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« Elle est plutôt cruelle, ma maladie mortelle »

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans « Elle est plutôt cruelle, ma maladie mortelle »   - Ven 2 Nov 2012 - 18:16

Rappel du premier message :


SALTIMBANQUE
«Si jamais ça se voit, si on sait ça de moi
Que les mademoiselles, dans mes rêves sensuels
Ont des corps indécents, et des pommes d'Adam»
© Nicolas Bacchus



SURNOM :Saltimbanque
AGE:15 ans
VILLE :Vanylle
LANGUE(S) :Matroscien & Joyellien

Ce n'est pas le travail qui fait qu'on est fier ou pas ; c'est la façon de le faire.


RANG & MÉTIER : Pirate itinérant à la recherche d'un navire; artiste de rues
NAVIRE : --
ÉQUIPAGE :  --
FAMILLE PROCHE : Autre part, peut-être bien.



PhysiqueCaractère

TAILLE : 171 cm
POIDS : 64 kg
COULEUR DES YEUX : Bleus
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Blonds; mi-longs
PIGMENTATION DE LA PEAU : Naturellement blanche; brunit rapidement au grand soleil... lorsqu'elle ne rougit pas!
SIGNE PARTICULIER : Une plume de corbeau tatouée sur son omoplate gauche.
PILOSITÉ : Faible; les poils sur ses jambes sont blonds et fins. Son dos et son torse sont, eux, dépourvus de toute pilosité. Cependant, ses joues deviennent rapidement rêches s'il n'y prend point garde.
VESTIMENTAIRES : Il a un goût prononcé pour les vêtements voyants, élégants et colorés, mais il sait se contenter d'une simple chemise et de chausses confortables. Cependant, il ne tolère pas les vêtements sales; il préférerait encore se promener à poil.

DÉFAUTS : C'est un personnage profondément égocentrique. Il est le nombril de son univers et ne prend les autres en considération qu'à contrecœur; suivant cette idée, il n'éprouve pas le besoin de respecter son prochain. Il comprend la hiérarchie; il n'hésitera pas à s'en servir à son avantage, d'ailleurs, mais du moment que c'est à lui qu'on souhaite l'appliquer, il se braque et fuit. Il est vaniteux, manifeste un besoin envahissant d'attention qui se transforme souvent en harcèlement et, comble du malheur : il ne sait pas quand s'arrêter.
QUALITÉS : Son imagination connaît bien peu de barrières : si faille il y a, il saura trouver la manière de l'exploiter, mais cela, en passant parfois par des chemins si détournés que les autres perdent généralement tout intérêt envers sa tactique. Il est tenace - on ne peut le nier – mais il utilise généralement ce talent à mauvais escient. Obsédé par son hygiène corporelle, il mène la guerre à la crasse et aux odeurs; pas très aisé, cela dit, lorsqu'on est un pirate.
AMBITIONS : Son but est vague; peut-être est-ce pour cela qu'il peine tant à l'atteindre, en y aspirant pourtant de tout son être, depuis tout petit: C'est la liberté même. Non content d'avoir échappé aux responsabilités prédéfinies de sa vie au sein d'une famille bourgeoise matroscienne, il aspire à voir tomber toutes les barrières, physiques ou immatérielles, qui l'empêchent de vivre pleinement sa vie comme il l'entend.

