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Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   - Dim 14 Juil 2013 - 7:53


Je suis Iule Luzma
« Sourire est la meilleure façon de montrer les dents au destin. »



SURNOM :Iule au sourire niais
AGE:27ans
VILLE :Vanylle
LANGUE(S) :Korrulien(paternelle), joyellien(maternelle) et un leger vanylien avec un mauvais accent

Ce n'est pas le travail qui fait qu'on est fier ou pas ; c'est la façon de le faire.


RANG & MÉTIER : Cannonier
NAVIRE : Le Pourfendeur des Vents
ÉQUIPAGE :  Charlie, ZaelHïo Nitherius, Jaasau le Baron-Noir, Zechariah Kurljones, Toma La Teigne
FAMILLE PROCHE : Son Butineur.



PhysiqueCaractère

TAILLE : 1m82
POIDS : 92kg
COULEUR DES YEUX : Vert
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Brun court
PIGMENTATION DE LA PEAU : Blanche, ni trop pale ni trop bronzé de base, mais les journées a bord lui on forger une peau d'ébène
SIGNE PARTICULIER : Tatouage
PILOSITÉ : Normal, Iule voit le rasage (autre que le visage) comme une perte de temps... Et il lui arrive souvent d'avoir la barbe des 3jours.
VESTIMENTAIRES : Un style simple, plus efficace au combat qu'à la vie courante, mais adaptés au deux. Souvent une petite chemise de lin avec une veste de cuir lacer de fine corde résistante, de petite épaulette dans le même style sur les épaules et par dessus un pantalon en tissu léger un pagne de couleur variante. Sa tenue quotidienne se termine par des bottes de cuirs résistantes a la semelle confortable.

DÉFAUTS : Lunatique, Paresseux, Peureux, Utopiste
QUALITÉS : Jovial, Empathique, Comique
AMBITIONS : L'utopie, la paix complète, l'acceptation, ce genre de connerie pour un pirate. Accessoirement, libéré sa mère.

PRÉFÉRENCES :
ALIMENTAIRES : Le sucré comme le salé, il déteste juste les légumes verts...
LOISIRS : Le tir (à l'arc, à feu.), l’apprentissage des langues, des sciences, des arts.
RELATIONNELLES : Personne peu sérieuse, enjouer, un minimum intellectuel.

Comportement
...FACE A UN DANGER : La fuite puis la réflexion
..FACE A UN ABORDAGE : Réflexion puis fourberie
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : Enthousiaste
..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : Curieux
..FACE A UNE PERTE / LA TRISTESSE : Se cache derrière un sourire



«L’Histoire n'est pas plus figée ni morte que l'avenir. Le passé est tout près ; il commence à la dernière respiration qu'on a prise. »



Histoire
Tout commence un beau jours de l'année 1086, en début d'hiver. C'était la première fois que je me rendais au passage ardent. 26ans de vie tout de même, et pas une seul fois je n'ai pu assisté à ces festivités. Mais cet époque est derrière, m'y voilà désormais, j'y suis. Je regarde par la fenêtre de ma chambre. L'auberge est bien placé. On peut observer une magnifique petite place ou c'est formé un marché aux denrées métissées les unes aux autres. C'était beau a voir, les épices, les tissus, le bois, la pierre, tout ça réunie autour d'une unique petit place. Les gens commençais à ranger. C'était l'heure du premier bal, la première soirée. Alors, tout comme le soleil derrière les montagnes, les marchandises se cachent. A l'aide des bras des marchants, fortement sculpté à force de porté des caisse, que de bel homme musclé en un si petit endroit... Un d'eux n’échappe pas à mon attention. Il a le crane rasé, de magnifique yeux doré pétillant sur une peau matte, elle même recouvrant un corps taillé caché par de beau habit de tissu. Nos regards ce croisent et il m'accorde un sourire. Je le lui rend, c'est un korrulien... Aucun doute.
Le soir venu, je me regarde dans le miroir. Je tourne, fait voler la soi. Papa a du dépenser une fortune pour cette robe, mais elle est vraiment belle. Je me coiffe et me sent prête. Je sors enfin, fêter la bonne entente. Il y a déjà de la musique, déjà des robes qui volent, des couples qui s'embrassent, se forment, ça joue, ça court, ça danse, ça me fait rêver. Je me lance, je m’élance même, dans la foule. Très vite je trouve un homme seul, je danse avec lui, je change, je passe de bras musclés a des bras frêles, parfois matte, parfois pâle, parfois poilus, parfois lisse, tatoué, ou non, ho une femme, je m'amuse un peu et repart vers la gente masculine. Soudain, encore aveuglé par mon sourire si important que je dois en fermer les yeux. Mon cœur sursaute. Un homme me prend dans ses bras, sa peau est douce. Je rouvre les yeux. La peau est de bronze, tatoué... Un korrulien. Je lève les yeux. Le korrulien de tout à l'heure. Il me sourit, et je lui répond. Je ne bouge plus, ne change plus de partenaire, je ne sais pas, je me sens bien avec lui. Peut être parce que je le connais déjà un peu ? Il me parle soudain en joyellien.
"Puis-je savoir si ce sourire à un jolie nom ?"
Je rougi, baisse les yeux. Qu'essaye-t-il de faire ? Je suis Matroscienne après tout. Mais bon... Qu'ai-je a perdre en répondant.
"Lisa."
Il me montre toutes ses dents. Mais ça va, d'une manière charmante. Aussi charmante que lui...
Plus tard dans la soirée, je me retrouve avec lui, dans cette même chambre ou j'ai mis cette robe, c'est lui qui me l'enlève. M'embrassant, m'aimant. Du moins je crois, j'espère. Même si je n'y pense pas, c'est dans ce genre de moment que l'expression Carpe diem prend son sens, c'est dans ce genre de moment qu'on oublie passer, futur, finalement on oublie même le présent, le reste du présent, il n'y a plus que nous, nous, l'amour et... l'acte.

