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Magnus l'Insoumis

Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Magnus l'Insoumis   - Ven 20 Sep 2013 - 9:58


Magnus l'Insoumis
« Tobacco is my favourite vegetable. »



SURNOM : L'Insoumis
AGE: La trentaine bien passée.
VILLE : Vanylle
LANGUE(S) : Joyellien, parlé.


RANG & MÉTIER : Capitaine.
NAVIRE : La Nuée.
ÉQUIPAGE :  Riska, mais aussi l’autre Riska (ma préférée).
FAMILLE PROCHE : Un père inconnu, une mère disparue, une fratrie anonyme.



PhysiqueCaractère

TAILLE : Moins de sept pieds de haut.
POIDS : Pas loin du quintal.
COULEUR DES YEUX : Noir.
COULEUR & LONGUEUR DES CHEVEUX : Blond, assez long.
PIGMENTATION DE LA PEAU : Blanche, cuivrée par le soleil.
SIGNE PARTICULIER : Armoire à glace, diction exotique.
PILOSITÉ : Maigre.
VESTIMENTAIRES : Habillé en marin. Chemises de lin, de coton, pantalons de toiles, bottes et gants de cuir. Passé l'habillement, l'indispensable : un long couteau, une rapière, des pistolets gravés et l'agréable : quelques foulards et bandanas, parfois une lourde chaîne d'or. On passera sur le superflu.

DÉFAUTS : Il est orgueilleux, sadique, autoritaire et fumeur.
QUALITÉS : Il est courageux, téméraire, intelligent et fumeur.
AMBITIONS : Devenir roi des pirates.

PRÉFÉRENCES :
ALIMENTAIRES : Tout, surtout quand c'est bon.
LOISIRS : Il aime le jeu, la bamboche, la débauche et se battre.
RELATIONNELLES : Il n'est pas regardant.

Comportement
...FACE A UN DANGER : A L'ATTAQUE.
..FACE A UN ABORDAGE : A L'ABORDAGE.
..FACE A UNE NOUVELLE RENCONTRE : "On tape le carton ?"
..FACE A DES SENTIMENTS NOUVEAUX : "Tu m'as brisé l'palpitant, j'va te casser le tarin."
..FACE A UNE PERTE / LA TRISTESSE : Voir : "Sentiments nouveaux".



« Nisi paret imperat. »



Histoire

"Arrête, le Tesson, tu vas la tuer !"
Il était encore tôt lorsque le jeune Kranz Fromer (à peine la huitaine) rentrait chez lui après une journée de jeux et de chapardages dans Vanylle. Le soleil se couchait enfin. Les clients n'étaient pas nombreux, on était dans la morte-saison. Alors le Tesson en profitait pour tuer le temps : il battait ses putes.

Kranz pouvait l'entendre du vestibule, à l'entrée du clac. Le bruit sourd des coups du Tesson s'engouffrait dans le long corridor sombre qui reliait toute la bâtisse, toutes les pièces et tous les boudoirs du bordel du Dauphin coquin. Par-dessus, les cris des raccrocheuses se répercutaient contre les murs, irréguliers et nombreux. Parfois, l'une d'entre elles suppliait le bourreau de cesser. Alors le Tesson redoublait d'intensité.

Rien que de très nouveau. Après tout, c'était la morte-saison, et cette vieille raclure infirme du Tesson se vengeait de rester sur le plancher des vaches tandis que ses anciens compagnons d'armes, nichés mille pieds plus haut, pillaient quelque cargo garni de butin comme de rupin. Rien que de très nouveau, sauf qu'aujourd'hui, l'échine du petit Kranz était traversée par une longue coulée froide. Incapable de passer le hall, il attendait pétrifié, entendait l'écho qui traversait la vieille bâtisse.

La porte s'ouvrit. Les coups du Tesson s'échappèrent de la pièce où ils étaient confinés. Ils roulaient comme le tonnerre sur les murs lépreux. Le faciès d'une femme apparut, il jeta un coup d'oeil de chaque côté et vit Kranz, là, au pas de la porte. C'était Nasha, une amie de sa mère. Enfin, amie : une "camarade", une collègue. Elle s'approcha, et comme elle traversait le long couloir, son visage, qui paraissait dur, laissa entrevoir une tristesse dissimulée par la pénombre, mais que révélait au fur et à mesure la lumière du crépuscule. Le petit bonhomme la regardait venir à lui, plus paralysé que jamais. Quand elle parla, il sursauta ; sa voix était chaude et décidée, tout le contraire de son visage.

