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Les aventures d'un forban dans le désert.

Balthazar-Le-Balafré
Forban du Désert

On m'appelle Balthazar-Le-Balafré


Infos Personnage
RANG: Nausicäa, Mowiel.
VILLE & APPARTENANCE : Col Muertiga - Forbans du désert
MON AGE : 24 ans & ...
Masculin
MESSAGES : 43
AGE : 32
INSCRIT LE : 24/05/2015
PSEUDO HABITUEL : Judas
Joyaux : 21
Posté dans Les aventures d'un forban dans le désert.    - Ven 29 Mai 2015 - 7:51

Spoiler:

Bande son - Finding Beauty


Les vents solaires provoquaient une interférences non négligeable dans le réseau de communication Korruliens. Spécialement dans cette partie du désert. Le lieutenant Zoraï appuya de nouveau sur le bouton de la radio embarquée. Un grésillement lui répondit mais il tenta tout de même le coup. Ce n''est pas parce ça ne marche pas dans un sens que cela ne le peut dans un autre. "Ici l'unité Z, à vous poste de contrôle !" il relâcha un instant le doigts pour avaler une salive tiédît par la chaleur ambiante. Ce désert il était né avec et il le connaissait bien, mais il le haïssait d'autant plus ! "Rien à signaler dans le secteur Nord-Nord est de la cité, nous allons rentrer". Il attrapa la lourde gourde en métal qui pendait à sa ceinture et avala de longue gorgée. Le vent ne soufflait plus depuis l'aurore, et les éruptions solaires faisait grimper les températures jusqu'à des degrés plus proches de la ceinture de feu que du désert des murmures. Il fallait qu'il rentre maintenant. Il fit signe au pilote du petit vaisseau roulant de s'activer. Il apprécia les dunes avec un amer sentiment de nostalgie mêlé à celui du soulagement. S'ils avaient pû transformer tout le désert en Oasis, ils auraient alors habités dans un beau pays. Seulement les Chamanes gardaient jalousement leurs pouvoirs pour eux dans leur ville sainte, et leurs pouvoirs semblaient décroître d'année en année.
Le moteur démarra, et il remarqua alors le promontoires rocheux d'un teint sombre qui se trouvait en plein milieu du chemin. Il y'avait souvent des arbustes et des énormes cailloux interdisant toute conduite aisée dans l'étendue aride. C'est à ce moment là que Zoraï se rappela qu'ils n'avaient pas croiser la route de ce genre de manifestations de la sécheresse ambiante. Avec le ciel paré d'une lumière intense et beaucoup plus orangé qu’habituellement, il ne pouvait définir exactement ce que c'était, alors il attrapa l'arme qui pendait à sa gauche dans le véhicule de transport.

[...]


Le plus gros du travail d'un chasseur, c'est l'attente. Il ne faut pas bouger, voir même ne plus respirer parfois. Guetter longuement la proie et poser avec soin un piège sur son chemin. Et puis attendre encore, qu'il vienne s'y enfoncer. Il faut calmer les battements du cœur, raffermir sa résolution et se préparer à mourir s'il le faut. L’échec n'était pas une option pour les forbans, surtout en cette saison. Les vents solaires perturbaient tellement les radios (une des armes les plus dangereuses des Veilleurs selon Balthazar) qu'ils ne pouvaient pas laisser passer cette occasion. La guerre avait commencé des milliers d'années plus tôt, lorsque les cités de Korruliens avaient commencer leurs expansions dans le désert... Pour ne plus jamais s'arrêter et dévorer de plus en plus de dunes, empiétant sur les seules territoires appartenant aux sang mêlés. Dans les histoires qu'il avait retrouvé dans des archives de Chefs de Clans Al Quina'a, ils avaient boutés en premier lieu les forbans dans l'un des coins les plus reculés du désert. Et puis Col Muertiga était sortie de l'imagination d'un fou, et depuis les Kerkeïs ne cessaient de s’agrandir. Les femmes étaient fertiles, et les hommes vigoureux. Les conditions difficiles les avaient poussés dans une mode de vie plus proche de la survie que de la douceur que connaissaient les Korruliens. Même les plus pauvres ne savaient pas à quel point ce désert était cruel parfois. Alors seuls les plus fort pouvaient arpenter le désert des Murmures sans risquer de croiser un prédateur.

