Histoire
Meria c’était la fille d’un honnête marchant… Avant. Aujourd’hui elle n’est plus qu’une douce belle de nuit.

Elle est née dans une famille de Marchand, seconde enfant, étant une femme et le second elle n’hériterait jamais des affaires de son père. Elle n’était qu’une enfant, qu’un bébé, que Meria n’avait déjà plus le choix quand à son futur… Marié à un riche Marchand pour le bien des affaires de son père… Que demander de mieux ? Un peu de liberté ? Peut être… Malheureusement, pour la demoiselle, la liberté ne fut points à l’ordre du jour.

Toute petite déjà, on lui apprenait à être poli, à bien se comporter, à lire, écrire et compté, c’était important pour son futur, à ce qu’il parait. Pourtant, elle, elle ne rêvait que de liberté. A l’époque elle aimait passer son temps dans les champs, rêvant d’une vie quelle pourrait contrôler, une vie de liberté. Sans être héritière elle n’avait pas le choix… Elle ne voulait pas, elle n’en pouvait plus.
Pourtant elle s’est résignée. Année après année, mois après mois, jour après jours. Au fil des âges la petite Meria compris qu’elle n’avait pas le choix, qu’elle aller de voir se marier pour le bien du commerce familial sans la moindre hésitation. Elle à donc oublié cette soif de liberté, elle l’a enfermé dan une cage dorée pour ne plus y penser, pour assuré la prospérité toute ces affaire.

Ainsi a-t-elle vécu jusqu’à l’âge de quinze ans… Jusqu’au moment ou ses parents lui ont présenté son futur époux, son fiancé.
Loin d’être vilain et méchant, il était même doux et prévenant, pourtant elle n’était pas convaincu, elle ne pouvait pas s’imaginer avec lui tout au long de sa vie, non elle ne pouvait pas. Pourtant ça aussi elle l’enferma dans une cage dorée, elle n’avait pas le choix, les choses était ainsi…
Une fois Majeur elle serait marié à cet homme. Tout ceci sans qu’elle n’est eu le choix. Aurait-elle une liberté à ce moment là ? Elle n’en était pas sur, puis il ne fallait pas y penser, non il ne fallait pas hésiter…

Pourtant… Une année plus tard, elle avait rouvert cette boite scellée. Echappant à son fiancé lors d’une journée ensoleillé. Elle alla se réfugier dans un champ de fleur, elle pensait être seule et pourtant elle fit la plus belle rencontre de sa vie.
Il était tendre, doux, un peu froid, mais rien de plus, il n’avait pas de grand air, il était sans prétention. Entre Meria et cet homme l’amitié débuta. Ils se retrouvaient de temps en temps, puis de plus en plus, et ainsi tombèrent amoureux l’un de l’autre.
Elle était sur un nuage, rien ne pouvait la dérangé, lui qui était son oxygène sa bouffé d’air, son tendre amour aussi. Il lui a apprit à aimer la poésie, a savoir se poser et lire un livre. Il lui a apprit comment apprivoiser un Butineur.

Mais un jour tout s’est brisé, elle allait sur ses dix-huit ans, le mariage en approche et pourtant, dans cette période là, elle ne connu que larme, douleur et déchirement.
Elle fut surprise en compagnie de cet homme, son tendre amour. Ses lèvres contre les siennes avec amour. Il ne fallait pas être bête pour comprendre et malheureusement son père avait tout compris… Elle l’avait trahi.
Par colère il chassa cet homme dont elle était amoureuse et enferma sa propre fille… Il pensait que cela suffisait, qu’elle comprendrait, qu’il avait fait le bon choix, le grand-frère de Meria reprendrait le flambeau, elle, elle allait se marier avec cet homme doux et prétentieux à la fois.
Pourtant… Le jour du mariage, Meria ne se présenta pas devant l’hôtel, non elle avait fuit, elle était partie dans ce champ qu’elle aimait temps, espérant vainement qu’il ne la rejoigne.
Malheureusement… Ce fut son père, furieux. Pour la première fois de sa vie elle sentit la douleur sur sa joue, la chaleur qu’une gifle pouvait procurer.

Ce jour là, Meria perdit son nom de famille, il l’a reniait, à ses yeux elle n’était plus sa fille, elle n’était qu’une tâche sur l’arbre de sa famille, une trainée, voilà comment il l’avait qualifié…
Elle avait à peine dix-huit ans.

Elle connu la faim et le froid, pas d’argent, pas de logement, quelque vêtement et le doux souvenir de son tendre amour… Allait-elle seulement survivre à tout ceci ?
Meria, commença à chercher un travail, quelque chose qui lui permettrait au moins de manger, de survivre… un travail sans prétention, messager, domestique, elle cherchait et prendrait le premier travail qu’on lui proposerait.
Malheureusement, ce ne fut pas celui qu’elle espérait. Un soir, alors qu’elle cherchait activement, un homme vint à l’accosté, d’abord gentil, il devint vide mielleux et lui proposa une coquette somme contre une nuit dans sa couche… Hésitante, elle ne pu refuser, elle gagnait de l’argent, avait un lit pour la nuit, peut être même de quoi manger et faire une toilette.
Elle n’a pas eu le choix et la belle et tendre Meria devint une belle de nuit… Elle passa ainsi de lit en lit, développant une avarice certaine pour ces sommes journalières qui lui permettait de tenir le coup.

Dans le courant de cette année, de ses dix huit ans. Elle se fit plus ambitieuse et partit à Sant – Poseïnos, espérant trouver une vie meilleure et une clientèle plus généreuse. Là bas elle n’est plus l’ancienne fille Linarean, elle n’est que Meria la Douce.
Elle entra dans un bordel, pour plus de sécurité lui avait on dit. Pourtant, pour elle, son bordel, c’est sa maison, elle a un toit au dessus de la tête… même si elle vent encore son corps.

Elle a aujourd’hui dix neuf ans. Elle rêve d’une vie meilleure, de retrouver cet homme qu’elle a su aimer et qu’elle aime encore…

Elle est connu dans le monde des femmes de joie, Meria la douce, Meria la tendre, elle est une amante d’une tendresse folle qui n’hésite pas, ainsi est elle connu dans le monde de débauche ou elle vie… Elle est la maitresse de bien des hommes…

Meria c’était la demoiselle qui rêvait de liberté… Avant. Aujourd’hui elle rêve d’amour et de foyer.