"Bonjours petit ange"
9 mois plus tard, j'étais né, je voyais enfin le jours. Loin de la ville, loin de tout. J'étais dans les bras de ma mère, pour la première fois. Mon père seche ses larmes de joies. Mon père oui, il est resté, c'était bien de l'amour. Un amour assez fort pour tout abandonné. Une union Matro-Korrulienne, vous imaginez ? Je suis un sang mêler, personne ne veut plus de nous, si ce n'est d'autre sang mêler. Mon père a alors décidé de partir, en enlevant ma mère, ils quittèrent le reste du monde pour se cacher dans les plaines de Gerni. Là, mon père construit une petite maison ou l'on pouvait vivre. Et il contribua à notre existence, la chasse, la culture, on avait plus besoin d'argent. On avait notre vie, à l’écart du monde, à l'écart de tout. Ce qui explique peut être ma curiosité aujourd'hui. La vie était agréable pour le moment. J'ai vécu à la campagne, dans de grand espace, mais peut être un peu seul...

Mes parents me parlait en Joyellien. Mais mon père m'apprenais aussi le korrulien, pour qu'on ai des sois disant secret entre homme à pouvoir ce raconter sans risque. Petit je mélangeais les deux langues, il y avait trop de ressemblance...
"On... Va... A la... Chasse."
Oui... C'était dure, vraiment dure. Mais par contre c'est vrai, on allait à la chasse ensemble avec mon père. J'ai appris a tiré à l'arc comme ça. Maintenant je trouve ça simple, mais toujours aussi drôle.
Je me souvient d'une fois, cette fois la particulièrement. Pourquoi ? C'est le dernier jours ou j'ai vu ma mère. Je sais, c'est classique. Le héros perdant ses parents, bla bla bla. Mais qui a parler de héros déjà ? On était partit à la chasse avec mon père...

Sur le chemin du retour, je levais la tête, le ciel est bleu. Très bleu. Je ne voyait aucun nuage. Mais les feuilles des arbres les remplaces pour faire de l'ombre. C'est un peu des nuages en plus verts les feuillages. Je portais à mon habitude ce sourire niais que mes parents m'avait offert. Je ne voyais pas le mal, je ne le connaissais pas, je ne savais pas qu'on nous détestais. Je pensais que mes parents avaient fuis la ville par choix, pas par sécurité. Je suivais mon père, il portait plusieurs proies sur son épaule, on mangera bien ce soir. Je l'observais, grand, beau, fort. Je voulais lui ressembler. Mais au final j'avais plus une tête de Matroscien. Les racines parcourais le sol de la petit forêt, une espèce d’exception, un ama d'arbre au milieu de la plaine. On arrivait bientôt à l'orée du bois. Mon père s’arrêta et écarquilla les yeux. Il prit mon bras et me tira derrière un buisson. Je le sentait tremblé. Après quelque minute qui me semblait des heures, à l'observer ce décomposer, devenir plus pâle que je ne l'étais, fort pour un Korrulien, Il fondit en l'arme. C'était une grande image de force de mon père qui se brisa. Mais je m'en fichais, je ne me demandais qu'une chose. Pourquoi ? Un petit moment après, on sortit du buisson. J'observais au loin la maison. Maman n'étais pas à l’extérieur à coudre. Étrange, peut être se reposait-elle a l’intérieur ! Je couru dans l'herbe verte, verte sale, rouge. Rouge ? Des taches, du sang. Un tout petit peut. Comme si quelqu'un c'était blesser. La porte est ouverte. Maman n'est pas là. Maman n'est plus là. Papa passe autour de mon coup une chaine. Un pendentif ovale. Et lorsqu'on l'ouvre, on y voit une petite peinture de maman, très réaliste. Je me met aussi a pleurer. Pourquoi ?

