien face à un tel déchaînement de folie. Yaen n’éprouve nulle fierté d’en avoir été responsable. C’est lui qui l’a fait, et le savoir ne lui procure ni joie ni regrets.
En outre, quand tout s’était produit, il n’était pas lui-même. Le jeune homme était resté prostré chez lui pendant des jours, incapable de prononcer le moindre mot. Pour lui, le temps s’était arrêté au moment où elle lui avait dit « non ». Plus rien d’autre ne comptait. Il n’avait pas conscience que ses parents se relayaient autour de lui, persuadé qu’il était tombé gravement malade. On lui faisait manger des repas insipides, qu’il avalait sans s’en rendre compte. Il se montrait d’une extrême docilité, lui qui était déconnecté de la réalité. Il s’enfermait dans la douleur pour ne pas voir la vérité en face.
Elle ne voulait pas de lui.
Un jour il eut un déclic. D’aucuns diront que c’était un retour à la conscience. Pour moi, son acte était trop inconscient pour que l’on puisse vraiment le dire. Tout ce que je sais, c’est que Yaen se laissa guider par la haine et la douleur. Tout était flou mais cela n’avait pas d’importance. Il se leva comme un zombie et sortit sans bruit de sa chambre. Un petit passage obligé par la cuisine et il sortit dans la fraicheur de la nuit tombée. Les journées étaient chaudes, cette température douce était la bienvenue.
Il se mouvait telle une ombre. Il ne faisait plus partie du monde des vivants. Il n’était plus un Korrulien. Il allait commettre l’irréparable. Ses pas étaient rapides et discrets ; personne ne le remarqua. Son cœur battait la chamade, mais il ne s’en souciait pas : qu’importe, alors qu’il était plus heureux qu’il ne l’avait été pendant ces derniers jours ? Sa vocation lui parut évidente. Il ne serait pas Veilleur pourpre. Il serait pire. Et il était parti.
Il n’aurait jamais cru que s’introduire chez un Cultivateur puisse être aussi simple. C’était sous-estimer la volonté de Yaen. Son entraînement lui fut utile ; le jeune homme était en pleine forme physique et il n’avait pas de difficultés à enjamber les obstacles. Pas une seule fois il ne se dit qu’il était fou, qu’il ne devrait pas être ici. Au contraire, il ne s’était jamais senti aussi calme, aussi… aussi maître de son destin, tout simplement ! Il ressentait une grande impression de puissance, pour la première fois de sa courte vie, et cela lui plaisait, lui qui ne rêvait que de contrôler sa vie. Voilà qu’il avait celles des autres en les mains. Cela ne pouvait l’arrêter en si bon chemin. Il se faufila jusqu’à la salle où la famille de Milla prenait son repas. Ils avaient des invités. S’il avait eu une once de bon sens, Yaen se serait arrêté et serait reparti sans rien faire. Mais même s’il se sentait en paix, il continuait de souffrir. Il approcha de la fenêtre, la cassa.
Ensuite, ce fut le chaos.
Toute la salle s’éparpilla, choquée. Yaen les laissa partir. Il n’avait d’yeux que pour Milla. La jeune femme le regardait d’un air éberlué, ne comprenant pas ce qu’il faisait là. Elle n’avait pas vu le poignard. Elle ouvrit la bouche pour le saluer – il plongea, sauta sur elle et planta le couteau dans son ventre. Milla hoqueta, à la fois de douleur et d’incompréhension, mais Yaen ne lui laissa pas le temps de se défendre. Il sortit le couteau, le renfonça, cette fois un peu plus haut. Il la lardait impitoyablement de coups ; des larmes coulaient de ses yeux alors qu’il se vengeait. Ses yeux s’étaient déjà voilés, mais il continuait encore, et encore. Un cri résonna dans la pièce, ramenant Yaen à la réalité. C’était le mari de Milla. Il venait de voir sa femme se faire sauvagement assassiner par un jeune psychopathe. Yaen se jeta sur lui. L’homme se mit à courir, mais Yaen le prit violemment par les jambes et il tomba, se cognant durement le menton contre le sol. Yaen lâcha prise et enfonça le couteau dans son dos. La lame passa entre les côtes et se ficha directement dans le cœur. Lâchant un rire sardonique, Yaen fut admiratif de son geste, digne d’un professionnel. L’homme se convulsait, lâchant ses derniers souffles.
Yaen s’était vengé. Il se sentait beaucoup mieux. Il était conscient que l’irréparable était fait, que sans doute on le bannirait ; mais c’était loin de l’effrayer. Au contraire, il en ressentait une joie immense. Milla avait payé, et puisqu’elle ne voulait pas de lui, personne ne pourrait l’avoir. De plus, il venait de découvrir un nouveau sentiment auquel il n’était pas coutumier. Pour la première fois, il se sentait libre de faire ce qu’il lui plaisait vraiment. Il venait de comprendre qu’il n’était pas obligé d’être un Veilleur, qu’une autre voie s’ouvrait à lui. Il pouvait, s’il le voulait, devenir un assassin.
Il ne s’arrêta pas à ses deux meurtres. Il avait déjà pris goût au sang, au pouvoir de vie et de mort que lui procurait le meurtre. Il massacra comme un barbare une demi-douzaine de personnes.
Le lendemain, il était exilé.
 
