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La Prison de la Brume ? Même pas peur ...

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans La Prison de la Brume ? Même pas peur ...   - Mar 21 Mai 2013 - 10:33


Je suis Liliana Dobois
« Pas un jour ne passe sans que je pense à vous...»



SURNOM :Mais depuis maintenant Depuis maintenant neuf ans, l'on me nomme Miss Tral.
AGE: J'ai Vingt-deux ans depuis que Kinos est passé.
VILLE : Je suis originaire de Gernie.
LANGUE(S) :Je sais parler et écrire le matroscien ainsi que parler le joyellien.

"Dès que le vent soufflera, je repartira." ♪


GROUPE : Hors la loi.
MÉTIER : On me donne injustement comme métier, celui de voleuse. Encore faut-il voir en cette activité un réel métier.
ORIGINE : Lors de ma naissance, je figurais parmi les bourgeois de Gernie.
FAMILLE PROCHE : Je n'ai plus ni père, ni mère. Lorsqu'on est Hors-la-loi, une famille n'est pas permise. En vérité, les parents de la demoiselle sont bien vivant, elle possède du côté de sa mère deux oncles dont l’un d’eux serait Zayn Aylin.



PhysiqueCaractère

TAILLE : D'après la description que l'on a fait de moi à la Milice, je mesurerais dans les un mètre soixante-sept.
POIDS : Je pèserais dans les cinquante à soixante kilos.
COULEUR DES YEUX : J'aurais des yeux verts et ensorcelants dans lesquels ont pourrait apercevoir la haine du démon qui m'habite.
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Mes cheveux seraient longs et roux.
PIGMENTATION DE LA PEAU : Ils sont tous du même avis dessus, j'aurais donc la peau blanche.
SIGNE PARTICULIER : Personne ne parle de mes tâches de rousseurs ou bien encore de la brûlure que j'ai sur l'épaule droite qui par moment me fait souffrir.
PILOSITÉ : Fort heureusement, personne n'a pu parler de cela et je ne compte pas vous en dire d'avantage sur le sujet. Une prochaine fois, peut être.
VESTIMENTAIRES : Tenue de camouflage bien entendu. C'est donc des vêtements en cuir et en tissus vert ou brun, près du corps. J'ai aussi une vieille écharpe qui a pas mal voyagé tout comme ma cape que je conserve depuis mes dix-sept ans.

DÉFAUTS : Je serais têtue, impulsive, rustre et méfiante.
QUALITÉS : Je serais fidèle, courageuse, rusée et agile.
AMBITIONS : Un jour, les bourgeois auront les même privilèges que les marchands et ainsi les rangs n'existeront plus. Tous ne formeront qu'un seul peuple et éliront ensemble leur représentant.

PRÉFÉRENCES :
ALIMENTAIRES : Très souvent je dois me nourrir avec ce que je trouve dans la nature, ça va des petits animaux ou plantes sauvages ou cultivées. Lorsque je suis de passage dans une ville, j'en profite pour faire les poches de nos bons amis marchands pour remplir mon ventre au sein d'une auberge.
LOISIRS : J'aime particulièrement chasser et jouer de mon arc, mais j'apprécie tout aussi les bonnes fêtes dans lesquelles je me glisse de temps à autre.
RELATIONNELLES : Bien que je sois méfiante, cela ne m'empêche en rien de pouvoir parler avec n'importe qui sur n'importe quoi. Étant ouverte d'esprit et franche, j'ai pour habitude de ne pas tourner autour du pot. Du coup, je manque assez souvent de tact, mais bon, on ne peut pas dire non plus que j'ai la chance de pouvoir avoir des relations durables. Mon statut ne me le permet guère.