"Mets les voiles, Kranz, viens-y plus, et mire jamais sur le côté."

Et c’était tout. Elle conclut ses adieux en mettant une bourse dans les paumes tremblantes du gamin. Il n'arrivait pas à détacher ses yeux des siens. Elle n'avait pas dit grand-chose, à peine l’essentiel. Aujourd'hui, le Tesson avait arrêté son choix sur sa mère. Ce soir, Kranz était orphelin.


*

« Il ne m’est pas aisé de parler de ma captivité à Vanylle. Quand je prends la plume, tout vient à ma rencontre et éveille en moi de vieilles blessures. Les pontons battus par le sable et le soleil, les venelles englouties par l’obscurité des mansardes, les boudoirs enfumés, les bas-fonds les plus infects. C’était, à mon souvenir, deux mondes qui s’entrelaçaient.  Douce illusion, certes, que m’a octroyé le fait de vivre auprès de R***, à Malmaison.

Ayant eu l’infortune d’être pris à parti par la flibuste non loin d’Errande, où je devais rejoindre la Maison S*** en tant que leur maestre, nous fûmes, mon équipage et moi,  réduit à l’esclavage. Je fus remarqué par R***, un riche exilé matroscien installé depuis des années à Vanylle. Cet homme doux et honnête, uniquement mû par la beauté et le calme, avait chu dans cette ville misérable car la nature l’avait doté d’un mauvais vice. Son histoire vaudrait bien le détour, et mille pages ne lui suffiraient pas, mais si l’on veut être bref, la voici : fils d’une riche et noble maison des plaines de Gernie, il était destiné aux fonctions les plus hautes. D’une grande intelligence et d’une érudition inédite, il était, dit-on, le favori du Gouverneur à la charge de Conseiller des Finances royales. Hélas, existe-t-il un seule personne sans passion ni désir auxquels on ne l’avait ni destiné ni prévenu ? R*** s’était entiché d’un disciple, un officier qui l’admirait, comme tant d’autres. On a pu dire beaucoup de choses mauvaises sur ce jeune aristocrate. Il est vrai qu’il avait un goût du sang que ses instincts sacrilèges avivaient. Elevé dans la plus grande tradition aristocratique, il avait la réputation d’être un bretteur aussi doué que meurtrier. Ce sont sûrement les différences de ce couple contradictoire, l’un aimable et aimant, l’autre violent et craint, qui aspirèrent tant de légendes ; autant, sinon plus, que l’aventure de leur fuite.

Certes, il y avait peu à inscrire à l’honneur de ce jeune officier, mais si je puis affirmer ici une chose, pour l’avoir connu, c’est qu’il n’a point trahi le secret de son amant, et que le scandale ne vint pas de lui. Aujourd’hui encore, on s’interroge sur l’homme qui perdit  R***, et ce quelques mois avant la nomination d’un nouveau Conseiller. Qui donna son terrible secret à la populace ? Je ne désespère pas d’apprendre un jour la vérité. Nonobstant ce mystère, l’esclandre fit du bruit, et les répercussions furent tragiques pour ces deux amants.

Traqués comme la vermine par une foule de zélateurs à Gernie, comme chacun sait, ils se sauvèrent dans un grand fracas, l’officier sauvant R*** au bord de la navette dont il avait le commandement. Sacrilèges et traîtres à leur patrie, ils n’eurent d’autres choix que de rejoindre en secret Vanylle. Les années passèrent et, bon gré mal gré, le couple vécut. R*** avait mis son habileté et son élégance au service d’un projet formidable : Malmaison. Lieu de jeux et de tous les plaisirs imaginables, cette vaste demeure avaient reçu toutes les attentions de R***. Deux grands moulins de métal, les seuls que j’eus pu admirer à Vanylle, domestiquait les vents furieux de la ville érodée et offrait électricité et eau au bâtiment, qui, habillé avec le luxe le plus sûr, semblait être un hôtel particulier de Sant-Poseïnos tombé au milieu du taudis. Cours intérieures, jardins, serviteurs et ménestrels, R*** avait reproduit un fragment de sa patrie pour mieux soutenir l’exil. Je passai ainsi des jours heureux auprès de lui, et je crois que, s’il ne m’avait recueilli, j’eus péri au bout d’un mois.