Ô solitude, ma voie la plus douce ! Lieux où règne la nuit, Loin du bruit et du tumulte, Combien vous réjouissez mes pensées troubles ! (K. Philips)
Parce que tu ne reconnaîtras pas que Korrul te manque.

Voilà, notre cher Yaen vient de devenir un assassin ! Le meutre de la famille de Milla remonte à environ un an et demi. On remarque déjà qu’il est relativement malade parce qu’il aime tuer… En effet, le meurtre lui donne un pouvoir sur sa victime. C’est affreux, mais c’est ainsi. Mais si on parlait de la suite de sa carrière, voulez-vous ?

Une fois exilé, Yaen partit très vite à l'aventure. Le bannissement avait été une sentence très douloureuse pour lui. Ce qui le blessait le plus, c'était le regard humilié et furieux de ses parents, qui n'avaient pas éprouvé de la tristesse. Pire, ils étaient en colère contre lui ! Bon, d'accord, c'était normal, leur fils avait sali leur nom et s'était déshonoré. Mais était-ce une raison pour ne pas regretter son départ ?
Pour Yaen toutefois, le chemin était tout tracé. Il allait suivre la voie que cette nuit de sang lui avait ouverte. La découvrir, c'était un peu comme découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. Yaen savait qu'il ne s'était jamais senti aussi proche de sa vraie nature qu'en tuant. Et ce fut ainsi qu'il gagna sa subsistance : exécuter quelques assassinats plus ou moins bien payés, afin de survivre. Sans cela, qu'aurait-il donc fait ? Ses parents ne lui avaient appris qu'à se battre. Il ne connaissait que la violence et n'avait pas peur d'elle. Alors forcément, accepter de menus contrats afin de pouvoir manger le soir, cela lui paraissait normal. Je ne nie pas que moralement, même lui trouvait cela dégradant. Mais c'était là plutôt une réflexion intellectuelle. Ses sentiments étaient tout autre : au contraire, c'était plutôt jouissif, que de couper le fil de la vie à une victime.
Yaen était bon, et cela, personne ne pouvait le nier. Il ratait rarement une mission, et quand c'était le cas, il disparaissait dans la nature sans laisser de traces. Yaen n'avait plus d'attaches à aucune terre ; la seule qu'il aimait lui était interdite. Il parcourait le monde dans la limite de ses moyens, la plupart du temps à pied, prenant rarement le bateau car la traversée lui aurait trop coûtée. Sa vie de bohème, au demeurant, lui convenait. Et il aimait tuer, c'était indéniable. Tuer, et jouer avec ses victimes - ce qui faisait froid dans le dos. Il n'était pas cruel, juste démiurge. Pour lui, c'était différent. Il ne se réjouissait point de la souffrance qu'il engendrait, mais de la domination qu'il exerçait en tant que bourreau. Après des années à se contrôler, c'était pour lui une libération.
Seul il serait sans doute devenu un monstre. Une part d'humanité, pourtant, restait accrochée à lui. Au fil du temps, il rencontrait diverses personnes. Bien qu'avec la plupart il se montrait d'une extrême froideur, avec certains, il réussissait à dépasser ce stade, et acceptait de faire un bout de chemin avec eux. Bien que solitaire, l'Exilé réussit à se faire des amis. Des amis qui l'aimaient malgré ses innombrables défauts, qui le soutenaient et l'acceptaient. Yaen, ainsi, ne sombra pas totalement dans la folie meurtrière. Et peut-être est-ce de là que viendra le salut.
Et me voilà, seul, au demeurant,
J'écume les routes, je hante les chemins.
J'ai beau être un barbare, cependant,
D'autres ont lié leur destin au mien.