J'ai appris que le monde nous détestais. Que nous n'étions pas les bien venu. Nul part. Que mes parents avaient commit un crime. Et que j'étais ce crime. Mais qu'ils ne regrettaient rien et qu'ils m'aimaient. A ce jours je n'avais plus que mon père. Et tous les deux, l'on partit. On cherchait un autre refuge. Mon père désirait partir pour le col muertigo, mais comment passer la ceinture de feu ? Puis je ne voulais pas quitté Matroos. J'y étais né. On voyagea vers le sud, Puis vers l'ouest. On avait entendu parlé d'un refuge pour sang mêler. Une ville pirate... Je n'étais pas véritablement enchanté a l'idée de les rejoindre. Il devait être sale, idiot, violent. J'aurais aimer rejoindre la capital, me faire étudient, c'était un rêve. Mais je suis un sang mêler... Vanylle. On y était enfin. Je ne sais même plus combien de temps a duré ce voyage. Je sais juste que c'est a Vanylle que j'ai passer mon 16eme anniversaire. Mon père est alors devenu pirate. Il ramenait ce qui nous permettait de vivre. Et des livres. Il comprenait que j'étais déçu de ne pas pouvoir faire de grande étude et devenir un grand homme. Alors il me ramenait des livres, de quoi faire ma culture, mon éducation, il voulait m'offrir la chance d'être un meilleur homme que ceux qui trainaient dans les quartiers de Vanylle.

Je commençais à m’habituer à la vie Vanylliene. Pendant ce temps là, mon père s'en ennuyait. Il n'avait jamais voulu être un pirate, il ne le faisait que pour nous faire survivre, que par nécessité. Ce travaille l'usait. Malgré tout, on ne pouvait vivre sans ça, alors il continua. Un jours, revenant d'un voyage plus long que les autres. Il me ramena un petit animal, un oiseau. Un oiseau fort amical. Un butineur qui l'aurai suivit après qu'il lui ai donné à manger. Cet animal devint le notre. Un petit oiseau qui virevoltait au dessus de nos tête, de nos vie, comme un espoir. Celui qu'un jours nous aussi serions libre. Mon père me racontait toujours qu'un jours les Hommes seraient tous libres et égaux, que les guerres se finiraient, que l'Utopie n'est pas qu'un rêve. On a fini par baptiser le butineur Utopie, pour faire en sorte de ne jamais oublier qu'elle est réelle. Mon père ne supportait plus le travail de pirate, son corps non plus. Il tomba malade. C'est dans ces conditions que je perdis le deuxième membre de ma famille, mon dernier parent. J'ai longtemps pleurer, avec pour seul unique compagnie Utopie, qui me rappelait mes rêves, mon but.