Mais à ce monde de calme et de douceur s’acoquinait un autre, celui de Vanylle. Elle avait exercé ses influences sur l’amant de R***, que l’on appelait méchamment « la Fistule », à cause de ses penchants sodomites. Celui-ci ne pouvait pas se contenter de la calme résignation de R***, et l’exil, au lieu d’échauder ses instincts, les excita un peu plus. La nécessité de protéger Malmaison avait certainement rendu indispensable sa cruauté, mais il y mettait trop d’entrain et y prenait trop de plaisir pour qu’on  ne l’excusât de rien. D’une haine rare envers la populace vanyllienne, qu’il avait en horreur de par leurs origines maudites, il avait tôt fait de se tailler une réputation sanguinolente à la pointe de sa râpière. Il vivait autour de lui une horde de jeunes gens sans dieu ni loi, dont la peau et le cheveu clairs attiraient la sympathie de leur maître. Il devait les croire Matrosciens par le sang et les préférait par ce principe à tous les autres, qu’il méprisait subséquemment. Les plus jeunes, il les usait au vol de toute sorte, les plus robustes, il les dressait à assassiner à l’arme blanche, si bien que le badaud ne venait point se frotter à Malmaison impunément.

Je me croirai lâche et hypocrite si je n’avouai que, moi-même, j’avais reçu l’entraînement de ce reître. J’étais encore jeune, et mon bon sang m’attirait à la brette. Mais, par-dessus tout, c’était la maestria incroyable de ce furieux traîne-sabre qui m’avait hypnotisé. Je peux dire sans mentir qu’il n’était pas un seul enfant qui n’avait pas espéré, dans un frisson de peur et d’excitation, être remarqué par la Fistule. Combien de mères avaient raconté avec quelle diablerie il avait fait périr le Gaillet et les siens dans l’Incendie de la Cabane-aux-Sapines pour que leurs bambins finissent leur bouillie ? Influençable, je l’étais, et sans la compagnie de R***, je pense que je serai devenu comme tous les sbires de la Fistule, et j’eusse pris des vies pour boire la bourse du cadavre.

Il était un de ces chiens qui illustrerait bien mon propos. Et ce chien, c’était Kranz.

Lorsque je le rencontrais, il n’était alors qu’un mioche que la Fistule avait recueilli comme bien d’autres. Il avait été attiré, certainement, par sa peau cuivrée mais claire et sa tignasse blondâtre. L’orphelin (selon lui) avait dit avoir dix ans, mais on lui en aurait donné vingt. L’enfant dégageait quelque chose de mauvais qui irradiait à chaque sourire. Peut-être était-ce dû à la préférence que la Fistule lui accorda immédiatement, ou la peur que ses camarades éprouvaient pour lui, voire sa démarche et son parlé de jeune forban. R*** m’a confié que le garçon avait essayé de dérober la bourse de la Fistule et que c’est ainsi qu’ils se sont rencontrés. Je ne puis le certifier, mais il m’apparut vite que Kranz était très vaillant et très perfide. L’enfant avait travaillé dans tous les larcins de la Fistule : le vol à la tire de la petite enfance avait laissé la place aux cabrioles de la cambriole et, quand Kranz eut grandi, au vol du mouchoir. Voleur accompli et jeune homme d’une grande robustesse, il avait bientôt pris sa place aux côtés de son maître dans Malmaison.

La clientèle d’une maison de jeu et d’un bordel réunis ne ressemble guère à la congrégation de Vama à Matroos, mais à Vanylle, le jeu, la boisson et les femmes agaçaient le sang des pirates plus encore. Les rixes étaient monnaie courante, les voleurs, légion. Quant aux tricheurs, ils étaient aussi nombreux que les joueurs. C’était la vie du jeune Kranz, qui était, parmi ces crapules, chez lui. L’œil acéré, il confondait le mauvais tricheur, la main légère, il délestait, à quelques venelles de Malmaison, le meilleur. Son oreille était à l’affût du moindre cri, et à chaque esclandre, il était le premier au feu. Au poing, à l’épée, au couteau. Combien de nuits les ai-je vu, la Fistule et son chien, la gueule rougie par le sang ? Et le maître de flatter les plus bas instincts de Kranz. Etait-ce la Fistule qui avait créé cette bête-là, ou s’était-il contenté de tailler cet orphelin de Vanylle, de le laver de ses derniers scrupules pour qu’il devienne ce qu’il était ? Je l’ignore, et je ne puis que prier pour tous ces enfants que Vanylle avait enivrés de cette liberté amorale et délétère et dont la bassesse les a privé d’entendement et de sensibilité, de courage et de vertu.              
             