PRÉFÉRENCES :
ALIMENTAIRES : Grand amateur des goûts prononcés, il insupporte la nourriture fade et les saveurs discrètes. Il ne lessive pas sur les épices et les fines herbes; plus il y en a, et plus il aime! Il préfère la volaille et les chairs plus maigres à la viande rouge, mais il n'est pas bien carnivore de toutes façons; il préfère, et de loin, un bon bol de légumes assaisonnés ou une soupe bien poivrée. Il insupporte les desserts; il n'accepte les goûts sucrés que lorsqu'ils accompagnent une salade ou un morceau de viande. De même, il n'aime pas l'abondance de sel, qui enterre les goûts d'origine. Du reste, il est plutôt fine-bouche et il accepte rarement de manger un aliment à l'allure douteuse.
LOISIRS : On ne le surnomme pas Saltimbanque pour rien; cet enfant n'existe que pour qu'on le remarque! Le moindre geste calculé, le moindre mot, le moindre son, chaque pas qu’il fait est un numéro n’ayant qu’un seul but : attirer l’attention sur sa personne. Peu lui importe que ce soit en mal ou en bien, tant qu’on le regarde, et quelle meilleure manière que l’exubérance pour attirer les œillades? À lui seul, ce garçon est un phénomène. Il ne sait rien faire normalement. Le moindre petit geste de sa vie courante est sujet à l’excentricité, il saura changer en spectacle le simple fait de se moucher le nez ou d’acheter un fruit au marché. Il assomme ses spectateurs à coups de fausse-courtoisie et de gestes exagérés, mais ce qu'il préfère par-dessus tout, c'est la musique! Armé de son arme de prédilection – un luth amateur, mais solide à souhait – il parcourt souvent les rues en produisant un vacarme d'enfer, ''harmonieux'' mélange des cordes et de sa voix. Il faut être bien chanceux pour le surprendre dans les rares moments de paix et de solitude où il se permet de jouer pour lui-même une douce mélodie.
RELATIONNELLES : On tombe rapidement dans l’ambiguïté, lorsqu'on aborde le délicat sujet de ses relations sociales. En ce qui concerne son lien avec ses semblables, Saltimbanque est difficile à cerner : il a besoin des autres, la solitude est un fardeau qui lui sied très mal. Aussi fera-t-il tout pour combler ce besoin de compagnie, qui s'apparente chez lui à un évident besoin de protection; de la crise de jalousie à l'envahissement de l'espace personnel, en passant par une feinte bouderie ou une moue malheureuse. Tous les moyens sont bons, en autant qu'il parvienne à forcer la compagnie, l'attention constante. Il exige que son entourage démontre l'affection qu'il lui porte, il veut se savoir apprécié et aimé, mais il ne retourne pas ces sentiments. À vrai dire, il peine à se rattacher émotivement à autrui. Il considère l'importance de ses relations selon le degré de plaisir que ces dernières lui apportent : si une relation particulière perd de son intérêt ludique, il ne se sentira aucunement obligé envers la personne avec qui il aura pourtant partagé de beaux moments, et se tournera plutôt vers quelqu'un de plus distrayant, dans l'immédiat. Inconnu ou non.