Comportement
...FACE A UN DANGER : Je garde mon calme, j'analyse et je fonce, adviendra ce qu'il doit advenir.
..FACE A UNE NÉGOCIATION : Je ne bouge pas et ne lâche pas temps que je n'ai pas ce que je veux au prix le plus juste.
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : Je reste sur mes gardes... Après tout ma tête est mise à prix...
..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : Mon devoir d'abord, je n'ai pas le temps pour ça, cela m'éloigne de mon but premier. Si j'y songe, cela risque d'être compliquer...
..FACE A UNE PERTE / LA TRISTESSE : Des pleures, des cris, de la haine, du pardon et hop, on avance... La vie continue et le temps manque déjà assez à ma vie.



«Dès que les vents tourneront, nous nous en allerons!» ♫



Histoire
Avant de vous conter mon histoire, laissez-moi-vous présenter les acteurs originaux de celle-ci. C’est à Midel-Heim qu’une petite famille de bourgeois pointe son nez et s’installe dans le commerce en vendant des produits locaux. Verdin Dobois était un jeune homme pas très intelligent et mauvais en comptes, mais il était un homme inventif et fut le premier à faire le commerce de la merroiry sous une forme qu’on ne connaissait pas encore. C’est en allant exposer sa découverte à Sant Poséïnos qu’il rencontrait un beau matin la jeune fille d’Aylin. Elle était d’Errande et passait seulement quelques jours à la capitale, mais se fut suffisant pour le jeune Verdin pour lui donner envie de voyager et de lui faire la cour. C’est ainsi que de fil en aiguille la belle aux yeux verts et le rouquin de Midel-Heim firent connaissance et décidèrent de se marier et d’aller vivre à Gernie pour faire fleurir le commerce de merroirys séchées.

Ils étaient de modeste bourgeois qui avaient eu la chance de trouver un lopin de terre pour presque rien. Vint bien vite en même temps que les affaires, la naissance de leur premier enfant, Liliana. Une vieille rumeur de sage femme raconte qu’à la naissance deux petites filles avaient vu le jour. On ne saura jamais si cela était véritablement le cas, si l’un des nourrissons avait été emporté par on ne sait quel mal, le résultat étant qu’on ne connu qu’à ce jour Liliana Dobois. C’était une enfant paisible. Elle avait le sommeil si lourd qu’il suffisait de la coucher dans son berceau pour qu’elle s’endorme aussitôt jusqu’au lendemain. Sa mère avait toujours peur qu’elle n’ouvre jamais plus les yeux, tellement elle semblait angélique dans son petit couffin. L’enfant méritait alors son prénom, le nom d’une fleur qui pousse à même l’eau. Aussi, comme si son destin s’était déjà mit en route, la jeune enfant avait comme conte favori celui d’une jeune fille et d’un Roi batraciens. Ses parents auraient ils pu imaginer un seul instant que lui donner ce prénom aurait pu influencer son avenir ? Chassée jours et nuits par des hommes de loi. Certainement pas, la fin de l’histoire étant encore bien loin, il reste à espérer qu’elle ne finira pas sa vie comme celle de la Dame du Lac.

La belle enfant grandie sans mal et poussa comme poussent les Lilianas hors de l’eau. Elle aimait sa famille, elle aimait ses amis et c’est probablement pour eux qu’elle aurait du se taire au seuil de son dix-septième anniversaire. Elle vivait jusque là une vie des plus simple et profitait de sa jeunesse en sortant et en s’amusant, prévoyant de manière lointaine un éventuel mariage, mais c’est justement à cause de cet éventuel mariage que tout se mit à basculer. La gracieuse n’était pas amoureuse d’un bourgeois, d’un citoyen ou bien encore d’un milicien, non elle s’était éprise d’un jeune marchand bel homme et brillant. Ses amis l’avaient mise en garde, sa famille lui avait déconseillé de le revoir, pourtant la douce courrait naïve dans la gueule du loup. Charmeur, le bel oiseau s’était joué d’elle et n’avait prit aucun gant pour lui annoncer qu’il allait se marier sous peu avec une fille de sa condition. L’amour tombe sur les personnes en se moquant bien de la condition de chacun et lorsque l’on tombe de l’amour, cela fait encore bien plus mal que lorsque notre postérieur loupe notre siège. Devant lui, elle qui s’était mise à nue sous plusieurs formes se sentit plus catin qu’autre chose. Honteuse et blessée que son bel amour s’envole avec une autre, elle préféra s’enfuir loin des yeux de tous.