Vama, ou la force des choses, eut finalement raison de Malmaison, de R*** et de la Fistule, et je soupçonne Kranz d’être la cause de cette fin sinistre. Quelques mois avant mon départ de Vanylle et la fin de ma captivité, ce dernier avait tué un proxénète qu’on appelait le Tesson. L’affaire est vague et la resta. Les Vanylliens n’avaient que faire du détail. Ce qui comptait, c’est que sieur le Tesson gardait un bouge de la basse-ville au nom d’un capitaine nommé le Squale. Ce dernier, à la tête d’un fort parti, tenait la dragée haute dans la ville. Il avait confié à son ami le Tesson, qui avait été handicapé lors d’une escarmouche contre la Milice au côté du Squale, l’une de ses propriétés. Or toucher au Tesson, c’était s’en prendre à tous les hommes du Squale.
L’affaire se régla dans un assaut généralisé sur Malmaison, où périrent R***, la Fistule, et tous ceux qui ne purent échapper au massacre et à la destruction. Quant à moi, je fus laissé pour mort et me réveillai au bord d’un navire qui cinglait vers Matroos. Je ne sais pas à qui je dois ma fortune, ni celle de Kranz qui, appris-je, voguait lui-même sur un autre navire parti lui aussi le lendemain de la chute de Malmaison. Nos maîtres respectifs étaient-ils parvenus à nous sauver avant le sinistre dénouement ? Le mystère persiste, et je me suis juré qu’un jour, je trouverai Kranz une dernière fois et en aurai le cœur net. Depuis des années, les soupçons m’assaillent, toujours plus forts, plus accablants contre le disciple de la Fistule. N’était-ce pas lui, finalement, qui aurait détruit, par traîtrise, notre repaire et nos maîtres ? »

Extrait des Mémoires de ma vie, de maestre Lakko.


*

Je serai désormais plus bref, ayant quand même pondu pas mal de lignes sur l’enfance et l’adolescence de cette gouape de Kranz Fromer qui, au lendemain de la chute de Malmaison, allait se baptiser Magnus. Je passerai sur les circonstances providentielles qui sauvèrent d’une mort certaine Lakko (le narrateur du deuxième acte) et Kranz, car ça fait du mystère, et c’est bien, un peu de mystère. Aussi, au lecteur qui parvint jusqu’ici, je te le dis, ami, te voilà au bout de ta peine (et, subséquemment, de la mienne).
Addonc, notre héros s’en sortit. Fuyant sans le savoir Vanylle au bord d’une de ces vieilles caraques errant sur le Grand Vent, il débuta sa carrière dans la boucanerie. Passant son arrivée inopinée sur la vieille bâtisse pyrate et comment il manqua être transformé en ragoût du soir à destination de la chiourme plutôt que l’habile ruffian que la cité érodée de Vanylle connaît, il me reste à vous dire que sa reconversion fut on ne peut plus naturelle. Malgré ses airs de bravache et un indécrottable besoin d’aller à l’encontre des ordres du capitaine ou de ses aînés, son expérience de la cambriole en firent un gabier efficace et son amour du sang un naufrageur rapidement respecté. Cela n’alla certes pas sans quelques nez cassés et autres séances de fustigation. Certes non. Mais le capitaine s’attache aisément à ce garçon hardi et intelligent quand il s’agissait d’aborder un vaisseau ou liquider les biens mal acquis, et sa prestance à l’arme blanche comme son manque de scrupule finirent de lui gagner l’estime de l’équipage.

Lui-même apprécia rapidement cette vie. La promiscuité avec la canaille avait toujours fait partie de son train-train, et les rivalités avec d’autres manieurs de dagues comme l’émulation sanguinaire des assauts sur les frégates étrangères constituaient pour lui une existence délicieuse. Sa vie comme celle des adversaires n’avaient pas d’importance. Pourtant, il put enfin mettre ses talents d’assassin et sa soif d’idéal au service d’une même cause, celle de son équipage. Et à mesure que les années s’écoulèrent, l’orphelin de Malmaison rejoignit une nouvelle famille, une nouvelle meute qu’il trouva sur ce premier navire.

Il oublia, on peut le croire, ses rêves de vengeance durant ses péripéties inénarrables (i.e. que je ne narrerai pas, parce que bon). Non pas. Et après la fin de la Fistule, la chute du Squale vint. En un mot : Magnus, autrefois Kranz, égala la cruauté de la chute de Malmaison dans sa réponse. Quant au destin du Squale et du Tesson, on peut le résumer en disant que leurs crânes servent encore de bibelots dans la chambre du capitaine de la Nuée ardente.  
 