Comportement
...FACE A UN DANGER : Tout dépend d'où se situe le danger par rapport à lui, mais en général, Saltimbanque serait aussi utile qu'une larve dans la plupart des situations potentiellement dangereuses. Ce qui est certain, c'est qu'il supporte très mal l'attente d'un danger. Ainsi, s'il sait qu'il devra inévitablement confronter ce danger, plutôt que de s'y préparer efficacement, son premier réflexe sera de se terrer dans un coin, où il angoissera tranquillement tout seul, jusqu'à l'hyperventilation et, éventuellement, jusqu'à la crise panique. Si le danger est plus direct, mais qu'il peut tout de même espérer s'en cacher ou le fuir, il le fera, même si ça implique de laisser les autres se battre pour lui. C'est seulement une fois acculé et – à priori – en situation désespérée qu'il recouvre un peu de son instinct de survie : lorsqu'il n'a pas d'autres choix, lorsque le danger est immédiat et lorsque se battre devient sa seule chance, alors il n'hésite pas à le faire. Cependant, il faut spécifier qu'il ne sait pas se défendre ni manier une arme correctement; il est de faible constitution, n'est ni grand, ni fort, ni endurant, et il le sait. C'est pourquoi il devient dangereux à son tour lorsqu'il décide de se battre: il a conscience qu'il n'arrivera pas à simplement assommer ou maîtriser son adversaire, et il cherchera donc à l'atteindre mortellement ou à le handicaper suffisamment pour pouvoir s'enfuir. On remarque une certaine tendance à viser les yeux.
..FACE A UN ABORDAGE : C'est un lâche de première : c'est pourquoi Saltimbanque ne se portera jamais volontaire pour sauter de navire en navire en beuglant « À L'ABORDAAAAGE! » et en brandissant un cimeterre effilé. Pire, il risque de carrément contrevenir aux ordres si on lui demande un jour de participer à l'attaque. Cependant, même le lâche peut être orgueilleux, et celui-la ne l'est pas qu'un peu! Aussi n'avouera-t-il jamais que c'est par peur qu'il refuse de suivre le reste de l'équipage; il cherchera plutôt à convaincre son capitaine de son rôle indispensable sur le navire pirate durant l'assaut. Fort heureusement pour lui, il est excellent pour trouver mille et une petites tâches dites essentielles, pour exagérer les faits et pour convaincre ses supérieurs par la ruse... ou, plutôt, les lasser à force d'incessants babillages!
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : Sa réaction face à un inconnu dépendra de l'individu en tant que tel; c'est un personnage qui se base sur l'apparence physique des gens pour se faire un premier opinion, donc généralement il dédaignera les personnes sales ou au faciès peu agréable à regarder... MAIS, pour ce que ça change! .. car Saltimbanque a, de toute façon, la mauvaise habitude d'être hautain et/ou condescendant avec la majorité des gens qu'il rencontre. Il camoufle parfois ces traits sous un masque de fausse-politesse bourgeoise exagérée, mais c'est uniquement pour faire le clown, et le fond demeure le même.
..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : Il est ouvert aux nouvelles expériences, et il ne refuse jamais l'agréable : aussi, il n'y aurait pas de raisons pour qu'il réagisse mal à des sentiments nouveaux tels que l'amour ou l'amitié sincère. Il faut dire, cependant, que Saltimbanque se laisse facilement submerger par ses sentiments. Cela, en aillant le don de faire ressortir le pire d'une situation pourtant fondamentalement bonne! Ainsi, avec lui, l'amour se teintera de jalousie, d'angoisse et de méfiance, mais comme le sentiment de base est agréable, il y demeurera accroché éperdument. Des sentiments négatifs tels que le regret ou la culpabilité seront, à l'inverse, refoulés dans la mesure du possible et enfermés loin dans un coin de sa tête, jusqu'à ce qu'ils soient trop démesurés pour qu'il continue de les y oublier.
..FACE A UNE PERTE / LA TRISTESSE : Saltimbanque est libre de toute attache matérielle : il n'accorde pas d'importance véritable aux objets, qu'il considère comme aisément remplaçables. Par contre, les gens auxquels il s'attache, de par leur rareté, lui sont très précieux, et s'il y a bien une situation qu'il ne pourrait définitivement pas gérer, ce serait la perte de quelqu'un à qui il tient. Confronté à pareille situation, il serait tout simplement, complètement déstabilisé, car il dépend affectivement de ces quelques personnes; ça fait cliché, mais ce serait comme perdre une partie de lui-même. Et encore, il préférerait perdre un membre plutôt qu'un ami ou un amant.



«L’Histoire n'est pas plus figée ni morte que l'avenir. Le passé est tout près ; il commence à la dernière respiration qu'on a prise. »