A partir de ce jour, elle se posa bon nombre de question sur les relations marchandes et bourgeoises, c’est de cette façon qu’elle eut un nouveau regard sur le monde et quittait alors son royaume enchanté contre un monde où le sang des marchands ne se mélangeait pas à ceux des bourgeois. Ils n’étaient pourtant pas si différents, alors pourquoi leur fierté et leur égocentrisme étaient ils si fort ? Par la suite, la jeune fille se découvrit une impulsivité presque sauvageonne et devint très vite l’une des têtes que l’on garde en mémoire lors des manifestations et des réunions pour faire changer les choses. Elle soutenait ardument les sujets qui fâchent la classe marchande au profit des bourgeois et des citoyens qui cherchaient à se grandir pour sortir de leur petite vie. Elle était encore sage à cette époque, mais l’accumulation ne fit que grandir ses ambitions et les simples mots se transformèrent bien vite en geste. S’incrustant aux affaires marchandes, créant l’agitation dans les villes, elle fut attrapée et se laissait conduire à son jugement sans résistance. La population pu alors découvrir non plus une enfant, mais une femme qui avait foi en ses idées et avait de lourds arguments. Pour faire cesser l’agitation naissante, il fut décidait qu’elle passa quelques années à l’ombre. Généralement, lorsque le temps n’est pas donné, on peu alors s’attendre à ce qu’on vous oublie dans votre trou…

Le Tral est un vent qui souffle pendant les mois d’hivers. Des histoires terrifiantes disent qu’il vient de la Prison de la Brume et souffle sur Vuulte et Errande avant de disparaitre contre le Cap de Vanylle. On dit que ce vent froid empeste la mort et emmène les âmes et les messages des bandits qui demandent asile. Lorsque le Tral souffle dans la prison, il semblerait que l’on entende alors le bruit des chaînes que les prisonniers trainent sur le sol de pierres noires et polis par les ans. Il est dit aussi que l’on entend les râles et les hurlements de ceux qui se disaient innocents et qui n’en pouvait plus de vivre dans l’ombre au sein de cette tour noire. Là-bas, l’espoir vous quitte dès que vos pieds foulent le pont avant que vous ne puissiez rendre votre dernier soupir.

Incarcérée pour un temps indéterminé, elle se mit à regretter ses gestes et à se demander si elle avait bien fait. C’était un moment de doute où elle eut bien du mal à vivre pendant les deux premières années. Elle avait encore la visite de sa famille, mais cela ne dépassait pas les une fois par an pendant trois années. Après cela, elle demandait à ses parents de ne plus venir la voir et de renoncer à elle. L’espoir l’avait quitté, elle ne sortirait plus jamais d’entre ces murs noirs. La prisonnière du vivre encore deux à trois années là-bas jusqu’à ce qu’un beau matin on lui dise qu’elle allait sortir. Le Gouverneur venait de mourir et son jeune frère, qui avait prit sa place, avait eu une pensée pour elle. Enfin, plutôt que quelqu’un avait du lui suggérer de libérer les prisonniers oubliés afin de faire de la place dans la prison. A sa sortie, beaucoup aurait réintégré la société, même avec un peu de mal, pour reprendre une vie plus saine. Mais Liliana était éprise d’un nouveau poison, celui de la vengeance, de la haine, de l’injustice lorsqu’elle découvrit que la situation entre les marchands et les bourgeois n’avaient pas tant bougée que cela.