Où as-tu trouvé le forum ? Pfouh, chaiplus !
Première impression : Question périmée.
Robin Hobb ça te parle ? :pirat: 
Tes autres pseudos habituels : Qat

Ysoa Taima
Chamane

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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Sam 21 Sep 2013 - 14:37

*_________*

Alors là, je dis chapeau. L'histoire m'a happé et c'est avec délice que je l'ai laissée faire. A son service, ton style est merveilleux. Je suis conquise (et j'espère ne jamais m'attirer les foudres de ton bonhomme XD).
C'est drôle comme cette façon de raconter préserve, sans en avoir l'air, une part de mystère sur son caractère. J'adore ça.

Et puis je dois dire que dans un registre très différent, cette lecture m'a rappelé mon état d'esprit après avoir lu Malika Ferdjouk. Et là je dis chapeau (bis) parce que c'était pas une mince affaire °°

Bref. Tout ça pour dire « Bienvenue sur IJ, Monsieur Qat ! » et « Amuse-toi bien parmi les Pirates ! » :wou: 
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Sam 21 Sep 2013 - 16:11

Merci, c'est très chic de ta part ! Par contre, il était comment ton état d'esprit après avoir lu m'dame Ferlouk (que j'connais point) ?

Au plaisir de te croiser en rp (p'têtre avec Ly, qui sait ?).
Ly Fishbone
Pirate

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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Sam 21 Sep 2013 - 16:34

Ahah ! Mon pauvre Ly serait terrifié mais il trouverait quand même le moyen de dire un truc comme « T'es qui, grosse larve ? J'ai pas peur de toi ! » et il ne comprendrait pas comment, la seconde d'après, il aurait avalé la boue cradingue des rues de Vanylle. Face contre terre, évidemment, pas avec une cuiller.
Quoique je dis ça mais il connait sûrement la réputation du Magnus. Donc en fait, il serait planqué dans une poubelle et attendrait encore, deux bonnes heures après son passage, d'être sûr d'être en seul pour en sortir XD
Bref. Ly est une pâquerette face au saule cogneur. *a, en tête, une image très précise du destin de la pâquerette qui ne saurait pas tenir sa langue de morveuse arrogante et mythomane*

Pour en revenir à Madame Ferdjoukh, je te dirais bien de lire Quatre sœurs mais ça ne répondrait pas à ta question. Bon.
En gros, après cette lecture, émerveillée par le style et le vocabulaire, je me suis dit avec beaucoup d'admiration (et un peu d'envie) que jamais je n'écrirai comme ça. C'est pas pour passer du cirage, hein, mais j'aime vraiment ton style.
N'en déplaise à Ly, j'espère qu'on se croisera quand même un jour en RP XD
Jack l'Infortuné

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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Dim 22 Sep 2013 - 1:37

Je sens que mon pauvre peintre aura du soucis à se faire... Je ne pensais pas tomber sur un tel Capitaine ! Il nous manque un équipage aux mœurs illustrant le nom de leur vaisseau "Mon Petit Poney" -sort-

Pour reprendre les commentaires sur le style, je le trouve particulier, et j'avoue être curieuse de voir ce que cela donnera en RP ^^.

Re-bienvenue Cap'tain, et à bientôt sur la Nuée !
Invité

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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Dim 22 Sep 2013 - 13:47

Bienvenue cap'tain ! Very Happy
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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Lun 23 Sep 2013 - 7:09

Désolée pour l'attente de validation !

Citation :
Les pontons battus par le sable et le soleil,
Cette phrase me laisse perplexe xD on oubli pas que Vanylle, c'est pas la mer, c'est Grand Vent autour, et les pirates naviguent dans les airs Smile

Sinon et bien je trouve ton histoire super recherché ! C'est fou tout ça xD tu as eus de l'idée xD
Au début j'avais trop compris mais tout s'emboite au final o/
du coup, c'est nikel, je te valide !
Agazhar Börl
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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Lun 23 Sep 2013 - 7:56

Oh très prenante cette histoire ! J'aime beaucoup tout ce que tu as créé autour de Vanylle. La ville étant plutôt peu développé, c'était risqué mais tu as très bien cerné le milieu ^^

Rien à redire non plus, bon RP o/
Invité

On m'appelle Invité

Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   - Lun 23 Sep 2013 - 10:57

J'entends ponton en tant que plateforme avé des pilotis, hein ? Histoire qu'ça fasse pyrate, malgré la sècheresse !

Et sinon, merci (à toutes) les filles.

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Posté dans Re: Magnus l'Insoumis   -

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