Histoire

Extrait de Journal Intime n.1 - 12 ans
    « Je n'en peux plus! Tous les jours, c'est la même chose, la même histoire qui se répète : je me réveille en me promettant de passer une journée tranquille, pour une fois, et comme toujours, maman m'attend au détours, prête à m'imposer une nouvelle leçon. Quand ce n'est pas un jeu auquel je dois absolument savoir jouer ou un instrument que je ne peux pas me permettre de ne pas maîtriser à la perfection, alors c'est un autre chapitre de l'histoire de la famille que je dois retenir par cœur! Je crois que s'il serait possible de savoir combien de poils au menton avait le premier des Mothllek, elle exigerait que je m'en souvienne en tout temps; mais à quoi est-ce que ça peut bien servir?! Elle me dit que je dois être à jour en tout ce qui a trait à mes ancêtres et à mes proches si je veux un jour pouvoir me tailler une place de choix au sein de l'affaire familiale. Quand est-ce qu'elle va comprendre que ça ne m'intéresse pas?! Je dirais même plus : je n'en ai rien à faire! Ces gens-la, ma famille, je les vois quelques fois par année uniquement, et ils me traitent tous comme si j'avais encore six ans! Ce, quand ils font mine de me remarquer, bien évidemment! Je ne comprends pas, je ne veux pas de leur considération, ni de leur respect : leurs magouilles ne m'intéressent pas, je les vois peu, mais chaque fois que je les vois, ils ont l'air triste, ternes et froids. Maman dit que c'est la fatigue : les hommes passionnés font passer la passion avant le sommeil. Moi, ce que j'en sais, c'est qu'un homme passionné ne devrait pas ressembler à un cadavre. Et bien, si c'est ça, la passion, alors je vivrai sans : cependant je n'y crois pas, je crois qu'au contraire, la passion donne de la vie, de la couleur, du goût à tous ce qu'appellent nos sens! mais on me dit que je vis dans un rêve et qu'il va falloir me réveiller tôt ou tard.
    C'est hors de question. Jamais. Même elle, elle ne m'y forcera pas! »


Extrait de Journal Intime n.2 - 12 ans
    « Maman est vraiment en colère : tant mieux, moi aussi.
    Elle m'avait bien prévenu que nous aurions de la visite, aujourd'hui, et moi je l'ai prévenue que je n'avais pas l'intention de me joindre à eux. Malgré tout, elle devait s'attendre à ce que je les rejoigne à table, propre et bien peigné, à l'heure convenue, car elle m'a pratiquement arraché les yeux quand je suis revenu de ma promenade dans Gernie. En plus, la visite était encore là: au final, elle craignait que je fasse une folle d'elle, mais c'est elle qui a fait une scène devant tout le monde!  Enfin, disons qui ni l'un, ni l'autre, nous n'avons su nous tenir. Elle m'a traité d'ingrat, je lui ai répété que je ne voulais rien de ce qu'elle m'offrait, que je voulais juste qu'on me laisse vivre tranquillement. Elle a répété son petit discours habituel : on ne vit pas de liberté, on crève-de-faim-de-liberté, plutôt, et bla, bla, bla. Alors, je lui ai dit que je comprenais pourquoi mon père était partit, avec une femme comme elle, et pour la peine, tout le monde a eu l'air perplexe. Le silence est retombé, on nous lançait des regards graves. Je n'ai pas trop compris pourquoi, d'ailleurs. L'un de mes oncles m'a demandé ce que je savais sur mon père : qu'est-ce que j'aurais pu lui répondre? Je ne sais absolument rien, sinon qu'il n'est pas là, qu'il ne l'a jamais été! On ne veut rien me dire à son sujet, j'ignore jusqu'à son nom. »


Extrait de Journal Intime n.3 - 12 ans
    « Je ne crois pas à ma chance! Je vais quitter la maison! Suite à l'incident de l'autre jour, mes oncles et les autres Mothllek sont parvenus à faire entendre raison à ma mère : fini la gestion de commerce, pour moi! Et il y a mieux : on m'a trouvé une place sur un navire, pour que j'y fasse mon apprentissage: il parait que j'irai même dans le Grand Vent avec l'équipage! Des mois loin de la maison, ça ne me fera pas de mal, au contraire. Je vais enfin pouvoir voyager, visiter, explorer sans qu'on me reprenne sans cesse! Je regrette un peu, à présent. Ces gens, je les ai mal jugés, visiblement.. »


Extrait de Journal Intime n.4 - 13 ans
    « Comment est-ce possible d'être aussi idiot?! Ces sois-disant marins, ces imbéciles, ces rats de fond de cale teigneux m'ont oublié à quai, comme un vulgaire mousse paresseux! Je ne suis pas une vermine, pourtant! Je suis leur précieux passager, si il y a bien quelqu'un qu'ils ne devaient pas oublier à Terre, c'est bien moi! Et à Sant Poseinos, en plus. C'était notre dernière escale avant d'entamer le voyage de retour!
    Ah, mais comme je paierais cher pour voir leur tête lorsqu'ils s'apercevront de mon absence. Ce sera le chaos, afin de faire demi-tour, pour revenir me chercher au plus vite! Et quand ils reviendront, je les attendrai de pied ferme, ici-même, sur les quais, et je m'assurerai que cette histoire parvienne aux oreilles de ma famille. Ils vont le regretter, ça, c'est certain! »