A cela vint s’ajouter l’âge du Gouverneur qu’elle trouvait précoce pour gouverner alors que la sœur de celui-ci était en âge de le faire. Matroos avait déjà eu une femme à sa tête, alors pourquoi le schéma ne s’était il pas répété de nouveau ? A peine sortie du trou que doucement Liliana par ses contacts et par ses actions se retrouvait de nouveau chassée par la milice pour des cas de vols, d’agitations de la population ou bien encore pour des agressions. Elle n’avait pas encore était accusée de meurtre, jusqu’à ce fameux soir de pluie où un marchand répondant au nom de Bel Loizo vint à mourir d’une flèche en plein cœur à Errande. Bel Loizo était le premier amour de la douce enfant sage du passé. Sa mort en fit frémir plus d’un, du moins, de ceux qui connaissait l’histoire qu’avaient eu les deux jeunes âmes avant. Par la suite, d’autres marchands suivirent et la signature était toujours la même, une flèche dont la fin était entouré d’une Liliana. Imposture ou réalité ? Le mystère reste encore à être éclairci.

Ce que l’histoire ne raconte pas, c’est que la belle gagna son surnom Miss Tral après son séjour dans la Prison de la Brume. Ses flèches et ses déplacements provoquerait dans l’ombre des courants d’air si froid qu’ils donneraient l’impression que le Tral passe en vous. Ce qui n’est aussi pas raconter, c’est la manière dont la jeune femme fut brûlée au fer à l’épaule droite par un marchand parce qu’elle lui avait tenue tête. Elle porte encore les armories de cette famille sur la peau, marquée au fer rouge comme une bête leur appartenant. Par moment, la blessure la fait encore souffrir et lui donne des petits picotements et une sensation de chaud qui la tiraillent. A l’heure d’aujourd’hui, on ne sait exactement où se trouve Miss Tral, elle se serait évanouit depuis l’annonce de la découverte de l’île Blanche. Néanmoins, quelques rumeurs racontent qu’elle chercherait à faire s’unirent quelques hors-la-loi pour l’aider à défendre sa cause. Réalité ou simple espoir des rangs bourgeois et citoyens qui cherchent un pied d’égalité ? Un autre mystère qui reste à éclaircir.




Tes autres pseudos habituels : Dothy.


Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: La Prison de la Brume ? Même pas peur ...   - Mar 21 Mai 2013 - 11:46

Re-Bienvenue ma chère nièce.
Tu as très beau minois !
Agazhar Börl
Oracle

On m'appelle Agazhar Börl


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VILLE & APPARTENANCE : Un coin paumé des Erfeydes
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AGE : 34
INSCRIT LE : 18/03/2011
PSEUDO HABITUEL : Nano.
Joyaux : 51
http://www.ile-joyaux.com/t34-noreshia-saule-fille-de-marchand
Posté dans Re: La Prison de la Brume ? Même pas peur ...   - Mer 22 Mai 2013 - 6:26

Je redis pas bienvenue xD ce serait la dixième quand même 8D

Rien à redire à cette fiche, personne fort intéressant je suis curieuse de voir ce que va donner une rébellion du bas peuple **

Je valide, bon RP !
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: La Prison de la Brume ? Même pas peur ...   - Mer 22 Mai 2013 - 7:06

Chut chut chut dis pas les chiffres @.@


Merci madame o/
Azaëlle
Chamane

On m'appelle Azaëlle


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RANG: FONDATRICE - Celle qui Dépossède
VILLE & APPARTENANCE : Arish / Chamane
MON AGE : 17 ans
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AGE : 32
INSCRIT LE : 27/01/2011
PSEUDO HABITUEL : Saya
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http://www.ile-joyaux.com/t539-azaelle-celle-qui-depossede http://www.ile-joyaux.com/t33-azaelle-celle-qui-depossede
Posté dans Re: La Prison de la Brume ? Même pas peur ...   - Mer 5 Juin 2013 - 5:45

Miss Tral.. miss tick xD
Re bienvenue !

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Posté dans Re: La Prison de la Brume ? Même pas peur ...   -

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