Et nous, nous tenions en haut de la chaîne alimentaire de ces rivages ocres. Les forbans du désert.

L'attente avait assez duré, il était temps de passer à l'attaque. Considérant le tas de sable qui le recouvrait de la tête au pied depuis près de quatre longue heures. Sa respiration était sifflante mais inaudible pour les Veilleurs sur le véhicule qu'ils occupaient. Le bruit du moteur couvrait tout, même les sons qui auraient pu les aider à localiser la troupe de forbans qui les attendait. C'était du douze contre dix,  et ils avaient l'avantage de la surprise. Comme d'un commun accords, les forbans jaillirent du sable en poussant un cri de guerre rauque et tribal. Ils portaient des tuniques masquant leurs traits et des masques fabriqués à partir de bois et peint dans des couleurs lugubres. Ils avaient des expression terrible figés dans les fibres, et des tête de démons des enfers. Même si peu de Korruliens croyaient en ce genre de choses, l'effet de surprise aidant, ils eurent l'impression que la mort s'abattait sur eux. Ceux des Al Quina'a qui étaient le plus éloignés commencèrent à harceler le véhicule tandis que les plus proches se ruèrent sur le véhicule en sautant.
Des coups de feu retentirent, et des traits de lumières d'un teinte orangée firent pleuvoir la mort parmi les frères noirs. Ils ne faiblirent pas, prenant d'assaut le véhicule esseulé. Des cimeterres furent tirés, tandis que les veilleurs laissaient leurs armes refroidirent, le reste des troupes firent payer chèrement monnaie de leurs pièces à leurs ennemis ancestraux. Ils avaient besoin de ses ressources et étaient prêt à tout pour les obtenir, même si la morsure glacée de la Mère devait les prendre. Les membres de son clan n'avait pas peur de mourir, le déshonneur était encore pire chez eux. Et ceux qui survivraient à cette journée, ne pourraient s'empêcher de s'en vouloir d'avoir frôler de si près le dernier voyager de l'Assassin sans en avoir pris part.
Un liquide noir teintaient les lames d'une odeur de mort et d'herbes fraîche. Des cercles carmins se dessinèrent sur le sol tandis qu'il faisait tourner sa lame au dessus de lui, dévastant deux carotides avec une précision diabolique. Il se mit à couvert derrière l'un des cadavres afin de ne pas finir comme ceux qui étaient étendu par terre. Il tira la dague du mollet de son frère mort à ses pieds et la fit tournoyer dans les airs ; elle se ficha directement sous l'aisselles de son adversaire, qui se vida de son sang à une vitesse fulgurante. Les poisons qu'utilisaient Les Exaltés ne laissaient aucune place au hasard. Il se précipita vers le poste de pilotage qui se trouvait dans une cabine indépendante. Il fit sauter la porte d'un coup de pied puissant et se trouva nez à nez avec un blaster. Il ne dût qu'à un réflexe instinctif de ne pas finir le cerveau en bouillis contre un mur, et il rentra dans les jambes de son adversaire en faisant une roulade sur le sol. Avec un sourire, il pensa que cet enfoiré méritait la mort pour avoir abîmer son véhicule. Et sa dague trancha dans le vif du sujet, déchirant la nuque du pauvre soldats qui ne faisait que son travail. On va pas commencer à avoir des remords pour ses salauds de Pourpre, me gourmanda-t-il, sortant dans une éclaboussure sa lame de la plaie en provoquant un gargouillis foutrement dégoûtant.

[...]


- Mayday, Mayday, nous sommes attaqués ! Je répète nous sommes attaqués ... Ils sont déjà là, envoyez une unité immédiatement aux coordonnées ...

Une lame en métal grossier fit taire les suppliques du Lieutenant Zoraï dans une exclamation de surprise vachement crédible et poignante. "Arrh Arrh Arrh, un dernier mot pour la postérité mon salaud ?" Que lui proposa notre héros. "Non ? Eh bien ..." fit-il en se tournant vers les membres de son clan ... " Ce bâtiment est nôtre mes frères et sœurs !" termina-t-il alors que ses frères reprirent en coeurs un "Ahou Ahou !" s'il n'était terrifiant, était pour le moins très cohérent avec le niveau d'intelligence actuel présent dans la cabine.
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