Extrait de Journal Intime n.5 - 13 ans
    « Une idée m'est venue, alors que j'attendais le retour de mon navire. Lorsqu'ils viendraient me récupérer, nous reprendrions la route pour Gernie. Nous y serions dans quelques mois à peine : et alors, qu'allait-il m'arriver, une fois revenu? Fort probablement, j'allais devoir reprendre mon éducation, recommencer à subir les remontrances, les stupides règlements inutiles de ma mère. Envolée, ma liberté : on ne me l'aurait donnée pendant plus d'un an que pour pouvoir entièrement me l'enlever plus tard, sous prétexte que j'avais eu mon temps, pas vrai?! Et bien, non! Ça ne se passerait pas comme ça.
    En fin de compte, je réalise que la bêtise de l'équipage qui m'a laissé ici est un cadeau des cieux : c'est le temps nécessaire qu'il me faudra pour disparaître dans la nature, et quand ils reviendront enfin, je me serai envolé. Tant pis pour eux, ils ont eu leur chance, et le sermon sera bien mérité! C'est à mon tour de jouer, maintenant! »



Extrait de Journal Intime n.6 - 14 ans
    « Je n'arrive pas à croire ma chance! Ces chiens galeux n'ont même pas eu le courage de revenir me chercher : ils ont envoyé un autre navire à ma rencontre, plutôt! Qu'ils pleurent de leur bêtise, j'ai heureusement été plus vif d'esprit qu'eux : lorsque ce capitaine s'est présenté à moi en m'abordant par mon prénom, j'ai feint l'incompréhension. Je lui ai dit que je n'étais pas celui qu'il cherchait : il m'a alors dit qu'il était à la recherche d'un jeune marin qui correspondait exactement à ma description. '' Pourquoi, vous voulez compléter votre équipage? Si c'est le cas, je suis volontaire! '', je lui ai dit. Il s'est esclaffé, m'a rétorqué que j'étais un drôle de saltimbanque, et a entreprit de m'expliquer la situation : qu'on l'avait chargé de ramener un jeune homme correspondant à ma description à son navire d'origine. J'ai joué le jeu de celui qui ne savait rien, et j'ai répété mon offre. Et alors, diable, il a accepté! Je peine encore à croire que je sois arrivé à le berner aussi facilement, j'en suis embarrassé pour lui! Juste avant notre départ en navire, il m'a demandé quel était mon nom. '' Vous l'avez dit vous-même, Monsieur. Je suis Saltimbanque! '', je lui ai répondu. »


Extrait de Journal Intime n.7 - 14 ans
    « Le second navire dans lequel j'ai voyagé était hautement plus dégoûtant que le premier : les hommes y avaient une mauvaise hygiène, la cale sentait la sueur et la moisissure à plein nez. Et puis, qu'ils étaient grossiers! Le séjour à bord fut pénible, et c'est pourquoi, aussitôt arrivé à Vanylle, j'ai décidé de leur fausser compagnie! Ils ne m'ont pas cherché bien longtemps avant de reprendre la route, et j'en étais fort aise : dès qu'ils eurent quitté le quai, je me suis empressé empressé d'utiliser mon maigre salaire de matelots pour trouver une source de revenu qui me conviendrait. Le choix ne fut pas difficile : s'il y a bien un apprentissage qui n'a pas été un fardeau au courant de mes plus jeunes années, c'est bien la musique!
    Mettre la main sur un luth bon marché ne fut même pas un défi : le soir-même, j'étais en possession de mon tout premier instrument, et dès le lendemain matin, je débutais ma nouvelle vie et tant que musicien itinérant à Vanylle. Et quelle ville agréable! Ici, les gens se saluent ou s'ignorent, non pas selon le titre d'un tel ou de tel autre, mais bien parce qu'ils apprécient – ou non – les têtes qu'ils croisent! La franchise est une vertu rafraîchissante, et la ville pirate en est infiniment riche! Ici, il fait bon vivre : lorsqu'on ne me paie pas suffisamment pour que je parvienne à mettre un toit sur ma tête, il me suffit d'aller animer la soirée dans une auberge de quartier, pour qu'on m'offre repas et logis. La vie semble si simple, à présent! Je n'ai qu'un seul regret; c'est d'avoir ainsi fait faux-bond à ma mère. Je lui ai écrit une lettre, il y a de cela un moment, mais je n'ai jamais eu de réponse. Est-ce parce qu'elle est trop en colère? L'a-t-elle simplement reçue? Une partie de moi redoute qu'elle soit demeurée dans l'ignorance, et qu'elle cherche encore à savoir ce qui m'est arrivé.. il est hors de question que je retourne là-bas pour en voir le cœur net, cela dit.. »