Yaen reposa son matériel et se prit la tête entre les mains. Il avait mal au crâne à force d'être resté ainsi courbé sur son travail, pendant des heures, à chercher des mots qui puissent correspondre à la violence de ses sentiments. Il se sentait mal d'avoir ainsi raconté sa vie. Des larmes silencieuses roulèrent sur sa joue, seul témoignage du malaise qu'il pouvait concevoir à n'être rien d'autre qu'un assassin exilé.

7 - Et toi cher joueur ?
Où as-tu trouvé le forum ? Via Enrya.
Première impression : Robin Hobb est ma déesse. ♥
Robin Hobb ça te parle ? Je ne désespère pas d'avoir un jour assez de sous pour m'acheter les Aventuriers de la mer et le Soldat chamane. Mais en attendant je reste une fan incontestée de l'Assassin royal et je vénère Fitz. ♥
Tes autres pseudos habituels : Dalaryan, DS.

Ayant un certain bac oral d'espagnol demain, j'vais pas trop pouvoir m'y mettre. Mais dès qu'il est fini... vous savez ce que je fais demain aprem. =P
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 8:05

Bienvenue à toi ! ♥ une autre prophète de Robin Hobb *o*
*se prosterne avec elle*
Bon courage pour finir ta fiche !
Azaëlle
Chamane

On m'appelle Azaëlle


Infos Personnage
RANG: FONDATRICE - Celle qui Dépossède
VILLE & APPARTENANCE : Arish / Chamane
MON AGE : 17 ans
Féminin
MESSAGES : 6356
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INSCRIT LE : 27/01/2011
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http://www.ile-joyaux.com/t539-azaelle-celle-qui-depossede http://www.ile-joyaux.com/t33-azaelle-celle-qui-depossede
Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 8:38

Bienvenue parmi nous Very Happy
Et vive Enrya qui rameute haha ♥️

Et tu vénère Fitz mais quand tu aura connu Jamère du Soldat Chamane tu le vénerera ! haha
Au plaisir de lire le reste de ta fiche ♥️ Si tu as des questions n'hésites pas !
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 8:59

Bienvenue !\o/
Bon courage pour terminer ta fiche et "merde" pour ton oral ! Cool
Agazhar Börl
Oracle

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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 9:27

Bienvenue Yaen cheers

Une fan de Robin Hobb en plus, c'est super ! Lis les Aventuriers de la Mer et tu verras que c'est même plus qu'une déesse *^*

Bon chance pour ton oral Smile
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 13:26

Bienvenue sur le forum. Content de te voir par ici. ♥

Ah par contre, je constate que ta fiche est très vide. Allez, dépêche-toi ! =P Va parler Espagnol et reviens-nous parlant Korrulien ! =3
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 13:57

Merci vous tous. ^O^ Il me tarde aussi d'en avoir fini avec l'espagnol. Argh, l'échéance approche...
Mes dieux, j'ai encore plus la deg de ne pas pouvoir lire les Aventuriers de la mort... J'vais devenir folle oui ! *se prosterne avec Arden*

Hé, on rigole pas Enrya. x)
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 29 Mai 2011 - 15:44

Alors, j'ai lu ce que tu as mis et pour le moment tout est bon ^^
J'adore ton personnage, pour un assassin je le trouve original, et j'aime le côté un peu imparfait que tu lui donnes : " Mais dès qu'il faut agiter un peu ses méninges, il préfère s'enfuir. Il n'est peut-être pas une lumière, mais il est suffisamment intelligent pour comprendre que certaines situations nécessitent un doigt donc il est dépourvu."
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 30 Mai 2011 - 2:58

Ouais, un autre Exilé ! \o/
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 30 Mai 2011 - 3:28

Ouf, tu me rassures Noreshia. ♥ Même si bon, j'ai oublié le "é" à doigté ! =O *et là c'est le drame*
Contente que tu l'aimes. Je suis fan des assassins, pas que de Fitz, alors si ça correspond, tout me va...