Je fini par comprendre que le seul moyen de survivre dans ce monde est de sourire. La peine, la tristesse, la colère, l'ennuie. Elles sont toutes des dystopie, elles sont des graines de fatigue, de mort. Je me repris et n'afficha plus rien d'autre qu'un sourire sur mon visage. Du moins en publique. C'est dans un bar que j’entendis une rumeur. Une jeune femme, qui aurai enfanté un sang mêler dans les plaines de Gernie, dont le fils aurait réussie a s’échapper avec le père, était enfermé à la prison des brumes. J'en ai vite déduis qu'il s'agissait de ma mère. Je pris la nouvelle avec sourire. Elle était vivante. Mais je devais la retrouver. Et dans une ville tel que Vanylle, le meilleur moyen de voyager, de devenir plus fort, c'est de devenir pirate. Je me rendis au port. Tout sourire, tout niais. Je pensais que ce serai facile, je pense désormais que j'ai plutôt eu de la chance. Un vaisseau était à quai. C'était le pourfendeur des vents. A peine arrivé un homme m'apostropha en me posant une caisse dans les bras, m'ordonnant de la monter sur le bateau. Il semblait que l'idée que je ne sois pas de l'équipage ne lui ai pas traverser l’esprit. Je pu alors monté sur le bateau. J'ai vite déposé la caisse et cherché le capitaine. Pour demander une sorte d'entretien. Il n'y en eu pas besoin. Il me demanda si j'étais conscient des risques, et me prévint que ma vie lui importait peu, que je ne serai qu'un mousse. J'ai donc ainsi fait mes débuts en tant que pirate. Au fil des abordages, je m'habituais au arme à feu. Plus qu'au arme blanche. Surement était-ce du à mon amour pour l'arc, pour la chasse... Je devins assez vite un bon tireur. Un très bon tireur. Et pu comprendre aisément l'utilisation des cannons, et des autres mécaniques d'armement. Je devins par la suite le canonnier. J'étais en charge de l'entretiens, du commandement, et de tout ce qui pouvait avoir un rapport au canon !  C'était agréable, j'étais quelqu'un d'important, et pourtant pas trop. Mon visage toujours rayer d'un sourire et mes rêves utopiques d'enfant me gravèrent un surnom sur le bois de la pirateries : Iule au sourire niais. Devenu pirate, devenu voyageur. Je n'avais plus qu'à attendre, je savais qu'un jours je retrouverai ma mère, et qu'un jours mon père aurai raison, qu'utopie ne serai pas juste un oiseau.


Où as-tu trouvé le forum ? Partenaire ^^
Première impression : Le fow a l'air vraiment cool Very Happy
Robin Hobb ça te parle ? Nan >.>
Tes autres pseudos habituels : BountyS4

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   - Dim 14 Juil 2013 - 9:07

J'adore ton avatar et ta citation, c'est trop la classe *_*

Et surtout j'adore ça :
Citation :
FAMILLE PROCHE : Son Butineur.
Je suis trop contente qu'enfin ma bestiole soit exploitée :thelou: 

Bienvenu à bord de la grande famille de Ij Pirate \o/
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   - Dim 14 Juil 2013 - 10:24

Bienvenue à toi "piiirAte"! :hello: On s'est croisé sur la CB, si tu te souviens. De ce que je vois de ta fiche, elle est plutôt sympa. Courage pour la suite. Smile
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   - Mer 17 Juil 2013 - 11:08

C'est terminé ^^
Peottre Tiasgasthorn
Oracle

On m'appelle Peottre Tiasgasthorn


Infos Personnage
RANG: (joueurs que votre personnage à renconter en RP)
VILLE & APPARTENANCE : - Oracle
MON AGE : 32 ans
Féminin
MESSAGES : 154
AGE : 32
INSCRIT LE : 24/10/2012
PSEUDO HABITUEL : Saya
Joyaux : 1010
http://www.ile-joyaux.com/t1124-peottre-l-oracle-de-la-proprete-d
Posté dans Re: Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   - Mer 17 Juil 2013 - 12:22

Oh et bien ton histoire est vraiment pas mal, ça change pour un sang mêlé ! Par contre pour  Gernie, ouais autant dire que vous étiez vraiment bien cachés car bon c'est plutôt plat par là bas.
Sinon tout est bon ^^ je trouve le but de ton perso, de délivrer la mère est super sympa Smile

Je te valide !
Agazhar Börl
Oracle

On m'appelle Agazhar Börl


Infos Personnage
RANG: Fjölan, Kataleyah, Peottre
VILLE & APPARTENANCE : Un coin paumé des Erfeydes
MON AGE : 64 ans
Féminin
MESSAGES : 5290
AGE : 34
INSCRIT LE : 18/03/2011
PSEUDO HABITUEL : Nano.
Joyaux : 51
http://www.ile-joyaux.com/t34-noreshia-saule-fille-de-marchand
Posté dans Re: Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   - Lun 2 Sep 2013 - 7:57

Bienvenue sur IJ !!!!!!!!!

*dix ans à la bourre*
Ayé j'ai lu ta fiche ! J'aime beaucoup l'idée d'un pirate utopiste, c'est meugnon n_n mais il désespère pas x)

Bon RP o/

On m'appelle Contenu sponsorisé

Posté dans Re: Sourire comme un niais, sourire encore. [Fini]   -

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