Où as-tu trouvé le forum ? J'en ai entendu plus d'une fois, entre autre sur SOS-RPG où il semble assez populaire, mais je manquais de temps pour m'y inscrire. Ma situation a changé à présent!
Première impression : J'ai d'abord été intimidée par la quantité à première vue phénoménale d'information à assimiler! Le guide pour les nouveaux a beaucoup aidé à mettre de l'ordre dans tout cela, cependant, mais une chance qu'il était là!
Robin Hobb ça te parle ? Je viens d'achever Les aventuriers de la mer, et je suis en deuil! J'ai aussi lu L'Assassin royal l'an passé, et j'attends d'avoir les sous pour acheter Les cités des anciens.
Tes autres pseudos habituels : Jo, tout simplement. ~


On m'appelle Skip la Plume


Infos Personnage
RANG: (joueurs que votre personnage à renconter en RP)
VILLE & APPARTENANCE : Vanylle, pirate solitaire babe ! (... non je rigole. Jeune cartographe cherche désespérément équipage)
MON AGE : 14 balais, m'sieur !
MESSAGES : 561
INSCRIT LE : 07/10/2011
http://www.ile-joyaux.com/t1917-journal-d-un-futur-pirate-petit-mais-puissant http://www.ile-joyaux.com/t266-skippy-le-kangourou-o
Posté dans Re: « Elle est plutôt cruelle, ma maladie mortelle »   - Jeu 22 Nov 2012 - 14:15

Les Mothllek c'est la mafia Cool
Blague à part, j'aime beaucoup la fin de ta fiche, et plus généralement, le point de vue de Saltimbanque (MOIJESAISSONNOOOOM*SBAF*) sur son histoire. :3 Je t'envoie un mp dès que je l'ai ajouté à la description de la famille, ou tu préfères m'envoyer d'abord celle de la maman ?
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: « Elle est plutôt cruelle, ma maladie mortelle »   - Jeu 22 Nov 2012 - 14:46

Ça dépend de toi, si tu veux faire la description de la mère, ça ne me dérange pas: ça ne me dérange pas non plus de l'écrire, évidemment! C: Fait comme ça t'arrange, vraiment! ^^
Zoey Dälganith
Déserteur

On m'appelle Zoey Dälganith


Infos Personnage
RANG: Thorstein
VILLE & APPARTENANCE : Les Murmures de la Sylve
MON AGE : 22 ans
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MESSAGES : 588
AGE : 34
INSCRIT LE : 13/07/2012
PSEUDO HABITUEL : Nano.
Joyaux : 143
http://www.ile-joyaux.com/t864-zoey-dalganith-deserteuse
Posté dans Re: « Elle est plutôt cruelle, ma maladie mortelle »   - Jeu 22 Nov 2012 - 15:07

Okay ! c'est tout bon alors, ja valide ^^

Bon RP o/

On m'appelle Contenu sponsorisé

Posté dans Re: « Elle est plutôt cruelle, ma maladie mortelle »   -

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