Et oui Arden. Ils vont bien s'entendre (ou pas). ^O^



& aaaah j'ai fini mon oral d'espagnol. I'm fruuuuuit. ♥ Bon, on va dire que je me suis pas plantée donc je me sens de très bonne humeur. ^O^
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 30 Mai 2011 - 12:32

Bonsoir !
Nous avons ajouté trois éléments dans les fiches de présentations :
- Langues parlées
- Famille proche
- Ambitions

Pourrais tu stp rajouterai ceci dans ta présentation comme sur le modèle ? Merci et désolée pour ces petits éléments supplémentaire ! ♥️

Au passage ! Ton histoire est complète ? Smile
Que je lise tout d'un coup *0*
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Mer 1 Juin 2011 - 10:16

Je vois. Pas de problèmes, je le fais. x)

Ah, et je suis désolée, mais non, elle est incomplète. =/ J'ai encore un ou deux passages à écrire et une introduction. Je continue demain et ce week-end, si tu veux je peux vous envoyer un mp quand j'ai fini. x)
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Mer 1 Juin 2011 - 12:12

Non poste juste ici pour nous le dire, qu'on la zappe pas ^^
Invité

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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Dim 5 Juin 2011 - 7:53

Pas de problèmes. ^^
J'ai continué l'histoire mais suite aux orages et aux révisions je n'arriverai pas à terminer... J'essaie quand même d'en finir ce soir, cela dit. x)
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 6 Juin 2011 - 4:01

Ok ! Hâte de la lire **
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 6 Juin 2011 - 10:05

J'ai terminé ! J'espère que ce sera à la hauteur de vos attentes. ^^
Encore désolée si j'ai mis du temps, mais j'aime bien trop écrire les histoires de mes personnages pour l'écourter, et il est assez dur de gérer avec les révisions du bac. x___x
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 6 Juin 2011 - 10:27

Oh ! Mais c'est un psychopathe ce monsieur dites donc ! L'histoire est triste Sad Enfaite, je pense que ton personnage pourrait peut-être partir rejoindre les forbans plus tard non ?
Enfin c'est toi qui choisis ♥️

En tout cas c'est parfait, je te valides et bon RP !
Invité

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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 6 Juin 2011 - 12:37

Allez. Je ne suis même pas sûre de m'être inscrite la première, mais je viens chanter pour la validation !
Tu es des nôôôôôôôtres ! 83 Pas de bienvenue, je ne suis pas certaine de tout.
Agazhar Börl
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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Lun 6 Juin 2011 - 13:08

Han *0* je crois que ton perso est mon préféré ** ou l'un de mes préférés en tout cas. J'adore sa psychologie, comme c'est écrit. Il est très complexe, c'est super intéressant à jouer ! On dirait que tu t'es approprié le contexte du forum en plus, c'est trop cool.
Le seul détail que j'ai relevé, mais je chipote, c'est que tu utilises le mot "bateau". Pour Matroos passe encore, c'est imagé, mais pour Korrul je pense que vaisseau est plus approprié. Mais bon, c'est un détail vers la fin, t'as pas besoin de le changer. Je le précise juste pour tes RP.

Bon RP ^^
Invité

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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   - Mar 7 Juin 2011 - 8:24

Danke schön ! (ah, je viens de finir de faire mes fiches voca en allemand, ça se voit non =D ?)

Azaëlle > Euuuh mais non ! ... bon si, c'est un psychopathe. Mais tous mes persos sont des psychopathes ! Une seule fois, j'ai essayé d'en faire un pas psychopathe, et au final c'était le plus fanatique de tous. ♥

Mïm > Selon les dates d'inscription, t'es venue deux jours après moi. Mais c'est pas grave, j'ai très envie de chanter avec toi ! *et les orages revinrent vitesse grand V*

Noreshia > Je note pour bateau. x) Mais ton commentaire fait super plaisir, parce que j'avais peur de faire de grosses boulettes et que je suis contente de ne pas avoir trop mal interprété le contexte. ^_^ Aussi merci pour les compliments sur le perso, j'avoue avoir très hâte de le jouer en tout cas. ♥

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Posté dans Re: Yaen - Tout est une question de volonté. Crie le plus fort et on te respectera.   -

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